dimanche 31 décembre 2023

LA FERMER POUR DE BON...

Comment se faisait-il que les enfants des victimes n'aient éprouvé aucune envie de se venger sur les enfants des bourreaux de leurs parents ? 

De quoi donc les chiens totos pouvaient-ils bien avoir eu peur ?

Bien au contraire, ces enfants des victimes s'étaient appropriés les méthodes et techniques de torture et de maltraitance des bourreaux pour les perfectionner et devenir, du coup, des maitres chiens... des barbouzes se proposant comme monnaie d'échange pour le rayonnement de leur cause. 

Les maîtres chiens pouvaient donc admirer tout leur saoul et non sans fierté le résultat auquel ils étaient parvenus à Laf. Quoique bien loin de chez eux, ils avaient réalisé leur voeu intime : celui de loger Satan sur Terre ! 

Nonobstant la récente incartade, vite étouffée d'ailleurs, de leur chacal génétiquement modifié de grand animal qui s'était cru loup garou, tout coulait à merveille... 

Ces salauds n'avaient pourtant rien compris. Monstre et Gourou avaient scellé un pacte. Plus de sang versé, d'aucun lafien. Le monstre avait compris, ce n'était pas trop tôt, que moult lafiens trouvaient dans la gueule du gourou l'écho de leurs pensées intimes. Un homme qui perdait sa capacité d'indignation ne méritait plus de vivre. La reprise en main de leur pays par les lafiens pur jus était  la demande sociale qui transcendait tout, a fortiori les querelles politiciennes. 

Etait on en droit de voir des haillonneux et des larbins se sucer la pomme ? Avec ou sans le monstre, avec le monstre et le gourou ensemble, avec le gourou ou sans le gourou ?

L'espoir d'un 2024, première année d'une Aube Nouvelle, la réincarnation sociale lafienne, était incompressible. Enfin, le sursaut national rêvé, le sopi fantasmé, l'émergence souhaitée ? 

Le certain est que le monstre ne pouvait guère incarner, ni intellectuellement, ni moralement, cette refondation. Alors il pouvait vraiment la fermer pour de bon, surtout ce soir !

Toutefois, il était incompréhensible que le larbin noir au coeur noir aussi noir que le charbon de bois puisse être aveugle à ce point. Et pourtant on ne lui avait amputé qu'une fourche à sa langue de mamba noir ! 

Oui, comment la perversité débordante du païen nasard pouvait-elle lui échapper ? 

... Ce vilain qui s'écartelait en conneries pour prouver qu'il pesait autant sinon plus que le flibustier nymphomane. Pour confondre si allègrement vicieusement désordre et chaos, oui, il en fallait du bagou !    

Mais pourquoi donc aurait-il du le remarquer dès l'instant que les frisepoulets Médor et Milou faisaient le job ? On était à une étape autrement cruciale et plutôt délicate qui requerrait de l'intelligence même sordide : infantiliser la marmaille.

mardi 19 décembre 2023

L'ULTIME BETISE...

L'autoproclamé grand sachem de la canaillerie, le larbin noir au coeur noir aussi noir que le charbon de bois payait chèrement l'agilité de sa langue de mamba noir... Malgré sa satisfaction d'avoir eu la main heureuse avec le Milou, il se savait foutu car même le monstre ne pouvait lui venir en aide... Le mauvais karma, encore et toujours ! 

Le monstre se sentait de plus en plus perdu. Il fallait se rendre à l'évidence, son bateau de l'apocalypse prenait eau. Ses larbins-vampires criaient famine parce que ses cavaliers haineux de l'apocalypse, Condoreau et Voldemort n'étaient rentrés qu'avec des champignons ! 

La pintade de Tangun avait beau rassurer que son Médor règlerait le problème et Grosminet affermir son Milou, c'était bien peine perdue, Hadès le fils de Satan, Cerbère l'âme damnée, le grand animal et le chef assassin ne savaient où se cacher pour mourrir de honte. Où pourrait-on d'ailleurs les enterrer ? 

Pendant ce temps, le combat final s'imposait au monstre. Tuer le gourou et se suicider... Le suicide n'est-il pas le sublime courage des vaincus ? 

La vermine était en émoi, les haillonneux en pleine effervescence. Le péril était désormais en marche et il n'avait rien à voir avec cette mare à boue que l'irresponsabilité du monstre, la bêtise de la racaille et les  fadaises de la marmaille avait créée, avec une synchronicité de diable. 

Les jababus avaient constaté avec horreur le cagibi vide du gardien du contrat social lafien.  Qui devait l'occuper ? Il faudrait qu'on le pende haut et court, ce scélérat déserteur ! 

Le petit maure ne semblait-il pas en avoir profité pour vendre le ciel lafien à ses oncles, les sales racistes maures ?

Que pouvait bien mijoter à son tour Judas, grandissime traître et non moins acolyte du petit maure, au profit de ses aïeux négriers ? 

On pouvait être d'accord que cela pouvait saigner, péter et même exploser mais pourvu que cela reste entre lafiens, que cela soit l'oeuvre des lafiens inter pares ! 

Au pire des cas, ils disparaitraient ensemble et ce ne sera que tant pis pour eux, les incapables, les tarés, on vous dit, s'il leur arrivait de rater le passage du train qui convoyait leurs congénères dozos, bantous et zoulous d'Alkebulan à destination du Kibo.

Bon déjeuner mardique aux cerveaux dégénérés...

vendredi 15 décembre 2023

OUI, L'ON SE DEMANDAIT ...

Notre vénéré aïeul, Ptah-Hotep, pouvait-il se gourer à ce point ? Non bien entendu, on atteignait la sagesse à l'âge de 100 ans ! Et il faudrait davantage de sornettes débitées par plus d'un tébé vieillard lafien pour nous faire croire le contraire. L'industrialisation était bel et bien une étape obligée sur le voyage vers le développement. 

Les lafiens observaient avec circonspection le mariage entre la carpe et le lapin. Oui, le flibustier nymphomane était monté au créneau non pas par devoir mais pour gagner sa vie, les temps étaient durs. Ça tombait bien, l'autoproclamé chef de la canaille, Zangbeto, le larbin noir au coeur noir aussi noir que le charbon de bois, payait diamants sur ongles. 

La vitesse de pointe du processus de désintrégation du monstre était sur le point d'être atteinte. Le gourou devait comprendre qu'il serait aussi un dégât collatéral de l'explosion phénoménale attendue à l'issue du compte à rebours qu'il avait lui-même lancé. La marmaille infantile ne faisait que jouer une scène de strip-tease trop dégoûtante. Hadès, le fils de Satan et Cerbère, l'âme damnée ne succombaient donc qu'à leur nature. Judas, le plus grand traître de Laf ne démentira pas.  

Les ptit'poupées étaient dans le dur. Etre ce qu'elles sont ou être ce que les autres voudraient qu'elles soient ? L'appel pressant de la canaillerie était oppressant !

La grand'poupée larguait les amarres. Alors qu'il aurait fallu couper le grelin. Il y allait de sa dignité. Nakomitunaka ! Ben oui, les lafiens, dignes descendants de chasseurs, étaient toujours en attente d'être assurés de sa part de pouvoir voir, dire et faire ce qu'ils voulaient et par-dessus tout de ne pas être violés par leurs enfants avec leurs propres biens.

Pauvre racaille écartelée, trimbalée et instrumentalisée !

Le grand animal tissait son cocon en procrastinant. Désormais, rien ne se ferait à Laf sans lui. Quand est ce que comprendra-t-on cela ?

Le chef assassin n'entendait pas être laissé en rade par son sordide rival. Il en avait marre d'"être au service de..." et était déterminé à conquérir lui aussi ses lettres de noblesse. Comme s'il n'avait pas assez fait dans l'horreur, tudieu !

mardi 12 décembre 2023

AFFAIRE SWEET… ET PAS FIN : LA MESSE DE REQUIEM AVANT LA RÉSURRECTION

La haute Cour n’avait pas voulu se « salir les mains » avec cette histoire de contumace tout en sachant que le jugement était anéanti « de plein droit » par la seule arrestation du contumax. Elle a donc décidé d’en laisser le soin au « petit juge » de Dakar cette fois-ci en étant sûre que ce dernier irait au bout de son raisonnement pour en tirer la conséquence pratique, au lieu « d’ajouter à la loi » ». Il suffisait juste d’aller jusqu’au bout de son linéaire et d’être en mesure d’en tirer les conséquences pratiques.

Plus prosaïquement, il s’agissait pour le juge du fond de passer au scanner l’affaire Sweet Beauty, non pas pour la rejuger – ce qui n’entre pas dans le périmètre de ses pouvoirs – mais pour vérifier si elle méritait encore de pourrir l’atmosphère en prolongeant ses effets pervers jusque dans la liste des candidats autorisés à briguer les suffrages pour la présidentielle qui se profile dans quelques semaines. Ce qui était demandé au juge, c’était d’exercer un contrôle sur le procédé par lequel Ousmane SONKO a été informé de sa radiation du listing des électeurs sénégalais, étant entendu qu’une telle décision ne pouvait que lui être NOTIFIÉE en personne et non SIGNIFIÉE. Quoi de plus facile ?

Désigné pour la tâche, le Président du Tribunal d’Instance Hors-Classe M. OUSMANE RACINE THIONE a résisté et tenu l’audience, tout comme SABASSY FAYE, dans la petite salle ordinaire des audiences de sa juridiction en refusant la grande salle 4, historiquement la salle d’accouchement des horreurs judiciaires et des monstres juridiques. Mais il a eu toute la latitude de délibérer tranquillement durant 48 heures, sirotant son thé et en grignotant ses joyeusetés en bon sérère, s’accordant des plages de relaxation voire de sommeil, loin des soucis de coupure suspecte d’électricité, de pressions et menaces, de contraintes de lampes torches, bref, loin de l’ambiance de corrida qui a été le lot de son digne collègue de Ziguinchor obligé de rédiger sa décision à la lueur de la faible lumière de son téléphone portable… 

Comme quoi la Justice est fille de la sérénitéDe sorte que, plus que le scanner attendu, l’officium judicis, l’office du juge, s’est transformé dans le secret de son cabinet en messe de requiem pour Adji Rabi SARR et ses louches comités de supporters. Le message à eux adressé a été on ne saurait plus clair : ce jugement qui a endeuillé des dizaines de familles et qui continue de plonger dans la détresse permanente des centaines d’autres, n’en est même pas un, il doit revenir devant les juges pour être réexaminé dans les règles de l’art parce que ne pouvant produire d’effet.Avant de clôturer par la formule ITE, MISSA EST, « allez, la messe est dite », notre « petit juge » au savoir encyclopédique a asséné ces mots :

« La mesure de retrait du nom de Ousmane SONKO des listes électorales est fondée sur une décision de justice qui ne figure plus dans l’ordonnancement juridique ; elle est par conséquent irrégulière et encourt l’annulation ». Rideau !

Si certains n’ont pas encore compris ils ont tout le loisir de rester dans la salle pour assister à la suite du spectacle. La lumière vive du Droit éblouit, crève les yeux, surtout quand on a fait l’option de se complaire dans l’obscurité du non droit, de la violence et de la force aveugles. Quant à ceux qui veulent arrêter la mer avec leurs bras, il est temps qu’ils comprennent qu’il n’y a pas pire conseiller qu’un cœur endurci.

« Malheur à ceux qui, après avoir semé le vent, comptent sur la justice pour ne pas récolter la tempête. La tempête ils l’auront ! ».

De Me Cheikh Koureyssi Ba
Avocat à la cour et membre de la défense du Président Ousmane Sonko

vendredi 8 décembre 2023

ETANCHER LE MARECAGE...

Du fond du gnou, le gourou dirigeait le sens du vent et contrôlait la température à Laf. Nonobstant que ses haillonneux avaient été réduits à leur plus simple expression de manants vetillards, il avait lancé sa traque du monstre qui était devenu à présent un fugitif qui vadrouillait à travers le monde, fuyant l'écho du nom de son mortel et éternel ennemi. 

Sa grand'poupée était dans l'expectative. Il savait ce que le monstre savait. Autant alors, se disait-elle, assurer tout simplement le service minimum dans cette bergerie d'infâmies ! 

La vermine était en émoi. La canaille décidément entreprenante sous la houlette de Zangbeto, le larbin noir au coeur noir aussi noir que le charbon de bois, avait lancé une offensive musclée pour remettre les choses en ordre. Son suprême objectif était d'allonger la durée de vie de la marionnette, d'imposer "sa" pepette nitouche, le meilleur choix dans la bergerie !

Au même moment, les terminators avaient pris le large, rompant les amarres, menaçant Laf de feu et de sang ! Le Grand animal au chaud dans son cocon, les yeux mi-clos, s'en fichait éperdument. Le chef assassin y voyait un signe du destin, son heure de gloire était arrivée, sans aucun doute...

Les soubresauts d'honneur au sein de la marmaille étaient une pompe à débit trop faible pour étancher le marécage de souillures dans lequel se noyaient les larbins. Cerbère piquait une crise de nerfs.

Le fils de Satan, Hades, se réfugiait dans les hallucinogènes. Enfin, de quoi s'assurer un transport psychédélique pour adoucir l'attente de son paternel hircin. Il comprenait pas, ce misérable rejeton,  que son satané père avait engagé un duel au premier sang épique avec Narcisse, parrain des maitres-chiens !  

La redoutable squaw faisait feu de tout bois. Pour dire vrai, il était plus commode d'avoir la mémé avec soi que contre soi... Un trophée de guerre du gourou dans sa croisade têtue contre les patriciens salaces. 

Les pernicieux jababu offraient ce cocktail aux cerveaux détraqués...

vendredi 1 décembre 2023

LA HAUTE TRAHISON DU PETIT...

A l'issue d'une cérémonie inénarrable de Zangbeto, le larbin noir au coeur noir comme du charbon de bois s'était intronisé chef de la canaille. 

Il s'était chargé de lever le vrai lièvre : la pépette nitouche. Qui était plus méritant qu'elle ? Pouvait-on d'ailleurs la rémunérer pour son immense exploit ?  Mais encore comment la rémunérer ?  

C'est peu dire, en effet, que toute la vermine, depuis sa tête jusqu'à sa queue, lui devait la vie ou l'heur d'exister encore. Et comment, elle avait fait  conjuguer le gourou au passé ! 

Excusez du peu...

...Pour qui n'avait pas compris la danse du scalp de Judas, le plus grand traître de Laf... 

Ceci étant, il n'était point donc pour notre nouveau zangbéto d'être ingrat. La genette avait montré du talent,  absolument tout et même au delà des références habituellement exigées des postulants voulant intégrer la bergerie. 

Narcissique, perverse, elle savait mentir, elle apprenait vite, elle avait une féroce envie de vivre et par dessus le marché, elle était méchamment animée d'une rage d'humilier à tout-va.

Et puis, lui zangbeto, lui fournirait assistance et aide, la guiderait vers le succès de sa mission.

Pourquoi pas ? Composer avec des larbins lobotomisés, persécuter des eunuques ramollos et terroriser des daronnes affamées n'était pas affaire si compliquée que ça, quand même. Surtout quand le grand animal veillait et que le chef assassin bidouillait... 

Décidément,  la grand'poupée n'était pas au bout de ses peines. Tant pis pour celui qui n'osait pas assumer ses amitiés ! 

Pourquoi, donc, le sale pisse-copie carthaginois se mêlait-il des affaires lafiennes ? 

Un début de réponse nous est venu d'une information tragique. Les sales racistes berbères de Sa non moins sale Majesté Raciste allaient gérer le ciel de Laf. Encore ? Eh oui, encore ! les monstres lafiens se suivaient et rivalisaient apparemment de couardise.

Les faux-culs jababus y voyaient une haute trahison du petit maure. Qui fréquente un traitre le devient à coup sûr. Bravo, Judas le lafien ! 

Bon appétit aux cerveaux fichus...

dimanche 26 novembre 2023

LE SILENCE AGITE....

Il était sans doute écrit quelque part avant même notre arrivée sur terre lafienne que le gourou enquiquinerait le monstre jusqu'à la fin.

Comme il était aussi écrit que seule la violence pouvait arrêter la force. Qui incarnait la force, qui incarnait la violence ?

Sans aucun doute, les lafiens avaient le droit de redouter le pire. Désormais les politiciens ne gagneront que sur la route de la haine pavée d'indifférence.  

Le monstre était désespéré. Il voguait de déception en déception. 

Les haillonneux d'ici et d'ailleurs avaient été qui embastillés, qui bannis, qui terrorrisés sans que le prosélytisme de sa canaille ne soit parvenue à faire déborder le vase. Au contraire, par réflexivité, cette dernière semait les graines d'une discorde consternante au sein de la vermine.  

Le gourou, exténué et exsangue, était anémié. Le genou sur son cou l'empêchait de respirer et ce faisant, sa stratégie semblait surannée et ses silences dénotaient l'agitation mentale. Et pourtant, il gardait intact son aura en dépit de tout cela !  La grand-poupée avait elle seulement songé à se proposer un plan de substitution ? Que nenni ! 

Pour sa survie, le monstre pouvait donc raisonnablement nourrir l'obligation d'assauter dans cet océan d'incompétence notoire les navires de l'ingratitude et de la trahison.  

Au délà de la grosse ingratitude de Judas le lafien et de la terrible déception auprès de Tonton, le plus grand bouleversement a été la traîtrise du grand animal.  

Il faut dire que le monstre avait fait fabriquer de toutes pièces cette  chimère,  le grand animal, pour lui faire charger de veiller sur son dédoublement.

Mais le cobot entendait plutôt désormais prendre à lui tout seul toute la place laissée vacante par les maîtres-chiens partis répondre à l'appel de leur mère dragonne. 

Cependant qu'en vérité, ce spécimen humanoïde de haute fidélité, avait été plutôt  troublé par la manie du monstre. Sa priorité était de se protéger avant de protéger qui que ce soit. 

La mission de la racaille avait été remaniée. Le Nid d'Aigle était un édifice à toute épreuve, il devait résister à toute épreuve présente et future. Homme ou événement.

vendredi 17 novembre 2023

LES SERVICES DU GOUROU...

C'était inouï. Les lafiens assistaient à une trahison en règle du monstre contre son Tonton.

Ce dernier n'avait pas su mesurer l'étendue de son désarroi. Et puisqu'il a refusé de le réinstaller proprement sur le fauteuil, il allait tuer l'alternative qui lui avait été imposée.

La grand-poupée avait bien senti le sens du vent. L'opinion pourrait lui être au moins équitable et comprendre enfin pourquoi il avait refusé de casser sa tirelire. Il n'osait pas y penser... Non... tout sauf ça quand même... Quérir les services du gourou ? Et pourtant, ce n'était pas bête comme idée, le monstre avait beau être cruel, il n'en restant pas moins un redoutable manipulateur.  

Il attendait stoïquement l'estocade finale qui serait portée, selon toute vraisemblance, par Voldemort le cerveau désagrégé. Ou la pintade qui réservait, pour l'instant, ses cacabements au gourou, l'escalier forcé pour monter au firmament de l'estime du monstre.

Le gourou avait survécu. Judas, maître-es-traîtrise, était en transes. Il soupçonnait un deal, cela était dans sa nature... Il était très gêné par la vision de son Mauvais larron debout, bras ballants, devant les fontaines de larmes de crocodiles si péniblement assemblées.

Et pourtant, les dulcinées de Satan étaient bien parvenues à extorquer le soutien de leur démoniaque soupirant en faveur de ce dernier ! 

Ah toujours ce vent d'épouvante que charriait le souffle du gourou. Le monstre n'était pas le seul donc dans sa phobie.

La canaille folâtrait. Rien n'était perdu. Les uns et les autres se demandaient comment occire la grand-poupée mais surtout à quelle sauce la manger ?

Toutefois, tel un magma, des contradictions y apparaissaient, des conflits y éclataient. C'est ainsi que le larbin-noir-coeur-noir avait reçu une baffe magistrale de la marmaille. La pauvre victime criait à la trahison du grand animal retranché dans son bunker.

Le chef assassin rouspétait contre une inégalité de traitement. A lui la sale besogne, toute la sale besogne et au grand animal, tous les honneurs ! Il n'oubliait pas aussi qu'il était le plus exposé sur la ligne de front. Cerbère, le scélérat, allait l'entendre.

Hades faisait le mort. L'absence de son papa Satan parti superviser les boucheries intersémites commençait à lui peser.

Toutefois, lafiens et lafiennes restaient suspendus aux lèvres du petit maure. Avait-il réalisé cet énorme exploit ?

Bon régal aux cerveaux fichus...

mardi 7 novembre 2023

Ratib Al-Haddad




The Rātib al-Haddād Imām 'Abdullāh ibn ‘Alawi al-Haddādَ

ِ
اَلْفَاتِحَة إِلَى رُوحِ صَاحِبِ الرَّاتِبِ اَلْقُطْبِ الْإِرْشَادِ الْحَبِيبِ عَبْدِ اللهِ بْنِ عَلَوِيّ الْحَدَّاد، وَإِلَى حَضْرَةِ النَّبِيِّ مُحَمَّدٍ صَلَّى اللهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ، اَلْفَاتِحَة 
Al-Fātiḥa ilā rūḥi Sāḥibi r-Rātibi l-Quṭbi l-Irshādi l-Ḥabībi ʿAbdi Llāhi bni ʿAlawī al-Ḥaddād, wa ilā ḥaḍrati n-nabiyyi Muḥammadin ṣalla Llāhu ʿalayhi wa ṣallam, al-Fātiḥa.
﴿بِسۡمِ ٱللّٰهِ ٱلرَّحۡمَٰنِ ٱلرَّحِيمِ ١ 
ٱلۡحَمۡدُ لِلّٰهِ رَبِّ ٱلۡعَٰلَمِينَ ٢ ٱلرَّحۡمَٰنِ ٱلرَّحِيمِ ٣ مَٰلِكِ يَوۡمِ ٱلدِّينِ ٤ إِيَّاكَ نَعۡبُدُ وَإِيَّاكَ نَسۡتَعِينُ ٥ ٱهۡدِنَا ٱلصِّرَٰطَ ٱلۡمُسۡتَقِيمَ ٦ صِرَٰطَ ٱلَّذِينَ أَنۡعَمۡتَ عَلَيۡهِمۡ غَيۡرِ ٱلۡمَغۡضُوبِ عَلَيۡهِمۡ وَلَا ٱلضَّآلِّينَ ٧﴾

Bismi Llāhi r-Raḥmāni r-Raḥīm,
Al-ḥamdu li Llāhi Rabbi l-ʿālamīn, ar-Raḥmāni r-Raḥīm, Māliki yawmi d-dīn, iyyāka naʿbudu wa iyyāka nastaʿīn, ihdinā ṣ-ṣirāṭa l-mustaqīm, ṣirāṭa lladhīna anʿamta ʿalayhim ghayri l-maghḍūbi ʿalayhim wa la ḍ-ḍāllīn.

﴿اللّٰهُ لَآ إِلَٰهَ إِلَّا هُوَ ٱلۡحَيُّ ٱلۡقَيُّومُۚ لَا تَأۡخُذُهُۥ سِنَةٞ وَلَا نَوۡمٞۚ لَّهُۥ مَا فِي ٱلسَّمَٰوَٰتِ وَمَا فِي ٱلۡأَرۡضِۗ مَن ذَا ٱلَّذِي يَشۡفَعُ عِندَهُۥٓ إِلَّا بِإِذۡنِهِۦۚ يَعۡلَمُ مَا بَيۡنَ أَيۡدِيهِمۡ وَمَا خَلۡفَهُمۡۖ وَلَا يُحِيطُونَ بِشَيۡءٖ مِّنۡ عِلۡمِهِۦٓ إِلَّا بِمَا شَآءَۚ وَسِعَ كُرۡسِيُّهُ ٱلسَّمَٰوَٰتِ وَٱلۡأَرۡضَۖ وَلَا يَ‍ُٔودُهُۥ حِفۡظُهُمَاۚ وَهُوَ ٱلۡعَلِيُّ ٱلۡعَظِيمُ ٢٥٥﴾
Allāhu lā ilāha illā Huwa l-Ḥayyu l-Qayyūm, lā ta'khudhuhu sinatun wa lā nawm, lahu mā fi s-samāwāti wa mā fi l-arḍ, man dha lladhī yashfaʿu ʿindahu illā bi idhnih, yaʿlamu mā bayna aydīhim wa mā khalfahum wa lā yuḥīṭūna bi shay'in min ʿilmihī illā bimā shā'a, wasiʿa kursiyyuhu s-samāwāti wa l-arḍ, wa lā ya'ūduhu ḥifẓuhumā wa Huwa l-ʿAliyyu l-ʿAẓīm. 

﴿ءَامَنَ ٱلرَّسُولُ بِمَآ أُنزِلَ إِلَيۡهِ مِن رَّبِّهِۦ وَٱلۡمُؤۡمِنُونَۚ كُلٌّ ءَامَنَ بِٱللّٰهِ وَمَلَٰئِكَتِهِۦ وَكُتُبِهِۦ وَرُسُلِهِۦ لَا نُفَرِّقُ بَيۡنَ أَحَدٖ مِّن رُّسُلِهِۦۚ وَقَالُواْ سَمِعۡنَا وَأَطَعۡنَاۖ غُفۡرَانَكَ رَبَّنَا وَإِلَيۡكَ ٱلۡمَصِيرُ ٢٨٥ لَا يُكَلِّفُ ٱللّٰهُ نَفۡسًا إِلَّا وُسۡعَهَاۚ لَهَا مَا كَسَبَتۡ وَعَلَيۡهَا مَا ٱكۡتَسَبَتۡۗ رَبَّنَا لَا تُؤَاخِذۡنَآ إِن نَّسِينَآ أَوۡ أَخۡطَأۡنَاۚ رَبَّنَا وَلَا تَحۡمِلۡ عَلَيۡنَآ إِصۡرٗا كَمَا حَمَلۡتَهُۥ عَلَى ٱلَّذِينَ مِن قَبۡلِنَاۚ رَبَّنَا وَلَا تُحَمِّلۡنَا مَا لَا طَاقَةَ لَنَا بِهِۦۖ وَٱعۡفُ عَنَّا وَٱغۡفِرۡ لَنَا وَٱرۡحَمۡنَآۚ أَنتَ مَوۡلَىٰنَا فَٱنصُرۡنَا عَلَى ٱلۡقَوۡمِ ٱلۡكَٰفِرِينَ ٢٨٦﴾

Āmana r-Rasūlu bi mā unzila ilayhi min r-Rabbihī wa l-mu'minūn, kullun āmana bi Llāhi wa malā'ikatihi wa kutubihi wa rusulih, lā nufarriqu bayna aḥadin min rusulih, wa qālū samiʿnā wa aṭaʿnā ghufrānaka Rabbanā wa ilayka l-maṣīr. Lā yukallifu Llāhu nafsan illā wusʿahā, lahā mā kasabat wa ʿalayhā ma-ktasabat, Rabbanā lā tu'ākhidhnā in nasīnā aw akhṭa'nā, Rabbanā wa lā taḥmil ʿalaynā iṣran kamā ḥamaltahū ʿala lladhīna min qablinā, Rabbanā wa lā tuḥammilnā mā lā ṭāqata lanā bih, waʿfu ʿannā wa-ghfir lanā wa-rḥamnā, Anta mawlānā fa-nṣurnā ʿala l-qawmi l-kāfirīn. 

لَا إِلَـٰهَ إِلَّا اللهُ وَحْدَهُ لَا شَرِيكَ لَهُ، لَهُ الْمُلْكُ وَلَهُ الْحَمْدُ يُحْيِي وَيُمِيتُ وَهُوَ عَلَى كُلِّ شَيْءٍ قَدِيرٌ ﴿٣﴾ 
Lā ilāha illa Llāhu waḥdahu lā sharīka lahu, lahu l-mulku wa lahu l-ḥamdu yuḥyī wa yumītu wa Huwa ʿalā kulli shay'in Qadīr. (x3)

سُبْحَانَ اللهِ وَالْحَمْدُ لِلّٰهِ وَ لَا إِلَـٰهَ إِلَّا اللهُ وَاللهُ اَكْبَرُ ﴿٣﴾ 
Subḥāna Llāhi wa l-ḥamdu li-Llāhi wa lā ilāha illa Llāhu wa Llāhu Akbar. (x3)

سُبْحَانَ اللهِ وَبِحَمْدِهِ، سُبْحَانَ اللهِ الْعَظِيم ﴿٣﴾ 
Subḥāna Llāhi wa bi ḥamdihi, subḥāna Llāhi l-ʿAẓīm. (x3)

رَبَّنَا اغْفِرْ لَنَا وَتُبْ عَلَيْنَا، إِنَّكَ أَنْتَ التَّوَّابُ الرَّحِيمُ ﴿٣﴾ 
Rabbanā aghfir lanā wa tub ʿalaynā, innaka Anta t-Tawwābu r-Raḥīm. (x3)

اَللَّهُمَّ صَلِّ عَلَى سَيِّدِنَا مُحَمَّدٍ، اَللَّهُمَّ صَلِّ عَلَيْهِ وَسَلِّمْ ﴿٣﴾ 

Allāhumma ṣalli ʿalā Sayyidinā Muḥammadin, Allāhumma ṣalli ʿalayhi wa sallim. (x3)

أَعُوذُ بِكَلِمَاتِ اللهِ التَّآمَّاتِ مِنْ شَرِّ مَا خَلَقَ ﴿٣﴾ 
Aʿūdhu bi kalimāti Llāhi t-tāmmāti min sharri mā khalaq. (x3)

بِسْمِ اللهِ الَّذِي لَا يَضُرُّ مَعَ اسْمِهِ شَيْءٌ فِي الْأَرْضِ وَلَا فِي الْسَّمَآءِ وَهُوَ الْسَّمِيعُ الْعَلِيمُ ﴿٣﴾
Bismi Llāhi lladhī lā yaḍurru maʿa-smihi shay'un fi l-arḍi wa lā fi s-samā'i wa Huwa s-Samīʿu l-ʿAlīm. (x3)

رَضِينَا بِاللهِ رَبًّا وَبِالْإِسْلَامِ دِينًا وَبِسَيِّدِنَا مُحَمَّدٍ نَبِيًّا ﴿٣﴾
Raḍīnā bi Llāhi Rabban wa bi l-Islāmi dīnan wa bi Sayyidinā Muḥammadin nabiyā. (x3)

بِسْمِ اللهِ وَالْحَمْدُ لِلّٰهِ وَالْخَيْرُ وَالشَّرُّ بِمَشِيئَةِ اللهِ ﴿٣﴾ 
Bismi Llāhi wa l-ḥamdu li-Llāhi wa l-khayru wa sh-sharru bi mashī'ati Llāh. (x3)


آمَنَّا بِاللهِ وَالْيَوْمِ الْآخِرِ، تُبْنَا إِلَى اللهِ بَاطِنًا وَظَاهِرًا ﴿٣﴾ 

Āmannā bi Llāhi wa l-yawmi l-ākhiri, tubnā ila Llāhi bāṭinan wa ẓāhirā. (x3)

يَا رَبَّنَا وَاعْفُ عَنَّا وَامْحُ الَّذِي كَانَ مِنَّا ﴿٣﴾ 
Yā Rabbanā waʿfu ʿannā wamḥu lladhī kāna minnā. (x3)

يَا ذَا الْجَلَالِ وَالْإِكْرَامِ، أَمِتْنَا عَلَى دِينِ الْإِسْلَامِ ﴿٧﴾ 

Yā dha l-Jalāli wa l-lkrām, amitnā ʿala dīni l-Islām. (x7)

يَا قَوِيُّ، يَا مَتِينُ، إِكْفِ شَرَّ الظَّالِمِينَ ﴿٣﴾ 
Yā Qawiyyu, Yā Matīnu, ikfi sharra ẓ-ẓālimīn. (x3)

أَصْلَحَ اللهُ أُمُورَ الْمُسْلِمِينَ، صَرَفَ اللهُ شَرَّ الْمُؤْذِينَ ﴿٣﴾ 

Aṣlaḥa Llāhu umūra l-Muslimīna, ṣarafa Llāhu sharra l-mu'dhīn. (x3)

يا عَلِيُّ، يا كَبِيرُ، يا عَلِيمُ، يا قَدِيرُ، يا سَمِيعُ، يا بَصِيرُ، يا لَطِيفُ، يا خَبِيرُ ﴿٣﴾ 
Yā ʿAliyyu, Yā Kabīru, Yā ʿAlīmu, Yā Qadīru, Yā Samīʿu, Yā Baṣīru, Yā Laṭīfu, Yā Khabīr. (x3)


يَا فَارِجَ الْهَمِّ، يَا كَاشِفَ الْغَّمِّ، يَا مَنْ لِعَبْدِهِ يَغْفِرُ وَيَرْحَمُ ﴿٣﴾ 
Yā Fārija l-hammi, Yā Kāshifa l-ghammi, Yā man li-ʿabdihi yaghfiru wa yarḥam. (x3)

اَسْتَغْفِرُ اللهَ رَبَّ الْبَرَايَا، اَسْتَغْفِرُ اللهَ مِنَ الْخَطَايَا ﴿٤﴾ 
Astaghfiru Llāha Rabba l-barāyā, astaghfiru Llāha mina l-khaṭāyā. (x4)
21. I ask Allah for forgiveness, the Lord of creation, I ask Allah for forgiveness from all wrongdoing. (Four times)

لَا إِلَـٰهَ إِلَّا اللهُ ﴿٥٠/١٠٠/١٠٠٠﴾ 
Lā ilāha illa Llāh. (x50/100/1000).

لَا إِلَـٰهَ إِلَّا اللهُ مُحَمَّدٌ رَسُولُ اللهِ صَلَّى اللهُ عَلَيْهِ وَآلِهِ وَسَلَّمَ، وَشَرَّفَ وَكَرَّمَ وَمَجَّدَ وَعَظَّمَ وَرَضِيَ اللهُ تَعَالَى عَنْ أَهْلِ بَيْتِهِ الْمُطَهَّرِينَ وَأَصْحَابِهِ الْمُهْتَدِينَ وَالتَّابِعِينَ لَهُمْ بِإِحْسَانٍ إِلَى يَوْمِ الدِّينِ، وَعَلَيْنَا مَعَهُمْ وَفِيهِمْ بِرَحْمَتِكَ يَا أَرْحَمَ الرَّاحِمِينَ

Lā ilāha illa Llāhu Muḥammadu r-Rasūlu Llāh ṣalla Llāhu ʿalayhi wa ṣallama, wa sharrafa wa karrama wa majjada wa ʿaẓẓama wa raḍiya Llāhu ʿan ahli baytihi l-muṭṭaharīna wa aṣḥābihi l-muhtadīna wa t-tābiʿīna lahum bi iḥsānin ilā yawmi d-dīn, wa ʿalaynā maʿahum wa fīhim bi raḥmatika Yā Arḥama r-Rāḥimīn.

﴿بِسۡمِ ٱللَّهِ ٱلرَّحۡمَٰنِ ٱلرَّحِيمِ
قُلۡ هُوَ ٱللّٰهُ أَحَدٌ ١ ٱللَّهُ ٱلصَّمَدُ ٢ لَمۡ يَلِدۡ وَلَمۡ يُولَدۡ ٣ وَلَمۡ يَكُن لَّهُۥ كُفُوًا أَحَدُۢ ٤﴾ ﴿٤﴾

Bismi Llāhi r-Raḥmāni r-Raḥīm
Qul Huwa Llāhu aḥad, Allāhu ṣ-Ṣamad, lam yalid wa lam yūlad, wa lam yakun lahu kufuwan aḥad. (x3)


﴿بِسۡمِ ٱللَّهِ ٱلرَّحۡمَٰنِ ٱلرَّحِيمِ
قُلۡ أَعُوذُ بِرَبِّ ٱلۡفَلَقِ ١ مِن شَرِّ مَا خَلَقَ ٢ وَمِن شَرِّ غَاسِقٍ إِذَا وَقَبَ ٣ وَمِن شَرِّ ٱلنَّفَّٰثَٰتِ فِي ٱلۡعُقَدِ ٤ وَمِن شَرِّ حَاسِدٍ إِذَا حَسَدَ ٥﴾

Bismi Llāhi r-Raḥmāni r-Raḥīm
Qul aʿūdhu bi Rabbi l-falaq, min sharri mā khalaq, wa min sharri ghāsiqin idhā waqab, wa min sharri n-naffāthāti fi l-ʿuqad, wa min sharri ḥāsidin idhā ḥasad.

﴿بِسۡمِ ٱللَّهِ ٱلرَّحۡمَٰنِ ٱلرَّحِيمِ
قُلۡ أَعُوذُ بِرَبِّ ٱلنَّاسِ ١ مَلِكِ ٱلنَّاسِ ٢ إِلَٰهِ ٱلنَّاسِ ٣ مِن شَرِّ ٱلۡوَسۡوَاسِ ٱلۡخَنَّاسِ ٤ ٱلَّذِي يُوَسۡوِسُ فِي صُدُورِ ٱلنَّاسِ ٥ مِنَ ٱلۡجِنَّةِ وَٱلنَّاسِ ٦﴾

Bismi Llāhi r-Raḥmāni r-Raḥīm
Qul aʿūdhu bi Rabbi n-nās, Maliki n-nās, Ilāhi n-nās, min sharri l-waswāsi l-khannās, al-ladhī yuwaswisu fī ṣudūri n-nās, mina l-jinnati wa n-nās.

اَلْفَاتِحَة إِلَى رُوحِ سَیِّدِنَا رَسُولِ اللهِ مُحَمَّدِ بْنِ عَبْدِ اللهِ، ثُمَّ إِلَى رُوحِ المُهَاجِر إِلَى اللهِ سَیِّدِنَا أَحْمَدِ بْنِ عِيسَى، ثُمَّ إِلَى رُوحِ الْأُسْتَاذِ الْأَعْظَمِ بَابِ الْعَلَوِيِّينَ سَیِّدِنَا الْفَقِيهِ الْمُقَدَّمِ مُحَمَّدِ بِن عَلِيّ بَا عَلَوِي وَأُصُولِهِمْ وَفُرُوعِهِمْ، أَنَّ اللهَ يُعْلِي دَرَجَاتِهِمْ فِي الْجَنَّةِ وَيَنْفَعُنَا بِهِمْ وَبِأَسْرَارِهِمْ وَأَنْوَارِهِمْ وَعُلُومِهِمْ وَبَرَكَاتِهِمْ وَنَفَحَاتِهِمْ وَإِمْدَادِهِمْ فِي الدِّينِ وَالدُّنْيَا وَالْآخِرَةِ، اَلْفَاتِحَة أَثَابَكُمُ الله

Al-Fātiḥa ilā rūḥi Sayyidinā Rasūli Llāhi Sayyidinā Muḥammadi bni ʿAbdi Llāhi (ṣalla Llāhu ʿalayhi wa ṣallam), thumma ilā rūḥi l-Muhājir ila Llāhi Sayyidinā Aḥmadi bni ʿĪsā, thumma ilā rūḥi l-ustādhi l-Aʿẓam bābi l-ʿAlawiyyīna Sayyidina l-Faqīhi l-Muqaddami Muḥammadi bni ʿAliyyi Bā ʿAlawī wa uṣūlihim wa furūʿihim, anna Llāha yuʿlī darajātihim fi l-Jannati wa yanfaʿunā bihim wa bi asrārihim wa anwārihim wa ʿulūmihim wa barakātihim wa nafaḥātihim wa imdādihim fi d-dīni wa d-dunyā wa l-ākhirati, al-Fātiḥa athābakumu Llāh.

ثُمَّ اَلْفَاتِحَة إِلَى أَرْوَاحِ سَادَاتِنَا الصُّوفِيَّةِ أَيْنَمَا كَانُوا حَلَّتْ أَرْوَاحُهُمْ فِي مَشَارِقِ الْأَرْضِ وَمَغَارِبِهَا، أَنَّ اللهَ يُعْلِي دَرَجَاتِهِمْ فِي الْجَنَّةِ وَيَنْفَعُنَا بِهِمْ وَبِأَسْرَارِهِمْ وَأَنْوَارِهِمْ وَعُلُومِهِمْ وَبَرَكَاتِهِمْ وَنَفَحَاتِهِمْ وَإِمْدَادِهِمْ فِي الدِّينِ وَالدُّنْيَا وَالْآخِرَةِ، الْفَاتِحَة أَثَابَكُمُ الله 

Thumma l-Fātiḥa ilā arwāḥi Sādātina ṣ-Ṣūfiyyati aynamā kānū ḥallat arwāḥuhum fī mashāriqi l-arḍi wa maghāribihā, anna Llāha yuʿlī darajātihim fi l-Jannati wa yanfaʿunā bihim wa bi asrārihim wa anwārihim wa ʿulūmihim wa barakātihim wa nafaḥātihim wa imdādihim fi d-dīni wa d-dunyā wa l-ākhirati, al-Fātiḥa athābakumu Llāh.

اَلْفَاتِحَة إِلَى رُوحِ صَاحِبِ الرَّاتِبِ، قُطْبِ الْإِرْشَادِ وَغَوْثِ الْعِبَادِ وَالْبِلَادِ سَیِّدِنَا الْإِمَامِ الْحَبِيبِ عَبْدِ اللهِ بِنْ عَلَوِي الْحَدَّادِ وَأُصُولِهِ وَفُرُوعِهِ، أَنَّ اللهَ يُعْلِي دَرَجَاتِهِمْ فِي الْجَنَّةِ وَيَنْفَعُنَا بِهِمْ وَبِأَسْرَارِهِمْ وَأَنْوَارِهِمْ وَعُلُومِهِمْ وَبَرَكَاتِهِمْ وَنَفَحَاتِهِمْ وَإِمْدَادِهِمْ فِي الدِّينِ وَالدُّنْيَا وَالْآخِرَةِ، الْفَاتِحَة أَثَابَكُمُ الله 

Al-Fātiḥa ilā rūḥi Ṣāḥibi r-Rātibi Quṭbi l-Irshādi wa Ghawthi l-bilādi Sayyidina l-Imāmi l-Ḥabībi ʿAbdi Llāhi bni ʿAlawiyyi l-Ḥaddād wa uṣūlihi wa furūʿihi, anna Llāha yuʿlī darajātihim fi l-Jannati wa yanfaʿunā bihim wa bi asrārihim wa anwārihim wa ʿulūmihim wa barakātihim wa nafaḥātihim wa imdādihim fi d-dīni wa d-dunyā wa l-ākhirati, al-Fātiḥa athābakumu Llāh.

اَلْفَاتِحَة إِلَى أَرْوَاحِ كَآفَّةِ عِبَادِ اللهِ الصَّالِحِينَ وَلِوَالِدِينَا وَجَمِيعِ الْمُؤْمِنِينَ وَالْمُؤْمِنَاتِ وَالْمُسْلِمِينَ وَالْمُسْلِمَاتِ، أَنْ اللهَ يَغْفِرُ لَهُمْ وَيَرْحَمُهُمْ وَيَنْفَعُنَا بَأَسْرَارِهِمْ وبَرَكَاتِهِمْ

Al-Fātiḥa ilā arwāḥi kāffati ʿibādi Llāhi ṣ-ṣāliḥīna wa li wālidīnā wa jamīʿi l-mu'minīna wa l-mu'mināti wa l-muslimīna wa l-muslimāti, anna Llāha yaghfiru lahum wa yarḥamuhum wa yanfaʿunā bi asrārihim wa barakātihim.

INVOCATION 

وَإِلَى حَضْرَةِ النَّبِيِّ سَیِّدِنَا مُحَمَّدٍ صَلَّى اللهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ، اَلْفَاتِحَة

Wa ilā ḥaḍrati n-nabiyyi Sayyidinā Muḥammadin ṣalla Llāhu ʿalayhi wa ṣallam, al-Fātiḥa.


اَللَّهُمَّ إِنَّا نَسْأَلُكَ رِضَاكَ وَالْجَنَّةَ وَنَعُوذُ بِكَ مِنْ سَخَطِكَ وَالنَّارِ ﴿٣﴾

Allāhumma innā nas'aluka riḍaka wa l-jannata wa naʿūdhu bika min sakhaṭika wa n-nār. (x3)

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Ratib Attas - Habib Ahmad Assegaf


اَلْفَاتِحَة إِلَى 
بَارَاسْ، وَإِلَى رُوحِ سَيِّدِنَا الْإِمَامِ اَلْحَبِيبِ أَحْمَددِ بِنْ حَسَنِ بِنِ عَبْدِ اللهِ الْعَطَّاسِ، اَلْفَاتِحَة 
Al-Fātiḥa ilā ḥaḍrati Sayyidinā wa Ḥabībinā Muḥammadin ṣalla Llāhu ʿalayhi wa ālihi wa ṣaḥbihi wa ṣallam, wa ilā rūḥi Sayyidina l-Ḥabībi ʿUmari bni ʿAbdi r-Raḥmāni l-ʿAṭṭās, Ṣāḥibi r-Rātib, wa sh-Shaykh ʿAlī bni ʿAbdi Llāhi Bā Rās, wa ilā rūḥi Sayyidina l-Imāmi l-Ḥabībi Aḥmadi bni Ḥasani bni ʿAbdi Llāhi l-ʿAṭṭās, al-Fātiḥa.


﴿بِسۡمِ ٱللّٰهِ ٱلرَّحۡمَٰنِ ٱلرَّحِيمِ ١ 
ٱلۡحَمۡدُ لِلّٰهِ رَبِّ ٱلۡعَٰلَمِينَ ٢ ٱلرَّحۡمَٰنِ ٱلرَّحِيمِ ٣ مَٰلِكِ يَوۡمِ ٱلدِّينِ ٤ إِيَّاكَ نَعۡبُدُ وَإِيَّاكَ نَسۡتَعِينُ ٥ ٱهۡدِنَا ٱلصِّرَٰطَ ٱلۡمُسۡتَقِيمَ ٦ صِرَٰطَ ٱلَّذِينَ أَنۡعَمۡتَ عَلَيۡهِمۡ غَيۡرِ ٱلۡمَغۡضُوبِ عَلَيۡهِمۡ وَلَا ٱلضَّآلِّينَ ٧﴾

Bismi Llāhi r-Raḥmāni r-Raḥīm,
Al-ḥamdu li Llāhi Rabbi l-ʿālamīn, ar-Raḥmāni r-Raḥīm, Māliki yawmi d-dīn, iyyāka naʿbudu wa iyyāka nastaʿīn, ihdinā ṣ-ṣirāṭa l-mustaqīm, ṣirāṭa lladhīna anʿamta ʿalayhim ghayri l-maghḍūbi ʿalayhim wa la ḍ-ḍāllīn.

أَعُوذُ بِاللهِ السَّمِيعِ الْعَلِيمِ مِنَ الشَّيطَانِ الرَّجِيمِ ﴿٣﴾ 

Aʿūdhu bi-Llāhi s-Samīʿi l-ʿAlīmi mina sh-Shayṭāni r-Rajīm. (x3) 

﴿لَوۡ أَنزَلۡنَا هَٰذَا ٱلۡقُرۡآنَ عَلَىٰ جَبَلٖ لَّرَأَيۡتَهُۥ خَٰشِعٗا مُّتَصَدِّعٗا مِّنۡ خَشۡيَةِ ٱللَّهِۚ وَتِلۡكَ ٱلۡأَمۡثَٰلُ نَضۡرِبُهَا لِلنَّاسِ لَعَلَّهُمۡ يَتَفَكَّرُونَ ٢١ هُوَ ٱللّٰهُ ٱلَّذِي لَآ إِلَٰهَ إِلَّا هُوَۖ عَٰلِمُ ٱلۡغَيۡبِ وَٱلشَّهَٰدَةِۖ هُوَ ٱلرَّحۡمَٰنُ ٱلرَّحِيمُ ٢٢﴾

Lo anzalnā hādha l-Qur'āna ʿalā jabalin la ra'aytahu khāshiʿan mutaṣaddiʿan min khashyati Llāhi wa tilka l-amthālu naḍribuhā li n-nāsi laʿallāhum yatafakkarūn, Huwa Llāhu lladhī lā ilāha illā Huwa ʿĀlimu l-ghaybi wa shahādati Huwa r-Raḥmānu r-Raḥīm.


﴿هُوَ ٱللّٰهُ ٱلَّذِي لَآ إِلَٰهَ إِلَّا هُوَ ٱلۡمَلِكُ ٱلۡقُدُّوسُ ٱلسَّلَٰمُ ٱلۡمُؤۡمِنُ ٱلۡمُهَيۡمِنُ ٱلۡعَزِيزُ ٱلۡجَبَّارُ ٱلۡمُتَكَبِّرُۚ سُبۡحَٰنَ ٱللّٰهِ عَمَّا يُشۡرِكُونَ ٢٣ هُوَ ٱللّٰهُ ٱلۡخَٰلِقُ ٱلۡبَارِئُ ٱلۡمُصَوِّرُۖ لَهُ ٱلۡأَسۡمَآءُ ٱلۡحُسۡنَىٰۚ يُسَبِّحُ لَهُۥ مَا فِي ٱلسَّمَٰوَٰتِ وَٱلۡأَرۡضِۖ وَهُوَ ٱلۡعَزِيزُ ٱلۡحَكِيمُ ٢٤﴾

Huwa Llāhu lladhī lā ilāha illā Huwa l-Maliku l-Quddūsu s-Salāmu l-Mu'minu l-Muhayminu l-ʿAzīzu l-Jabbāru l-Mutakabbir, Subḥāna Llāhi ʿammā yushrikūn, Huwa Llāhu l-Khāliqu l-Bāri'u l-Muṣawwiru lahu l-Asmā'u l-Ḥusnā yusabbiḥu lahu mā fi s-samāwāti wa l-arḍi wa Huwa l-ʿAzīzu l-Ḥakīm.


أَعُوذُ بِاللهِ السَّمِيعِ الْعَلِيمِ مِنَ الشَّيطَانِ الرَّجِيمِ ﴿٣﴾ 

Aʿūdhu bi-Llāhi s-Samīʿi l-ʿAlīmi mina sh-Shayṭāni r-Rajīm. (x3) 

أَعُوذُ بِكَلِمَاتِ اللهِ التَّآمَّاتِ مِنْ شَرِّ مَا خَلَقَ ﴿٣﴾ 

Aʿūdhu bi kalimāti Llāhi t-tāmmāti min sharri mā khalaq. (x3)

بِسْمِ اللهِ الَّذِي لَا يَضُرُّ مَعَ اسْمِهِ شَيْءٌ فِي الْأَرْضِ وَلَا فِي الْسَّمَآءِ وَهُوَ الْسَّمِيعُ الْعَلِيمُ ﴿٣﴾
Bismi Llāhi lladhī lā yaḍurru maʿa-smihi shay'un fi l-arḍi wa lā fi s-samā'i wa Huwa s-Samīʿu l-ʿAlīm. (x3)
بِسْمِ اللهِ الرَّحْمٰنِ ٱلرَّحِيمِ
وَلَا حَوْلَ وَلَا قُوَّةَ إِلَّا بِاللهِ الْعَلِيِّ الْعَظِیمِ ﴿١٠﴾

Bismi Llāhi r-Raḥmāni r-Raḥīm, 
Wa lā ḥawla wa lā quwwata illā bi-Llāhi l-ʿAliyyi l-ʿAẓīm. (x10)

بِسْمِ اللهِ الرَّحْمٰنِ ٱلرَّحِيمِ ﴿٣﴾
Bismi Llāhi r-Raḥmāni r-Raḥīm. (x3)
بِسْمِ اللهِ تَحَصَّنَّا بِاللهِ
بِسْمِ اللهِ تَوَكَّلْنَا بِاللهِ ﴿٣﴾

Bismi Llāhi taḥaṣṣannā bi-Llāhi 
Bismi Llāhi tawakkalnā bi-Llāhi. (x3)

بِسْمِ اللهِ آمَنَّا بِاللهِ وَمَنْ يُؤْمِنْ بِاللهِ لَا خَوْفٌ عَلَيْهِ ﴿٣﴾
Bismi Llāhi āmannā bi-Llāhi wa man yu'min bi-Llāhi lā khawfun ʿalayhi. (x3)

سُبْحَانَ اللهِ عَزَّ اللهُ
سُبْحَانَ اللهِ جَلَّ اللهُ ﴿٣﴾

Subḥāna Llāhi ʿazza Llāh
Subḥāna Llāhi jalla Llāh. (x3)
سُبْحَانَ اللهِ وَبِحَمْدِهِ
سُبْحَانَ اللهِ الْعَظِيمِ ﴿٣﴾ 

Subḥāna Llāhi wa bi ḥamdihi, 
Subḥāna Llāhi l-ʿAzīm. (x3)

سُبْحَانَ اللهِ وَالْحَمْدُ لِلّٰهِ
وَلَا إِلَـٰهَ إِلَّا اللهُ وَاللهُ أَكْبَرُ ﴿٤﴾ 
Subḥāna Llāhi wa l-ḥamdu li-Llāhi, 
wa lā ilāha illa Llāhu wa Llāhu Akbar. (x4)

يَا لَطِيفًا بِخَلْقِهِ يَا عَلِيمًا بِخَلْقِهِ يَا خَبِيرًا بِخَلْقِهِ اُلْطُفْ بِنَا يَا لَطِيفُ يَاعَلِيمُ يَاخَبِيرُ ﴿٣﴾
Yā Laṭīfan bi khalqihi Yā ʿAlīman bi khalqihi Yā Khabīran bi khalqihi ulṭuf binā Yā Laṭīfu Yā ʿAlīmu Yā Khabīr. (x3)

يا لَطِيفًا لَمْ يَزَلْ اُلْطُفْ بِنَا فِيمَا نَزَلْ إِنَّكَ لَطِيفٌ لَمْ تَزَلْ اُلْطُفْ بِنَا وَالْمُسْلِمِينَ ﴿٣﴾
Yā Laṭīfan lam yazal ulṭuf binā fīmā nazal innaka Laṭīfun lam tazal ulṭuf binā wa l-Muslimīn. (x3)
لَا إِلَـٰهَ إِلَّا اللهُ ﴿٤٠﴾
مُحَمَّدٌ رَسُولُ اللهِ صَلَّى اللهُ عَلَيْهِ وَآلِهِ وَسَلَّمَ ﴿١﴾

Lā ilāha illa Llāh. (x40)
Muḥammadun Rasūlu Llāhi ṣalla Llāhu ʿalayhi wa ālihi wa ṣallam. (x1)

حَسْبُنَا اللهُ وَنِعْمَ الْوَكِيلُ ﴿٧﴾
Ḥasbuna Llāhu wa niʿma l-Wakīl (x7)

اَللَّهُمَّ صَلِّ عَلَّى مُحَمَّدٍ، اَللَّهُمَّ صَلِّ عَلَيْهِ وَسَلِّمْ ﴿١٠﴾
اَللَّهُمَّ صَلِّ عَلَّى مُحَمَّدٍ، يَا رَّبِّ صَلِّ عَلَيْهِ وَسَلِّمْ ﴿١﴾

Allāhumma ṣalli ʿalā Muḥammadin, Allāhumma ṣalli ʿalayhi wa ṣallam. (x10)
Allāhumma ṣalli alā Muḥammadin, yā Rabbī ṣalli ʿalayhi wa sallam. (x1)


اَسْتَغْفِرُ اللهَ ﴿١١﴾
Astaghfiru Llāh. (x11)

تَائِبُونَ إِلَى اللهِ ﴿٣﴾
Tā'ibūna ila Llāh. (x3)

يَا اَللهُ بِهَا، يَا اَللهُ بِهَا، يَا اَللهُ بِحُسْنِ الْخَاتِمَةِ ﴿٣﴾

Yā Allāhu bihā, Yā Allāhu bihā, Yā Allāhu bi ḥusni l-khātima. (x3) 

﴿غُفۡرَانَكَ رَبَّنَا وَإِلَيۡكَ ٱلۡمَصِيرُ ٢٨٥ لَا يُكَلِّفُ ٱللهُ نَفۡسًا إِلَّا وُسۡعَهَاۚ لَهَا مَا كَسَبَتۡ وَعَلَيۡهَا مَا ٱكۡتَسَبَتۡۗ رَبَّنَا لَا تُؤَاخِذۡنَآ إِن نَّسِينَآ أَوۡ أَخۡطَأۡنَاۚ رَبَّنَا وَلَا تَحۡمِلۡ عَلَيۡنَآ إِصۡرٗا كَمَا حَمَلۡتَهُۥ عَلَى ٱلَّذِينَ مِن قَبۡلِنَاۚ رَبَّنَا وَلَا تُحَمِّلۡنَا مَا لَا طَاقَةَ لَنَا بِهِۦۖ وَٱعۡفُ عَنَّا وَٱغۡفِرۡ لَنَا وَٱرۡحَمۡنَآۚ أَنتَ مَوۡلَىٰنَا فَٱنصُرۡنَا عَلَى ٱلۡقَوۡمِ ٱلۡكَٰفِرِينَ ٢٨٦﴾

Ghufrānaka Rabbanā wa ilayka l-maṣīr, lā yukallifu Llāhu nafsan illā wusʿahā, lahā mā kasabat wa ʿalayhā ma-ktasabat, Rabbanā lā tu'ākhidhnā in nasīnā aw akhṭa'nā, Rabbanā wa lā taḥmil ʿalaynā iṣran kamā ḥamaltahū ʿala lladhīna min qablinā, Rabbanā wa lā tuḥammilnā mā lā ṭāqata lanā bih, waʿfu ʿannā wa-ghfir lanā wa-rḥamnā, Anta Mawlānā fa-nṣurnā ʿala l-qawmi l-kāfirīn. 


اَلْفَاتِحَة إِلَى رُوحِ سَيِّدِنَا رَسُولِ اللهِ مُحَمَّدِ بِنْ عَبْدِ اللهِ ﷺ وَآلِهِ وَأَصْحَابِهِ وَأَزْوَاجِهِ وَذُرِّيَّتِهِ، أَنَّ اللهَ يُعْلِي دَرَجَاتِهِمْ فِي الْجَنَّةِ وَ يَنْفَعُنَا بِأَسْرَارِهِمْ وَأَنْوَارِهِمْ وَعُلُومِهِمْ فِي الدِّينِ وَالدُّنْيَا وَالْآخِرَةِ وَيَجْعَلُنَا مِنْ حِزْبِهِمْ وَيَرْزُقُنَا مَحَبَّتَهُمْ وَيَتَوَفَّانَا عَلَى مِلَّتِهِمْ وَيَحْشُرُنَا فِي زُمْرَتِهِمْ، اَلْفَاتِحَة

Al-Fātiḥa ilā ruḥi Sayyidinā Rasūli Llāhi Muḥammadi bni ʿAbdi Llāh ṣalla Llāhu ʿalayhi wa ṣallam, wa ālihi wa aṣḥābihi wa azwājihi wa dhurriyyatihi, anna Llāha yuʿlī darajātihim fi l-jannati wa yanfaʿunā bi asrārihim wa anwārihim wa ʿulūmihim fi d-dīni wa d-dunyā wa l-ākhirati wa yajʿalunā min ḥizbihim wa yarzuqunā maḥabbatahum wa yatawaffāna ʿalā millatihim wa yaḥshurunā fī zumratihim, al-Fātiḥa.

اَلْفَاتِحَة إِلَى رُوحِ سَيِّدِنَا الْمُهَاجِرِ إِلَى اللهِ أَحْمَدِ بِنْ عِيسَى وَإِلَى رُوحِ سَيِّدِنَا الْأُسْتَاذِ الْأَعْظَمِ اَلْفَقِيهِ الْمُقَدَّمِ مُحَمَّدِ بْنِ عَلِيّ بَاعَلَوِي، وَأُصُولِهِمْ وَفُرُوعِهِمْ وَذَوِي الْحُقُوقِ عَلَيْهِمْ أَجْمَعِينَ، أَنَّ اللهَ يَغْفِرُ لَهُمْ وَيَرْحَمُهُمْ وَيُعْلِي دَرَجَاتِهِمْ فِي الْجَنَّةِ وَيَنْفَعُنَا بِأَسْرَارِهِمْ وَأَنْوَارِهِمْ وَعُلُومِهِمْ فِي الدِّينِ وَالدُّنْيَا وَالْآخِرَةِ، اَلْفَاتِحَة

Al-Fātiḥa ilā rūḥi Sayyidina l-Muhājiri ila Llāh Aḥmadi bni ʿĪsā wa ilā rūḥi Sayyidina l-Ustādhi l-Aʿẓami l-Faqīhi l-Muqaddami Muḥammadi bni ʿAlī Bā ʿAlawī, wa uṣūlihim wa furūʿihim wa dhawi l-ḥuqūqi ʿalayhim ajmaʿīna, anna Llāha yaghfiru lahum wa yarḥamuhum wa yuʿli darajātihim fi l-jannati wa yanfaʿunā bi asrārihim wa anwārihim wa ʿulūmihim fi d-dīni wa d-dunyā wa l ākhirati, al-Fātiḥa. 

اَلْفَاتِحَة إِلَى رُوحِ سَيِّدِنَا وَحَبِيبِنَا وَبَرَكَتِنَا صَاحِبِ الرَّاتِبِ قُطْبِ الْاَنْفَاسِ اَلْحَبِيبِ عُمَرِ بِنْ عَبْدِ الرَّحْمَانِ الْعَطَّاسِ، وَإِلَى رُوحِ الشَّيْخِ عَلِيِّ بْنِ عَبْدِ اللهِ بَارَاسْ، وَإِلَى رُوحِ اَلْحَبِيبِ أَحْمَدِ بِنْ حَسَنِ بِنْ عَبْدِ اللهِ الْعَطَّاسِ، وَأُصُولِهِمْ وَفُرُوعِهِمْ وَذَوِي الْحُقُوقِ عَلَيْهِمْ أَجْمَعِينَ، أَنَّ اللهَ يَغْفُرُ لَهُمْ وَيَرْحَمُهُمْ وَيُعْلِي دَرَجَاتِهِمْ فِي الْجَنَّةِ وَيَنْفَعُنَا بِأَسْرَارِهِمْ 
وَأَنْوَارِهِمْ وَعُلُومِهِمْ وَنَفَحَاتِهِمْ فِي الدِّينِ وَالدُّنْيَا وَالْآخِرَةِ، اَلْفَاتِحَة

Al-Fātiḥa ilā rūḥi Sayyidinā wa Ḥabībinā wa barakatinā Ṣāḥibi r-Rātibi Quṭbi l-Anfāsi l-Ḥabībi ʿUmari bni ʿAbdi r-Raḥmāni l-ʿAṭṭās, wa ilā rūḥi sh-Shaykh ʿAlī bni ʿAbdi Llāh Bā Rās, wa ilā rūḥi l-Ḥabībi Aḥmadi bni Ḥasani bni ʿAbdi Llāhi l-ʿAṭṭās, wa uṣūlihim wa furūʿhim wa dhawi l-ḥuqūqi ʿalayhim ajmaʿīna, anna Llāha yaghfiru lahum wa yarḥamuhum wa yuʿlī darajātihim fi l-jannati wa yanfaʿunā bi asrārihim wa anwārihim wa ʿulūmihim wa nafaḥātihim fi d-dīni wa d-dunyā wa l-ākhirati, al-Fātiḥa.

اَلْفَاتِحَة إِلَى أَرْوَاحِ الْاَوْلِيَاءِ وَالشُّهَدَاءِ وَالصَّالِحِينَ وَالْاَئِمَّةِ الرَّاشِدِينَ، وَإِلَى أَرْوَاحِ وَالِدِينَا وَمَشَائِخِنَا وَذَوِي الْحُقُوقِ عَلَيْنَا وَعَلَيْهِمْ أَجْمَعِينَ، ثُمَّ إِلَى أَرْوَاحِ أَمْوَاتِ الْمُؤْمِنِينَ وَالْمُؤْمِنَاتِ وَالْمُسْلِمِينَ وَالْمُسْلِمَاتِ، أَنَّ اللهَ يَغْفِرُ لَهُمْ وَيَرْحَمُهُمْ وَيُعْلِي دَرَجَاتِهِمْ فِي الْجَنَّةِ وَيُعِيدُ عَلَيْنَا مِنْ أَسْرَارِهِمْ وَأَنْوَارِهِمْ وَعُلُومِهِمْ وَبَرَكَاتِهِمْ فِي الدِّينِ وَالدُّنْيَا وَالْآخِرَةِ، اَلْفَاتِحَة
Al-Fātiḥa ilā arwāḥi l-awliyā'i wa shuhadā'i wa ṣ-ṣāliḥīna wa l-a'immati r-Rāshidīn, wa ilā arwāḥi wālidīnā wa mashā'ikhinā wa dhawi l-ḥuqūqi ʿalaynā wa ʿalayhim ajmʿaīn, thumma ilā arwāḥi amwāti l-Mu'minīna wa l-Mu'mināti wa l-Muslimīna wa l-Muslimāti, anna Llāha yaghfiru lahum wa yarḥamuhum wa yuʿlī darajātihim fi l-jannati wa yuʿīdu ʿalaynā min asrārihim wa anwārihim wa ʿulūmihim wa barakātihim fi d-dīni wa d-dunyā wa l- ākhirati, al-Fātiḥa.

اَلْفَاتِحَة بِالْقَبُولِ وَتَمَامِ كُلِّ سُولٍ وَمَأْمُولٍ وَصَلَاحِ الشَّأْنِ ظَاهِرًا وَبَاطِنًا فِي الدِّينِ وَالدُّنْيَا وَالْآخِرَةِ، دَافِعَةً لِكُلِّ شَرٍّ جَالِبَةً لِكُلِّ خَيْرٍ لَنَا وَلِوَالِدِينَا وَأَوْلَادِنَا وَأَحْبَابِنَا وَمَشَائِخِنَا فِي الدِّينِ مَعَ اللُّطْفِ وَالْعَافِيَةِ وَعَلَى نِيَّةِ أَنَّ اللهَ يُنَوِّرُ قُلُوبَنَا وَقَوَالِبَنَا مَعَ الْهُدَى وَالتُّقَى وَالْعَفَافِ وَالْغِنَى وَالْمَوْتِ عَلَى دِينِ الْإِسَلَامِ وَالْإِيمَانِ بِلَا مِحْنَةٍ وَلَا إِمْتِحَانٍ بِحَقِّ سَيِّدِ وَلَدِ عَدْنَانِ وَعَلَى كُلِّ نِيَّةٍ صَالِحَةٍ، وَإِلَى حَضْرَةِ النَّبيِّ مُحَمَّدٍ صَلَّى اللهُ عَلَيْهِ وَآلِهِ وَسَلَّمَ، اَلْفَاتِحَة

Al-Fātiḥa bi l-qabūli wa tamāmi kulli sūlin wa ma'mūlin wa ṣalāḥi sh-sha'ni ẓāhiran wa bāṭinan fi d-dīni wa d-dunyā wa l-ākhirati, dāfiʿatan li kulli sharrin jālibatan li kulli khayrin lanā wa li wālidīnā wa awlādina wa aḥbābinā wa mashā'ikhinā fi d-dīni maʿa l-luṭfi wa l-ʿāfiyati wa ʿalā niyyati, anna Llāha yunawwiru qulūbanā wa qawālibanā, maʿa l-hudā wa t-tuqā wa l-ʿafāfi wa l-ghinā wa l-mawti ʿalā dīni l-Islāmi wa l-imāni bi lā miḥnatin wa lā imtihānin bi ḥaqqi Sayyidi waladi ʿAdnāni wa ʿalā kulli niyyatin ṣāliḥatin, wa ilā ḥaḍrati n-nabiyyi Muḥammadin ṣalla Llāhu ʿalayhi wa ālihi wa ṣallam, al-Fātiḥa.

حَضْرَةِ سَيِّدِنَا وَحَبِيبِنَا مُحَمَّدٍ صَلَّى اللهُ عَلَيْهِ وَآلِهِ وَصَحْبِهِ وَسَلَّمَ، وَ إِلَى رُوحِ سَيِّدِنَا الْحَبِيبِ عُمَرِ بِنْ عَبْدِ الرَّحْمَانِ الْعَطَّاسِ، صاَحِبِ الرَّاتِبِ، وَالشَّيْخِ عَلِيِّ بْنِ عَبْدِ اللهِ

vendredi 3 novembre 2023

VOEUX DE CHASTETE....

Les maitres chiens avaient fait du bon travail.

La vermine était en acte. L'assaut de la canaille avait produit l'union sacrée. 

Canaille, Marmaille, Larbins et Racaille faisaient leur révérence au grand animal et au chef assassin.

Pour nos deux bougres d'ignares impassibles, il était cependant plutôt question que chacun fasse sa part du boulot. Ils montraient en exemple la sordidité époustouflante de Milou et la mauvaiseté haineuse du petit maure !

Parce qu'en vérité, Grosminet n'avait plus besoin d'affirmer sa méchanceté, la lettre de noblesse dans la Ferme. 

N'avait-il pas embastillé, vieux et jeunes, femmes et hommes, grands et petits y compris des nourrissons et des femmes enceintes ? 

Les cas de Judas, le plus grand traitre de Laf et du mauvais Larron étaient sur leur table... Sauf que leur macabre vigilance  coinçait avec l'intervention du Condoreau aux plumes roussies, en réminiscence du bon vieux temps... 

Un puis deux traîtres, ça faisait beaucoup d'un coup. Traître une fois, traître toute la vie, de quelque bord on se situe...

Car, instruits par l'hypocrisie lafienne, il fallait tenir tous en respect en inacceptant de devoir endosser tous seuls la responsabilité des graves nombreux méfaits. 

Mais plus rusé, le grand animal avait pris les devants, il avait quémandé auprès des maitres-chiens un bunker pour en faire sa Tour de Babel. Des fois, que les rats soient plus nombreux que prévu ! 

D'ordinaire, le mal s'effondre justement au moment où il pense triompher. 

Les vendanges gazopétrolières avaient eu lieu avant la moisson. Sacré monstre, il avait bu le vin avant de le tirer ! 

Mais le malheur ne venait jamais seul. Les lafiens devraient également se résoudre à faire avec cette raréfaction attestée de la gente féminine. Allait-on partager ? Allait-on faire voeu de chasteté ? 

Et puis quoi encore, comme s'il y avait encore garçon à Laf ? 

Le régal vendredique des toqués....

mardi 31 octobre 2023

TROISIEMES LARRONS....

Il n'était pas interdit, sauf au plus ample informé, de se gausser d'une chèvre qui va bégueter devant la hyène sur la façon dont elle voudrait être dévorée !

Paname etait devenu un purgatoire pour le monstre. Les haillonneux l'avaient décrété ainsi. 

Canines flamboyantes, les canaillons menaçaient la riche organisation de la dembacratie. 

La canaille s'était jurée de rendre Laf en enfer mental des haillonneux pour ensuite lancer la contre-offensive internationale. 

Elle avait enrôlé la brigade de nécrobies car il fallait bien, tout bientôt, s'occuper du cadavre du gourou quand on lui aura aspiré tout son sang. 

Les nouvelles recrues, le petit maure en tête, réclamaient avec insistance le grand animal à la tête du mouvement, au grand désespoir de la pintade à crête rougeoyante qui multipliait des gages de rachat. 

Il y avait un sacré coup bigrement diabolique à jouer en réussissant la jonction entre la canaille et la racaille ! 

Cerbère, déchaîné, ne l'entendait pas de cette oreille, qui y voyait un moyen de relever sa tête devant le satané Hades qui le daubait à ne pouvoir l'exprimer. Il va falloir qu'il écrase la gueule de Grosminet. 

Le chef assassin boudait. Hades l'encourageait et lui faisait miroiter des lendemains enchanteurs de diable. 

Judas le plus grand traitre de Laf et son Mauvais Larron croyaient avoir mal entendu, absorbés dans leur cogitation sur le troisième larron... Report, qui avait parlé de report ? 

La mort piaffait. Pour les lafiens, un devait mourir, et c'était le cas sauf que le monstre résistait furieusement mais pour Satan, tous les deux devaient mourir ! 

Que ne ferait Satan pour se concilier les charmes des sanglantes dames Bing, Bong, Beng et Bang ? 

Chiche, pour une fois que Satan tombait amoureux ! Et il aura fallu que cela advienne à Laf....

Haillonneux et larbins se rejoignaient au moins sur un point : le monstre, il n y en avait pas deux comme lui ; Seigneur fasse qu'il y en ait plus jamais !

Il avait réussi l'exploit de vider Laf de ses haillonneux et de déshumaniser ses larbins.  

vendredi 27 octobre 2023

LA TEMPETE VAMPIRITIQUE...

Or donc, selon un songe-creux mélanoderme, caucasien dans l'âme, la Terre perdue de Nigritie avait besoin de science et de technique. Bon.

Très bien même mais en attendant de voir comment la science et la technique pouvaient transformer ce rébus spatio-temporel désespérément rebutant, revenons dans notre terroir imaginaire au milieu de nulle part, Laf, où une tempête de vampirisme tropicalisé faisait rage.     

Quoique ce rêve bidon pouvait y être une solution accommodante parce que Tout, mer, air, terre et sous-sol y avait été bradé. Il ne restait donc qu'à lever les yeux au ciel. 

Les nuages, le soleil, les étoiles, l'oxygène, l'azote et le gaz carbonique étaient les seules ressources visibles aux lafiens encore hors d'atteinte de la rapacité cupide du monstre et ses larbins, pour le moment en tout cas.

Ce vent tumultueux favorisait une course au sang du gourou. Nonobstant les confidences de son papa, Satan, au sujet des propriétés sans prix de cette pierre philosophale, Hades n'était pas certain d'être le seul dans sa quête. Il n'osait même pas penser à son plus grand rival... Cerbère lui léchait les bottes, espérant une toute petite goutte... 

Un obstacle de taille s'était brusquement élevé au milieu de la piste de course ; sans crier gare, le monstre avait dissous le club des lascars. Certaines poupées telle celle à la grande bouche ne s'en remettaient tout simplement pas. 

Mais depuis qu'un cabot, Milou en l'occurence, s'était essayé à la communication, rien n'était impossible à Laf. L'espoir ne pouvait ni ne devait être perdu.  

D'autant que les braiments du Larbin Noir et les bouboulements du Hibou Lugubre laissaient augurer de sa reformation, très prochainement. 

La grand-poupée en avait cruellement besoin. Il n'y arrivait plus avec ce passif catastrophique qu'on voulait lui coller au dos incapable de se défaire de ce coaching balourd qui aiguillonnait vers lui tous les aigrefins connus de Laf. 

Les haillonneux réalisaient que le complot national avait fini de s'internationaliser... Il dépassait le gourou, les haillonneux, les haillonneuses, les lafiens et les lafiens et épousait l'origine géographique et biologique du gourou. Combien cela avait-il coûté au monstre ? Comment Laf s'en acquitterait-t-il ? 

Que le gourou crève et ça ne serait qu'un field nigger de moins et un peu plus d'aise à la conspiration des illuminés dont le tenant était d'anéantir cette dégénérescence raciale prolifique et nuisible et dont l'aboutissant consistait à récupérer  la part de la manne divine de celle-ci, qu'elle ne méritait point ceci dit. 

Le monstre s'abîmait en calcul.... 

Le grand animal et le chef assassin planifiaient une sécurité de tonnerre pour un enterrement de basse classe... 

Judas, le plus grand traître de Laf et son Mauvais Larron s'affairaient joyeusement au montage de fontaines de larmes de crocodile.  

Et le Calculateur Souverain, dites-moi, à votre avis, Il faisait quoi ?

lundi 23 octobre 2023

LA VALSE DES GNANGNANS...

La canaille, cette bande de jacassants corbeaux montée à la va-vite pour tenir en respect une marmaille de jour en jour plus rouscailleuse, nous avait répondu à la place des cerveaux fichus auxquels nous nous adressions . 

Elle nous envoyait au diable pour cette question idiote dès lors, selon elle, qu'il n y a pas et qu'il n y en aura jamais plus personne pour oser le constater encore moins de songer à ce qui s'y ensuivrait... 

A juste raison, on l'avoue, car il n y avait plus garçon à Laf. Le dernier couillu était sur le point d'enfourcher son cheval pour une promenade éternelle dans les prairies célestes. 

A quel entrepreneur veinard écherra le marché de   l'importation de semences pour générer des lafiens modèles, loyaux serviteurs de la dembacratie en remplacement des vauriens et sauriens haillonneux poussés à la mer, dans les airs et par terre, hors des frontières lafiennes, à la stupeur générale ? 

Les larbins expectatifs étaient en quasi adoration. En cause, le nouveau produit de l'intelligence prodigieuse du monstre, genre mélange entre éléphant et octopus, qui avait pondu le tandem de tonnerre : Grosminet et Milou, remarquables de sottise éhontée et fourberie résiliante, le jackpot quoi !

Y en avait même qui se doutait de la part du monstre d'un don de  métempsychose à l'oeuvre, de laquelle seule pouvait procéder cette transfiguration époustouflante de ces gnangnans. 

Toutefois, ceux qui pensaient que Condoreau et Voldemort avaient été désincarnés, n'avaient raison qu'à demi. Leur mauvais karma était aussi en cause. 

Condoreau s'était brûlé les yeux à trop contempler le soleil avant que le monstre ne le sacrifie à Cocha Mama subitement rétive à toute manifestation de sa générosité. 

Voldemort qui n'avait ni ne savait plus où aller avait été livré, en fait, aux haillonneux enragés bannis. 

Au grand désarroi du monstre, cependant, Hades le fils de Satan, regimbait. Faire un pas sans l'aval de son maudit paternel était impensable ! 

Le grand animal et le chef assassin continuaient de tenir le haut du pavé, plus que jamais. Les deux ignares respiraient mieux, défaits de l'étreinte pédante du condoreau !

Au fin fond de nulle part, le cri perçant du Mauvais Larron avait secoué les fondements de Laf. Seul Judas le plus grand traitre de Laf ne l'avait pas entendu. Satan avait exaucé ses voeux de surdité.    

vendredi 20 octobre 2023

REGRETS DE CRAPAUD...

La crapaude, dans sa tête, pensait avoir vendu une embrouille diabolique pour raser le poil à gratter du monstre, le gourou en l'attaquant là ou ça pouvait faire le plus mal, sous le nombril, et ruiner ce qui le faisait craindre, sa popularité extraordinaire, sous entendu d'aider à la percée de son jules chéri, in fine.   

Elle était peu fière, à présent, qu'entre les mains du monstre et ses larbins qui s'étaient pris à rêver d'une napoléanisation aurozircopétrogazière, mais aussi à la faveur d'une farouche résistance du gourou, son plan ait servi à construire une arme de destruction massive. 

Rien n'allait plus. Au gré d'un concours de méchanceté, le monstre tenait les lafiens opportunistes en haleine avec sa longue fourchette avec au bout des morceaux de mou de l'alléchant gâteau de prébendes et de privilèges.

Rien, absolument rien, aucun code, aucune loi, encore moins une personne ne pouvait le retenir de mener son plan d'extermination du gourou qui l'avait mortellement atteint en anéantissant son destin néronien. Il avait le droit de se venger, quand même !

Peu importe qu'il y perdît et sa superbe morgue et sa raison. La pression du sikori avait de quoi rendre dingue. 

La marmaille réalisait comment elle avait été utilisée comme une serpillère. La pintade maniaque du grattage n'allait pas arranger les choses, loin de là. 

La racaille était banalisée à force d'être mobilisée pour rien même contre le nom du gourou. Grosminet pouvait déjà trouver un soutien de taille en Milou qui rabrouait les haillonneux à tout-va.

Ces derniers n'avaient que leurs yeux pour pleurer sans épaule consolatrice consistante. Eh bien parce que tout Laf était couché à ramper devant le monstre. 

La grand-poupée, jadis le grand-mollasson, apprenait l'autonomie. Elle gardait pour l'instant tout au fond d'elle ses convictions intimes que cette bêtise crasse du monstre était le problème en-soi.

Elle nourrissait le secret espoir de tailler bavette, à la première occasion avec les anges gardiens du monstre, le grand animal et le chef assassin. 

Dans ce système dénué de tout code moral déontologique et juridique, qu'est ce qu'il adviendrait si le chef perdait la tête ?

Et si le monstre était fou ? 

Aux esprits tordus si enclins à créer des ponts entre fiction et réalité, est ce que le monstre n'était pas fou ? 

mardi 17 octobre 2023

LES JEUX SONT FAITS !

Le grand incendie allumé par la haine du monstre contre le gourou cramait les écuries du monstre. 

La fumée dégagée par la combustion des coeurs de larbins alimentait l'atmosphère soufrée vitale aux démons. 

Y avait-il quelque chose à récupérer ? Y en avait-il qui pouvaient être sauvés ? Satan accepterait-il de lâcher prise ? 

A la vérité, les lafiens ne devraient-ils pas, en fin de compte, s'en prendre qu'à eux-mêmes ? 

Un peuple qui élit des corrompus et des voleurs  pouvait-il invoquer le statut de victime ?

Tout de même, comment pouvait-on sauver Judas le plus grand traître de Laf qui se cachait derrière ses deniers pour mourir et le mauvais larron qui se liquéfiait dans le dévergondage intellectuel ?  

La machine s'était emballée, échappant au contrôle des lascars. 

L'opération exodus se retournait contre eux, fâchant le monstre qui y avait fondé un grand espoir d'un doux zéphyr pour cingler son bateau de l'apocalypse aux voiles désespérément plates. 

La voix du peuple était la vérité qui flirtait avec la volonté divine. Elle sourdait plus que jamais. 

Au pays de la grande pomme, on lui avait interdit l'accès à la source du respect. Honte à sa pintade qu'il aura engraissée pour rien ! 

Son influence s'amenuisait auprès de sa marmaille et de sa racaille. Condoreau et Voldemort n'étaient que des bons à rien !

Peut être bien que cette fois c'était la bonne... Les jeux sont faits...la bonne occasion de dire adieu... pour affronter ce qui l'attendait.

Cerveaux fichus, régalez-vous !

vendredi 13 octobre 2023

DES CERVEAUX FICHUS...

La cohabitation entre péquenots et pâtres, partout et toujours, a été problématique, c'est une chose. 

Une autre est que cette énième déflagration est un air de déjà vu. 

Alors les picotins sémites aux instincts carnassiers peuvent bien s'automanger jusqu'aux os, ils ne sont pas prêts à nous porpoindre, nous autres damnés de la terre. 

Comment oublier, en effet, que ces deux groupes partagent en commun une haine viscérale des nigritiques. L'hypocrisie était pire que la mécréance. Pour eux tous, le bon greune, c'est l'eunuque mamadou ou la sex-toy fatou.

Les féroces péquenots étaient passé les maitres incontestés de réveiller les plus vils instincts bestiaux chez les bolos, en particulier chez les potentats négros pour s'éterniser au pouvoir.

Les misérables pâtres étaient de redoutables dresseurs sournois de negros, les potentats en l'occurence, à manger dans leur main, mendier sans vergogne et s'aplatir par des révérences iconoclastes devant des altesses perverses afin de tenir table et enluminer leur pouvoir.  

Le piquant est juste d'opposer la roumergue endiablée des cafards du monde entier envers leurs péquenots chéris qu'ils considèrent comme les remparts extrêmes orientaux de leur culture et la molle sympathie des moricauds ensuqués en faveur de leurs frangins pâtres fada. 

Cette opposition met en forme une guerre de religion qui même si elle ne dira jamais son nom n'en est pas moins une.

A Laf, c'était le cadet des soucis de grand monde ! 

Satan n'était pas prêt de lâcher ce merveilleux terroir de Laf. On se bousculait à son portillon. Son appât humain, Hades, avait fait du bon boulot. 

Belzebut ne l'empressait-il pas de reconsidérer les cas désespérés du larbin noiraud au coeur noir, de Voldemort au cerveau désagrégé, de Condoreau le déshonoré qui lui tendaient la main avec un touchant tiep ? 

Les lafiens observaient désormais avec une grande curiosité jusqu'où les mènerait l'animosité irascible d'un monstre qui brisait tout devant lui pour s'accrocher au pouvoir. 

Ces nouvelles poupées lui seront-elle d'une quelconque aide ?

La confrontation n'avait pas dézingué que les fondements du vivre ensemble, le lafien avait été métamorphosé durablement par les miasmes de ce conflit qui dépassait les bornes du permis.

La preuve, de plus en plus nombreux de gens sont à guetter ces élucubrations de jababu aux vies ratées et dont ils essayent de dénicher une quelconque ressemblance avec des des personnages et des faits réels. 

Cette ressemblance imaginaire, bien entendu, ne pouvait être tentée que par des esprits tordus, des cerveaux fichus on vous dit !

dimanche 8 octobre 2023

SANS LES MAITRES CHIENS

Oy voy ! La mère-patrie des fripons fabricants et protecteurs de monstres et leur engeance brûlait. La justice immanente ou le karma ? 

L'un dans l'autre, il était bien clair que Ya Houwa montrait que ça patience avait des limites et qu'il ne saurait plus tolérer que quiconque puisse prendre ses enfants continûment pour des canards sauvages.

Le monstre et ses cavaliers haineux, en adeptes de la polistique, savaient à quoi s'en tenir. Que faire sans les maître-penseurs ?

Même la bestialité méronique ne pouvait lutter contre la force irrésistible de la conscience populaire. 

Les valets de l'Africanistan montaient au créneau. Le béydane raciste y allait de son temp en mode soutien à la majesté raciste. 

Laquelle l'avait instrumente de lui grappiller quelques actions de l'immense complexe de jeux pour illuminés benladenistes en gestation.  

Il n'était pas question de laisser le rival berbère s'accaparer de tout ce territoire.

Jadis clone parfait du monstre lafien, le gredin avait retourne sa veste. Il avait réalisé que les nigritiques n'étaient que des mendiants jamais assouvis de la commisération leucoderme. 

Le grand mollasson et les mollassons mettaient pied à terre. Le combat était terminé. Laf était vide de haillonneux. 

A la satisfaction ineffable du monstre, ils en avaient  emprisonnés certains et éparpillé d'autres au gré du vent grâce à l'opération exodus rondement menée comme jamais auparavant ! 

Mais les Tontons et Tatas désormais hôtes des haillonneux étaient très mécontents. 

vendredi 6 octobre 2023

LE BOAT PEOPLE...

Le grand mollasson avait subodore le piège qui lui était tendu à travers cette condescendance du monstre trop généreuse pour être honnête. On voulait l'amener à se dévoiler. Pourquoi payerait-il pour tous ?  Qui est fou ? Eh bien, à avide, avide et demi ! 

Le monstre tenait sa poupée. Ses pygmalions phaserades avaient vu juste. La cupidité était le tombeau de l'ambition. Halluyah ! 

Il n'allait pas faire la fine bouche car c'était la même stratégie que déroulait son ennemi mortel.  

Il était moins content de sa barbouzaille sekanazie car le gourou continuait de respirer. 

Avoir du pétrole était chose dangereuse pour un pays. C'était l'argument nouveau du flibustier nymphomane. Cherchait-il à convaincre ou à persuader ? Qui donc ?

La sanglante racaille ainsi que la perverse marmaille l'entendraient-elles, ainsi ? Se sont elles débauchées à ce point pour en arriver à cette extrémité ?

En survolant la planète bleue, le pétrole n'a été chose dangereuse qu'entre les mains nigritiques. Cette manne, comme du reste toutes les autres mannes que l'Omnipotent avait doté les nigritiques, n'a jamais bénéficié aux autochtones sinon à l'étranger si puissant à émerveiller les potentats négros.    

A l'instar de son gourou adoré confiné aux limbes, Laf frêle boat people sur une mer déchaînée, ployait mais ne rompait pas. 

dimanche 1 octobre 2023

LA MATHEMATIQUE PERVERSE

La chasse au gourou avait épuisé le monstre et ruiné Laf. Allons donc, la boulimie de cash avait eu raison de la raison lafienne...

Le grand mollasson n'était plus tout aussi chaud. Son destin de chupacabra se matérialisait peu à peu sous ses yeux ; le monstre ne lâchait rien, il n'allait être qu'un pantin...

Narcisse ne perdait pas espoir... Il ameutait les prophetesses, une nouvelle curiosité sur la place lafienne... 

Condoreau multipliait les incartades comme gages de sa loyauté. Le cuistre tout autant que le grand animal et le chef assassin devenaient pintons... Ils s'enivraient d'amrit. 

N'était ce pas la botte secrète de Hades, le néo-démon, qui avait mis la marmaille à genoux désormais et éloignait tous du corps désincarné du gourou ?

Seul Satan pouvait les sauver car leur vie, leur gestion de Laf par procuration ne tenait qu'à un fil... celui de la volonté de la pire espèce déviante humanoïde qui défendait, avec becs et ongles, que six millions de feujs valaient plus que cent millions de keblas. 

Le monstre et ses larbins comme la racaille étaient les cobayes lobotomisés de cette nouvelle mathématique perverse et blasphématrice.

C'était plus que jamais du coton pour le gourou. Les haillonneux pouvaient rêver.

La tragédie qui se jouait à Laf marquait à tout le moins un coup d'accélérateur de la fin du monde. La science y avait été retirée et le pouvoir allait rester entre des mains aussi indignes que celles d'un alien.    

Toutefois maintes prévisions ont été déjouées par l'Amplement Informé dont l'intervention transcendantale d'un tout autre ordre d'une toute autre nature n'était redoutée que par Satan qui par expérience l'avait subie...

Nul ne pouvait nier que les lignes tanguaient. On n'était absolument sur de rien.