EXCELLENTS CHAUFFARDS ....

Penser que l'acquisition par la police de quelques véhicules blindés peut suffir à calmer cette colère sourde montante des populations montre la hauteur d'esprit des chauffards de notre minable démocratie.

La vergogne a déserté les cimes. Des bébés qui meurent calcinés, des policiers en formation qui meurent comme des mouches n'émeuvent plus un Etat.  

Le certain est qu'il faudra plus d'intelligence et moins de bêtise pour avoir un pays sûr si  tant est que notre incompetent président et sa valetaille ne cesseront d'être animé par cet inhumain complexe de supériorité rendu par une arrogante et désinvoltante méchanceté, tant que des dirigeants cupides ôteront littéralement le pain de la bouche des masses, tant que le bien-être des populations sera le cadet des soucis du gouvernement.    

La sécurité de tous dépend de la sécurité de la sécurité de chacun. Ce n'est pas aussi diable que ça en a l'air, allons donc ! 

Oui, elle est vraiment grande, notre démocratie, si un commissaire peut impunément ajuster un jeune et lui écraser la tête à bout portant, si la gouvernance militaire du palais de la République peut séquestrer et torturer un citoyen sans coup férir, si le bilan macabre de 15 jeunes en est un excellent baromètre de bonne santé !  

Mais aussi grande qu'elle soit dans l'imaginaire de nos fantasmagoriques dirigeants, elle n'arrive pas à la cheville l'ouragan Sonko épouvantail malgré lui et très conscient d'être le gouvernail de l'Etat. 

Toute l'énergie, tous les talents et toute la matière grise de l'Etat ne sont-ils pas désormais exclusivement mobilisés contre lui quand il ne motive et ne module toute action et toute parole de notre incompétent président ?

DE TOUT COEUR AVEC MAMAN AMINATA

JOYEUX ANNIVERSAIRE  ET MERCI POUR TOUT MAMAN AMINATA SOW FALL

BOKASSA CONTRE MOBUTU....

Jusqu'à quand nous autres sénégalais allons-nous laisser ce binôme sauvage, Maky Sall et Ousmane Sonko, troubler notre quotidien et se moquer de nous ?

Serigne Mountakha, au nom de tous les chefs religieux du pays, n'a-t-il pas demandé et déployé suffisamment de moyens pour la sauvegarde de notre quiétude ?

Chaque jour qui passe nous montre à suffisance que l'avenir du Senegal ne saurait prospérer entre les mains d'un de ces deux individus extravagants belliqueux ! A Dieu ne plaise !

Oui, ces deux zigotos commencent sérieusement à nous pomper l'air... 

L'un se réfugie derrière "ses" forces de la sécurité publique tel un roi et l'autre derrière "sa" jeunesse tel un timonier. 

N y a-t-il donc pas un sénégalais parmi les seize millions que nous sommes pour leur dire leur fait, les obliger à cesser d'essayer de nous transmettre coûte que coûte leur peur intime ?

Apparemment c'est peine perdue au niveau de leurs partisans et collaborateurs...  

Parce que cette confrontation n'a plus rien de politique, ce sont les services d'un promoteur de lutte tel que Gaston Mbengue qui sont plus requis...

Devrait-on en guise de requiem à notre minable démocratie en être réduit à choisir entre un Bedel Bokassa et un Mobutu ?

RESISTER CONTRE L'OURAGAN...

L'incompétent président sait à quoi désormais s'en tenir... 

Il a une idée de la gestion du Fonds Covid, ô combien symptomatique de sa gestion sombre et vicieuse qu'on lui reproche encore et encore !

Que cette révélation sismique ne lui ait arraché qu'un petit sourire en dit long malheureusement sur son incapacité à juguler le mal. 

Ben.. S'il n'est pas capable de sanctionner son beauf, on ne voit vraiment pas comment oserait-il s'en prendre à ses autres collaborateurs aussi fautifs.

Se réfugier donc derriere l'apathie et se perdre dans la violence ne serait qu'une dégoûtante mascarade.

La réalité rattrape toujours, cependant. La messe sur l'emploi ainsi que les nombreuses contributions de senegalais sur cette question devrait convaincre notre incompétent président, une bonne fois pour toute, que les solutions existent.

On doit déploreer plutôt qu'il ait toujours manqué de la clairvoyance politique - intelligence devrions-nous dire- à notre présidents qui s'est vu si beau pour jouer le role de messie.

Trés bien réveillé, à présent, le lion qu'il est dans ses idées peu songer à travailler... Et puis arrêter de suivre la direction indiquée par l'ouragan Sonko ! 

Meme si, on le lui concède volontiers, cet ouragan est trop fort !

Y A-T-IL VISION ?

Le probleme de l'emploi des jeunes reste l'urgence sociale au Sénégal contre laquelle se sont cassé les dents tous les régimes qui se sont succédé à la tête du pays...

A l'approche administrative de Diouf a succédé le foisonnement institutionnel de Wade qui se sont tous soldés par des echecs. Beaucoup de moyens pour peu de résultat !

Sans tirer aucune lecon de ces initiatives passées, notre incompétent président a succombé à son tour à cette culture d'improvisation.  Autrement, un réaménagement budgétaire n'aurait pas été aussi évident !

Alors que le moment n'a jamais été aussi propice à la construction d'une politique de l'emploi, il a été préféré des opérations spectaculaires mises en place hâtivement et sans vision d'ensemble.

Nous ne croyons pas qu'il faille privilégier une catégorie de la population par rapport à une autre dans  le cadre de la lutte contre la pauvreté, ce dont il s'agit réellement effectivement.   

C'est juste que sous nos contrées, la pauvreté se décline davantage par une absence de revenus et que l'emploi est le moyen, pour la plupart, d'en avoir des permanents et des décents. 

C'est lubie de vouloir faire de tous, notamment les jeunes, des entrepreneurs.

Commencons d'abord par conserver et protéger les emplois actuels en arrêtant les importations sauvages.    

Ensuite rebâtissons une industrie qui doit être le secteur le plus pourvoyeur d'emplois salariés pour une société aspirant à la transformation.

Construisons en masse des écoles et des hopitaux....on recrutera en masse !

Renforcons les brigades du service d'hygiene et des sapeurs pompiers ainsi que les services de nettoiement/entretien de l'environnement. 

C'est toute l'essence d'un Etat ! Des dirigeants responsables n'ont pas besoin qu'on le leur rappelle pour ne pas avoir à subir la pression de la rue. 

DU SOLEIL SENEGAL...

La liste des dégâts collatéraux du passage de l'ouragan Sonko ne cesse de s'allonger. 

Monsieur Papa Amadou Sarr paie en même temps que la vision politique paresseuse de notre incompétent président, le malheur de s'être comparé au beauf ! 

Depuis quand la coloration politique, en l'occurence celle d'opposant, est-elle un critère de bonne décision dans l'allocation des deniers publics ?   

C'est que dans ce combat, sans survivant, entre Maky Sall et Ousmane Sonko, le pays retient son souffle.

Quand un pays est à l'arrêt, les rats, les souris et leur sinistre engeance en profitent à fond la caisse ! 

Notre prétentieux genie politique ancien méchant sultan n'a plus beaucoup d'atouts entre ses mains. 

La lecon n'est pas malheureusement encore sue par beaucoup quand on voit la rage écumer de la gueule du face d'ange POD qui répondait à la starlette Halima Gadji !

La solution se fait désirer... Elle pourrait venir du ciel si le garçon Karim Wade débarquait en plein Dakar, comme un grand  ? 

Cette catharsis serait une thérapie collective. Nous serons juste quitte de quelques crises cardiaques dans les rangs des chenapans dressés à l'humiliation.

Et on ne fera plus l'ânerie d'exiler un sénégalais, on ne déploiera plus autant de méchanceté pour honnir un sénégalais, on n'osera plus tenter d'excommunier un compatriote de la chapelle commune ! 

Le soleil du Sénégal luit pour tous les sénégalais, asurémént !

UN EXPLOIT SURHUMAIN...

Comment faut-il s'y prendre avec notre incompétent président pour qu'il ait l'amabilité d'organiser les elections ? Ce ne sera certainement pas à genoux, quand même !

Maitre El Hadj Diouf nous avait déja vendu la mèche : notre ancien méchant sultan avait clairement exprimé son désir de ne pas organiser une quelconque élection de sitôt ! 

Mais ça, c'était du temps de sa superbe hautaineté ; la loi, pour lui, s'applique aux autres !

Que le "système démocratique" sénégalais en arrive à coincer ainsi lamentablement est juste pathetique. 

Peut-on continuer de parler réellement de démocratie ? Faut-il recommencer à la réécrire ou juste commencer par jeter les bases d'un systeme normé hors d'atteinte de la ruse et de la félonie ?

Dans tous les cas, effectivement, on peut bien parler de pathologie démocratique quand le calendrier républicain est soumis aux caprices d'un seul homme qui foule la loi.. 

Cela se passe tout simplement de commentaires quand de prétendus démocrates l'encouragent, la bénissent et adhèrent à cette dérive monstrueuse !

C'est que sentir, déjà, un homme qui s'est arrogé le droit d'exiler un compatriote est déjà un exploit surhumain... ceci explique cela...peut être !

IL EN EST AINSI....

Quelqu'un a-t-il demandé à quelqu'un de prendre parti pour ou contre l'ouragan Sonko ? Voila des positions farfelues superflues... 

Le fait constant est qu'une convocation illégale a été la goutte de trop, assez pour déclencher une mobilisation citoyenne qui a permis que l'on se décidât trés sérieusement à remettre les choses en l'endroit ! 

L'arrivée d'un gendarme intégre à la tête de l'abattoir favori de notre incompétent président, la Section de Recherches, est un autre jalon trés apprécié sur ce chemin obligé.

Nos gamins ne devraient certainement pas être morts pour rien, on l'espère ! Monsieur Zé Jamé Di doit en faire un sacerdoce.

Etait-il parti pour rendre compte ou pour saisir la perche tendue ? On en jasera sûrement encore mais les dirigeants européens ont bien raison, dans tous les cas, de ne plus accepter que leurs ressortissants et leurs biens pâtissent des conduites immatures de leurs homologues africains....

En définitive, il est tellement ridicule de penser pouvoir se relever du mépris de ses compatriotes à partir de l'exterieur !

Cest qu'en fin de compte, le temps donne raison -encore une fois- à Maître Wade pour s'être défait de certains de ses camarades, en découvrant, avant tout le monde, le côté sombre et ingrat des personnages.  

Nous avons découvert ainsi que Idrissa Seck etait un as de l'espionnage et de l'indiscrétion et que la gouvernance sera toujours pour lui un jeu.

Et Maky Sall nous a achevé par sa violence et sa mégalomanie. Et que la Présidence de la République n'est pour lui qu'une position à partir de laquelle on doit montrer qu'on est un vrai homme, l'homme le plus fort, le seul sans doute !   

A chaque fois, seul feu Sidi Lamine Niasse avait eu le flair... 

Pourquoi en est-il ainsi ? Les paroles du sage bêchent le jadin quand point le jour. L'oiseau de Minerve prend son envol à la tombée de la nuit.  

LAISSEZ-LE PARTIR...

L'entourage de notre incomptétent président va devoir chercher pendant longtemps encore pour esperer retrouver grace aux yeux de leur champion.

Les courtisans de notre ancien méchant sultan savent-ils seulement que ce dernier n'a même plus le choix ? 

Ils l'ont mis dans une posture telle qu'il ne peut plus composer avec personne d'autre ou plutot telle que que rares sont les personnes qui veulent l'accompagner dans la dernière étape de sa gouvernance catastrophique !

Ils peuvent donc rester tranquilles, le remaniement annoncé pour nécessaire qu'il soit ne sera qu'un leurre. Son effet ne guere pire qu'un pet de chameau !

Mais puisqu'il est aussi question de sauve-qui-peut pour le restant des troupes,  ne soyons guère surpris dans les prochains jours de noter une foison d'initiatives malheureuses.

Malheureusement, ce sera soit ramener au néant Ousmane Sonko soit mettre au monde le troisieme mandat présidentiel. L'un ne pouvant pas aller sans l'autre, nous pensons !

La sortie cocasse du sinistre Sidiki Kaba et l'annonce de la mise en place d'une commission indépendante pour adopter l'accusation du gouvernement contre Sonko de la responsabilité des manifestations dénotent ainsi l'énergie du desespoir.

Ce n'est par une pirouette linguale d'avocatillon du diable que l'on s'absoudra aussi facilement du meurtre de ces jeunes victimes.... Car, hier comme aujourd'hui, la sécurité publique selon la gouvernance du Sénégal, notamment celle de notre belliqueux fantomatique premier ministre et pas plus tard qu'hier à Kolda n'est qu'une suite de crimes impunis...    

Saurait-il y avoir un responsable de la révolution autre que l'incurie d'une gouvernance, de l'ignominie d'un systeme ?

Notre Revolution fait déja tache d'huile dans la sous region.... Gbabgbo et Ble Goude vont rentrer au bercail... Alpha Condé est plus que jamais dans de bonnes dispositions....Les marmottes doivent laisser le fantomatique premier ministre partir en paix...

...CIMENT POUR UNITE NATIONALE....

Jouer à se faire peur, ils adorent ! Mais pourquoi donc ?  

Est ce à dire qu'au Senegal, il ne s'en trouverait guère plus de causes davantage ou plus fédératrices ? 

...Tout y est passé pour nous foutre la frousse : si ce n'est pas le spectre du terrorisme ou la présence de forces occultes et même celle des rebelles du MFDC, c'est l'épouvante de la guerre inter-éthnique ou la menace de la guerre civile qui sont évoquées de la manière la plus extravagante.

Cependant, au plus fort de la crise récente, tous les segments nationaux dans une belle unanimité n'ont eu de cesse d'inviter le Président de la République à s'adresser au peuple. Et pour cause, l'alerte lui était exclusivement adressée !

Depuis, Maky Sall semble être bien la seule personne publique à avoir pu estimer la paix à son juste prix. 

Quand un peuple vous offre tout, ce peuple doit vous être plus cher que votre famille et votre propre personne, a-t-on tendance à oublier. C'est la marque des grands leaders du monde depuis qu'il existe ! 

Parviendra-t-il, toutefois, à faire la part des choses, entre ce qui lui "appartient", ce qui "appartient" à l'opposition et ce qu'ils doivent "partager" ? Il sera alors un démocrate accompli. Une vraie reussite pour le laps de temps qui lui reste.

Il se veut tout sucre, désormais, il sucre à tout vent mais sait-il qu'il a encore fort à faire, comme ses prédécesseurs, pour réaliser ses promesses qui montrent à quel point sa ruse lui avait fait perdre le Nord. 

C'est que notre acquis social en matière de transparence est dramatiquement indigent ! 

En cause la gabegie dans l'adminsitration, la gestion opaque des ressources naturelles, l'arrogance d'un système de prédation sans vergogne.

En tout état de cause, répondre à la lancinante question de la répartition inéquitable et scandaleuse du produit Sénégal ne pourra pas continûment attendre si on veut trouver du ciment pour solidifier l'unité nationale !

IMPROBABLES FRERES SIAMOIS....

C'e n'est pas seulement notre incompetent president qui doit des actions de grâce à son seigneur et maitre, Allah, qui a mis sur son chemin le grand calife Serigne Touba Serigne Mountakha. 

Le Président de la Rue Publique, l'ouragan Sonko, tout autant miraculé, doit s'estimer heureux et suivre les pas de son ennemi juré.

Nos deux protagonistes, ironie de l'histoire ou coup de pied du destin, se trouvent ainsi  logés à la même enseigne : n'eût été l'autorité du vénéré calife, les carottes seraient cramées pour chacun d'eux depuis bien lurette.

Dans notre quiproquo de démocratie, où chaque avancée est considérée comme victoire de l'opposition et concession du pouvoir mais jamais mérite du peuple, nous en sommes arrivés à vivre cette situation absurde.

Jamais le destin d'un président élu n'a autant dépendu de celui son principal opposant. Et vice et versa.

Eh bien, pour l'un c'est la rançon de la vanité de l'incompétence, pour l'autre c'est la monnaie de la nonchalance de la témérité.

Dans ce moment, l'absence d'une justice responsable -  qui est assez fou pour donner l'indépendance à ces juges-là ?- nous désempare parce que,justement nos forces de sécurité sont plus soucieuses de l'ordre du prince que de l'ordre républicain.

L'Assemblée Nationale.... bof....

Mais, ne désesperons point, c'est Pâques ! Le seuil d'une nouvelle dimension pour le Senegal !      

JUSTICE DE LA FORCE....

On racontera que nous eûmes l'honneur, un jour, d'être les telespectateurs, médusés, de la métamorphose de notre président pour entendre son plus beau discours, malgré un fort accent de néo-débutant.

Vient-il, seulement et maintenant d'entrer dans la peau d'un président, de trouver enfin le mode d'emploi de sa fonction ?

Mais le discours aussi rassembleur soit-il nous laisse sur notre faim quant à la nécessaire refondation de l'Etat de droit. 

C'est le symbole de notre unité dans l'égalité, la marque déposée de la république mise à rude épreuve qu'il a omis de parler... 

Il faut sauver nos magistrats de toutes les juridictions qui sont les premières victimes de ce mal-vivre cristallisé par la défiance populaire vis-à-vis de la justice !

La question est de savoir si on peut faire du neuf avec du vieux, si précisément on peut avancer dans cette direction avec les actuels ministres de l'intérieur et de la justice, l'actuel procureur de la république et l'actuel doyen des  juges.

Dans un Etat au systeme judiciare mise à plat, la force remplace le droit. 

La tentation de recourir à la force prend le pas sur toute autre consideration et elle est d'autant plus grande que les interventions de la justice emportent le doute.