mardi 30 mars 2021

DU JOB PRESIDENTIEL..

Monsieur Madiambal Diagne est malade, trés malade. Mais que n'a - t- on pas dit, auparavant, de bien pire que ce qu'il a dit ? Combien de gens ont dit pire avant lui ?
 
En tant qu'énième malade, donc, il peut bénéficier largement de circonstances atténuantes... Parce que la propagation insidieuse de la haine inter-ethnique est la faute exclusive de notre incompétent président.
 
Il laisse dire comme il a laissé dire, hier, au temps de sa morgue superbe quand il était plus occupé à faire traquer rageusement des compatriotes pour des broutilles par sa ribambelle de bouchers et de bourreaux ! 
 
Tout comme les recents evenements malheureux lui ont instruit d'arrêter,  les vilaines déclarations lui commandent de prendre ses responsabilités.
 
Il doit se ressaisir pour faire son travail sans bavures... car c'est le job d'un président de veiller sur la cohésion nationale tout autant que sur l'intégrité territoriale de son pays...
 
Faute de quoi, ses énormes succès diplomatiques avec la Gambie, la Mauritanie et la Guinée Bissau qui, cela dit, doivent être étendus trés rapidement à la Guinée n'auront servi à rien !

dimanche 28 mars 2021

FUMER LE CALUMET DE LA PAIX....

Au train où vont les choses, qui ose encore parier que l'incompétent président est toujoiurs l'homme de la situation. Comment, en effet, pourrait-il résoudre la contradiction principale qui se dresse devant de lui ?

Les troupes de l'ancien méchant sultan rament ouvertement à sens contraire de sa nouvelle manière d'agir, sans doute déboussolées par le spectable du nouveau visage de leur mentor mais sûrement déroutées par les jalons de paix posés par ce dernier. .

Ce qui est évident, c'est bien qu'elles sont guidées par leur instinct de survie. Peut-être qu'il y a de quoi ! L'idée que Maky Sall ne peut plus se présenter ainsi que les ragots sur un prétendu protocole de non-poursuite contre Maky Sall, sa femme et ses enfants les fait craindre le pire. 

Au déla du spectre de la précarité redouté par certains, c'est le syndrome du garcon Karim Wade, tout à coup rafraîchi dans les mémoires, qui nourrit désormais la peur d'autres d'avoir à payer pour tous, au nom de tous.

D'où notre demande instante que, de part et d'autre, l'on arrêta de jouer aux hypocrites, de se moquer de nos autorités religieuses. Il n y a au bout de ce chemin que feu et larmes....

Le Président de la Rue République, l'ouragan Sonko, doit se calmer pour que l'on puisse fumer le calumet de la paix .... 

jeudi 25 mars 2021

SANS FOI, NI LOI....

En écoutant l'ancien procureur spécial auprès de la CREI radoter sur l'indépendance de la Justice, on croit rêver. 

L'histoire retient dèjà qu'il est l'un des tristes sires et dames qui nous ont fait perdre tant de temps, tant d'argent et tant d'énergie.  

Il est l'initiateur et premier lauréat du concours de méchanceté comme moyen d'épater l'incompétent président...

Ils nous ont bousillé notre président en libérant le monstre qui sommeillait en lui, comme en tout un chacun d'entre nous au demeurant ! 

Son vil comportement pendant l'instruction du dossier et lors du procès du garcon Karim Wade insulte encore l'honneur des magistrats et a terni durablement la crédibilité de la justice.

C'est que, oui, la méchanceté de notre incompétent président a eu besoin d'être encouragée, d'être fortifiée par de tels types méprisables !

Aujourd'hui, notre incompétent président et fantomatique premier ministre, l'ancien méchant sultan, Sa Majesté Zé Jamé Di, peut bien barbouiller dans la mélasse, tout seul !

Il reste à prier pour que Allah lui vienne en aide, à notre ancien méchant sultan perdu par les enjeux et qui n'a jamais trouvé le mode d'emploi de sa fonction présidentielle !

Un jour, il nous dira comment a-t-il osé se permettre le droit d'exiler un sénégalais comme lui de la terre de ses ancêtres !

Alioune Ndao et les personnes de son acabit donneront toujours un visage aux pires fréquentations, les gens sans foi et qui se moquent de la loi, à éviter absolument.... un avertissement sans frais !

LA CONFIANCE NATIONALE....

L'abandon scandaleux par l'entreprise chinoise sélectionnée à l'issue d'un appel d'offres des travaux de dragage de la breche fluviale a Saint Louis est sans doute le baroud d'honneur du systeme prédateur qui a jusqu'ici plombé le pays ! 

Cette hardiesse chinoise ne relève rien d'autre que la faiblesse d'un Etat qui n'est prompt qu'à bander sa force, la barbarie de ses bouchers et le sadisme de ses geoliers, contre les pauvres citoyens. 

Si l'incompétent président a compris le message envoyé par les jeunes révoltés, comme il a prétendu, il sait qu'il n y a pas d'alternative. Il faudra tout casser.   

Pour rebâtir, avant quoi ce soit, la confiance nationale, la codification definitive de notre commun vouloir de vie commune, qui est le fondement de toutes les grandes nations de ce monde... 

C'est d'ailleurs autour de cette question de confiance nationale qu'il avait battu campagne en 2012. Enfin presque !

Par conséquent, il sait, à peu près, en quoi cela consiste et son travail pourrait en être facilité.

Sur quoi, en fin de compte, les sénégalais, la classe politique en particulier, sont-ils d'accord ? Qu'est ce qui marche bien dans ce pays ?

C'est là, seulement là, qu'on mesurera son courage. L'an zero de la démocratie senegalaise est à cette aune !

Aristote l'a dit : si la vertu ne suffit pas à assurer le bonheur, la méchanceté suffit pour être malheureux !

mardi 23 mars 2021

ON S'AMUSAIT !

Le President de la Rue Publique, l'ouragan Sonko, continue d'imprimer la marche de la Republique, à son chef notre ancien et méchant sultan,  Sa désormais Majesté Jé Jamé Di, ci-devant incompétent et immature président, éternel fantômatique premier ministre et à sa coterie. 

Nous voyons bien son effet ! 

Et, rien que pour cela, tenir la dragée haute à un pouvoir, singulièrement en Afrique, mérite que l'on souhaitat trés long souffle à un tel phénomène naturel que la météo, au demeurant, a été incapable de prévoir pour prévenir. 

L'ouragan Sonko virevolte, il enrage par sa prestance populaire et son discours envoûtant ...

Et il confond les snobs autant qu'il pousse à la faute les encagoulés .. comme au Fouta, ou la déferlante corruptrice et serratique a été brisée net. La jeunesse Senegal est un seul peuple, un et indivisible !

Et l'on se rend compte à quel point, en croyant être le plus fort, notre ancien méchant sultan n'est, en fait, qu'un pantin entre les griffes de personnes beaucoup plus malignes que lui....  

Et le président de la République peut admirer le vrai visage de ses dames de compagnie.. de ses anciens valets de chambre... de ses anciens chambellans...de ses anciens majordomes... du temps de sa splendeur que ceux-là ont fortement contribuée à ternir définitivement ! 

Mais il y a tout à craindre que les dérapages verbaux des ennemis (oui, c'est bien de cela qu'il s'agit maintenant) du Président de la Rue publique ne soient que la fumée du feu auquel il le voue de toute leur force...

On ne va quand même pas s'amuser jusqu'à perdre le pouvoir... Oui, vous avez bien lu, on s'amusait.... 

vendredi 19 mars 2021

ETAT COMATEUX....

 C'est à croire qu'ils se sont passés le mot. Personne dans notre landerneau politique, aussi bien du camp du pouvoir que du camp de l'opposition, ne veut apprendre grand chose des évènements malheureux vécus par notre pays...

Cette tendance de part et d'autre  à vouloir tirer sur la corde risque de casser le peu qui reste de notre tissu social rudement mis à l'épreuve. Les cassures risquent d'être irrréparables sous le mode démocratique.

Le constat est certes amer, notre republique est malade, malade de son Etat qui a oublié sa fonction essentielle. 

L'Etat, oui, souffre au niveau de toutes ses institutions : un gouvernement arrogant et opaque, des forces de sécurité brutales et sanguinaires, une justice effondrée, un parlement inaniné. Les consequences sociales sont plus que dramatiques.   

Ce tableau dramatique du pays suffit pour imaginer fortement la posture inenviable de notre président, qui pour incompétent qu'il soit, n'en est pas moins conscient ! 

C'est justement en ce moment que nous scrutons le sens de la responsabilité du chef de cet Etat moribond, malgré son incompétence avérée durant 9 années.

Le peuple, comme toujours, plus mature que ses politiciens a compris qu'il faut s'arrêter, que la lutte ne doit pas se solder par des combats d'egos.

Il respecte le mots d'ordre des autorités réligieuses. Car la recherche de la paix est un vaste programme, une parenthèse ouverte pour remettre tout à l'endroit. C'est la seule exigence de l'heure.

Les milliards annoncés pour l'insertion des jeunes prendront toujours la meme destination, la poche des animateurs cupides du systeme d'accaparement ! 

lundi 15 mars 2021

UN SENEGAL DES AUTRES...

 C'est l'éclaircie, les marmottes sont sorties de leurs terriers  mais elles continuent de siffler à nous tympaniser...

Peut être qu'elles ont bien raison. Il y aura toujours drap, effectivement, tant que ces marmottes trouveront si difficilement supportable et acceptable l'idée que tout, absolument tout soit au peuple, que tout doive aller au peuple, à qui revient le dernier mot sur tout, en tout temps et tout lieu !

Malheureusement, il va falloir que nos sacrées marmottes s'y résolvent car le Senegal, ses nouveaux types de citoyens devrait-on dire, a bien opéré une revolution (si, si !). 

Quelle honte y a t il à reconnaître que la nouvelle génération a largué et bluffé beaucoup d'entre nous ? 

Mais nous disons que si le têtu s'obstine, l'opiniâtre persévère... et la différence se mesure au résultat !

Nous devons espérer plutôt que ce nouveau virage de la marche ambigüe du Sénégal en particulier, de l'Afrque en general vers la vraie émancipation des peuples soit plus détérminant que les slogans éculés et puérils des dirigeants complexés et hédonistes.  

Nous déplorons que Maky Sall soit tombé dans le piège de ces viles marmottes opportunistes qui ont fait sitôt de s'enfouir dans leur terriers à la moindre brise contraire !

Peu importe que le peuple sénégalais soit à présent catalogué xénophobe. Et puis quoi encore ? 

En quoi "le Sénégal aux sénégalais, d'abord" devrait-il déranger ?

Il y a bien longtemps que les mesquineries politiciennnes ont fait de notre pays un havre de paix que pour les autres ! 

N'est-il pas venu le temps de crier notre honte de paraître riche avec la richesse des autres,  de dénoncer l'inclinaison inique de nos élites de sembler insouciantes avec l'insouciance des autres ?

Au demeurant, le GAFA vient de mettre notre pays sous controle au motif que le blanchiment y ferait rage....

dimanche 14 mars 2021

BRISER LE PIEDESTAL....

Tout ce que peut dire un journaliste français sur Maky Sall est à prendre pour argent comptant. 

C'est un secret de polichinelle que ses oreilles, la plupart du temps, ont entendu mieux les desirs d'un procureur de Qatar que les demandes du sage Abdoul Aziz Sy Junior et mieux décrypté les messages de Macron que les conseils du vénéré Serigne Mountakha ! 

Ce sera peu, de toute façon, pour entâcher la victoire de la jeunesse sénégalaise.  

Idrissa Seck, "Lequel des bienfaits de votre Seigneur, nierez-vous ?" Coran 55-38.    

Allah ne nous avertit-il pas que " La manoeuvre perfide n'enveloppe que ses propres auteurs" Coran, 35-43 ?

Les leaders de cette jeunesse doivent éviter le piege de la paix, celui d'une paix partielle.

Il n'est pas demandé à Maky Sall, plus maintenant, d'agir. Son absence de vision l'en disculpe. 

Qu'il brise son piedestal afin qu'il soit clair définitivement que le Président de la République du Sénégal est un haut rang qui n'admettra plus un homme sans honneur !

La jeunesse doit maintenir cette mobilsation surtout pour que le meurtre de ces jeunes innocents compatriotes ne soit pas passé par pertes et profits ! 

La justice internationale doit faire le travail que notre justice nationale évidée par des lascars dont les noms ne saliront plus nos écrans, ne peut faire.

Et que les bouchers payent enfin le prix de leur sauvagerie, pour l'exemple !

En attendant, ayons-les à l'oeil quant à l'intégrité physique et morale du capitaine Touré.....

jeudi 11 mars 2021

LA CPI ARRIVE !

Quand les chuchotements des hommes de Dieu ne vous caressent pas l'âme alors leurs paroles vous foudroyeront le coeur ! 

A ceux qui savent comprendre, peu de mots suffisent...

Cette ronde de l'exécuteur et de ses chefs bouchers, autour de leus apprentis blessés en usant de la barbarie systèmique passe difficilement. 

Il ne manquait plus que la présence du stratège, du boureau et du croquemort ! Et le macoute, aussi !

Elle est une poursuite de la vaine tentative de notre ancien et méchant sultan, incompétent président et fantomatique premier ministre de nous conter fleurette, coûte que coûte.

Parce que bien évidemment, il n'a rien compris. Aux problèmes d'une gouvernance injuste et d'un Etat frivole qui sont posés, notre ancien et méchant sultan répond par des espèces sonnantes et trébuchantes.

Parce que bien évidemment, il ne comprend rien d'autre que le rapport de forces. Son changement est une gageure car c'est sa nature d'être violent et de s'entourer de méchanceté. 

A ce jour encore, il reste toujours celui qui aura porté à notre démocratie le plus sale coup de l'histoire : voter par la force sans pièce d'identite et sans émargement !

Un rappel historique s'impose : 

Lors de la funeste disparition de nos 93  diambars en 1991 au Koweit, la ceremonie funèbre fut conclue par une adresse d'un imam saoudien ponctuée d'ardentes prières au Seigneur qu'il daignat accorder au Sénégal un "kheweul" pour adoucir sa peine.

30 ans après, jour pour jour, le Seigneur Magnanime a largement répondu à la prière ; des gisements de pétrole, en veux-tu, en voilà, surgissent de partout...

Peut-on raisonnablement penser que le Seigneur laisserait un energumène mafieux s'emparer de cette manne céleste sans coup férir ? 

Mais trêve de discours, la CPI arrive !

mardi 9 mars 2021

DIEU EST AVEC NOUS !

 Merci Monseigneur Benjamin Ndiaye de nous avoir rappelé de la part du Seigneur que seule la vérité libere. Oui, Allah est la Verité, Al Haqou.

L'ouragan Sonko qui a soufflé violemment sur notre pays est la théophanie, Emmanuel, par laquelle Il nous a rappelé la vérité, Il s'est rappelé à notre souvenir ! 

Décidément, les chemins du Seigneur sont vraiment impénétrables. Alleluia !!!

Oui, nous sommes bien daccord avec vous, Monseigneur, qu'il faudra du temps pour nous guérir des traumatismes vécus. 

Leur racine est trés profonde car le vice avait fini de prendre l'apparence de la vertu dans notre société.

L'avarice de nos dirigeant les a rendus si insensibles au point que chacun de leurs actes n'étaient que pour snober et narguer le peuple et leur paroles un affront permanent aux étrangers de leur côterie. Leur goût du lucre a relégué la santé, l'école et le service publics, plus la vie de leurs compatriotes aux bas fonds de leurs soucis. 

C'est qu'en choisissant comme parrain le président défait en 2000, symbole achevé de l'immobilisme et du mépris du citoyen, le président fraîchement élu en 2012 avait sciemment opté pour un bond en arrière qui faisait table rase de toutes les conquetes democratiques survenues entre-temps.

Le président, singeant donc son parrain, s'est mis à dérouler comme un monarque de droit divin, roulant en carosse valant 1000 milliards de FCFA, tenant riche table à des courtisans gourmands à outrance, entouré de flagorneurs de la pire espèce constitués en "commando de la mort", exclusivement dévoués à lui faire place nette en face de lui, semant corruption et désolation:

- un courtier immobilier, sot et inculte, lui tenant de ministre de la justice et mentor de sa Majesté

- un magistrat, corrompu et arrogant, lui tenant de ministre de l'interieur préposé à la basse besogne de la traque des adversaires de sa Majesté

- un magistrat servile et sans scruple comme procureur-geolier des contempteurs de Sa Majesté.  

Ils avaient l'assurance du soutien indéfectible et accommodant des forces de l'ordre à la légendaire violence et au barbarisme sans nom qui se sont soldés maintes fois par des morts d'hommes jamais élucidées, au demeurant !

Soyez notre interprète pour lui transmettre nos milliards de louanges à Sa Grandeur qui a démasqué cette société. 

A présent, la couronne s'est brisée, les robes des valets de chambre sont déchirées...Le sultan est déchu. Il n'est plus qu'un gestionnaire de transition. Vivement 2024 !

La Tahzan, Inallah Mana !

lundi 8 mars 2021

REPUBLIQUE CONTRE RUE PUBLIQUE ?

L'élection de Maître Wade à la Présidence de la République en 2000 avait aussi signifié la vacance de la Présidence de la Rue Publique qu'il incarnait jusque là !

Personne n'y aura vu le vrai danger encouru alors par la démocratie sénégalaise. La démocratie régule la dévolution du pouvoir républicain mais n'en organise pas moins son équilibre.  

Sans contre-pouvoir, donc, le Président Wade a déroulé un jeu solitaire et est tombé pour se perdre dans la tentation monarchique...

La même mésaventure est arrivée à son successeur qui peut remercier le destin qui, in extremis, s'est manifesté à travers les évènements malheureux que nous vivons pour combler la vacance à la tête de la Rue Publique.

Ousmane Sonko est par la force des choses devenu le Président de la Rue Publique, vrai alter égo démocrate du Président de la Republique...

Bien sûr, cela n'aura de sens, dans la pratique, que si l'un et l'autre sont de vrais démocrates. 

Une chose est d'user, de bénéficier de la démocratie, une autre est d'y croire, de l'aimer.... Mais c'est une affaire du peuple, désormais !

dimanche 7 mars 2021

SIRE, CLAP DE FIN ?

Votre Majesté, 

On nous a rapporté que la méchanceté est l'apanage des idiots qui se croient forts ! 

Ils ne sont pas seulement cons de se méprendre sur leur force, mais ils le sont certainement d'autant plus qu'ils ramènent cette dernière à leur propre personne.

Et c'est à notre avis toute cette bêtise qui consacre la méchanceté des présidents africains. Si cons pour confisquer la force publique au point qu'à la longue ils en deviennent les jouets !

C'est ce lourd handicap mental, disons-le tout net, que vous trainez. 

Devant l'hécatombe jamais égalée dans l'histoire de notre pays dans laquelle votre vanité haineuse et votre tempérament méchant a précipité notre cher pays, ayez la lucidité de reconnaître que vous aurez réussi ou plutôt n'aurez réussi qu'une chose : Réduire votre entourage à sa plus simple expression !

Tournez la tête à droite et à gauche, Sire, Regardez devant vous et derrière vous alors vous verrez le vide moral que vous avez créé autour de vous et dévisagez sereinement ceux qui vous tiennent plus de valets de chambre que de collaborateurs.

Vous réaliserez alors l'étendue de votre faillite. Alors vous arrêterez d'instrumenter la force du pêuple contre le peuple...alors vous libérerez tous ceux qui sont embastillés par vos sbires pour vous plaire.

Apres,  vous prendrez la porte de sortie, pour le plus grand bien de nous tous !

samedi 6 mars 2021

DROIT ET DEVOIR, IL A DIT !

A travers les ténèbres des dédales scabreuses de la gouvernance sombre et vicieuse de notre méchant sultan, incompétent président, fantomatique premier minstre, une lueur a pu se faufiler.

Le bâtonnier de l'ordre des avocats et son secretaire nous ont ébloui, c'est peu dire, devant un magistrat qui, selon toute apparence, a pris le parti de se coucher à plat ventre.

Dans le tournoi de la méchanceté pour mieux servvir le méchant sultan, toutefois, la palme a été remporté par l'irrespectueux sinistre de l'Intérieur, l'affreux Toni.

Oui, pas un mot pour le gendarme Mohamed Ka qui obéissait à ses ordres mesquins !

 Mais est ce trop lui demander de faire abstraction de sa fougue fourbe contre le jeune Ousmane Sonko pour manifester un peu plus d'empathie à ce jeune gendarme désormais amputé ?

N'étant pas un blessé de guerre, on racontera, donc, à sa famille qu'il n'a été qu'un dégât collatéral !?

Au nombre sans cesse croissant de personnes qui maudisssent le jour de l'accession à la magistrature suprême d'un sale veinard, il faut opposer la masse critique de sénégalais qui voient plutôt dans les peripéties actuelles le tracage, par le sang du devoir et le feu du droit, des lignes rouges contre les partages de butin entre grands bandits, les errements d'incompétence, les conspirations terroristes et autres complots politicards, qui resteront à jamais gravées dans la mémoire collective sénégalaise.

Nous condamnons vigureusement les agressions multiples et multiformes dont les pôpualtions ont été les victimes. 

De la même manière dont nous compatissons à chaque fois à l'épreuve subie par bon nombre de concitoyens dont le sinistre de l'intérieur lui-même car bien évidemment on ne saurait cautionner en aucune circonstance une quelconque atteinte à la dignité et surtout l'intégrité physique et morale d'un sénégalais, de sa famille et de ses biens.

Et l'Etat doit, il en a le droit et le devoir, de réparer tous les préjudices subis par tout le monde.

vendredi 5 mars 2021

POUR REGNER TOUJOURS...

"Quand le pouvoir échoue entre des mains qui en sont les plus indignes" est un des signes de la fin des temps, nous a enseigné le Prophete Mohamed (psl). 

Nous ne sommes pas loin de vivre ce scénario de l'apocalypse au Sénégal où l'Etat est entrain de s'effondrer littéralement. 

Trop facile de se vautrer dans son fauteuil pour vociférer de sottes rodomontades, n'est ce pas, l'Affreux ?

Servir le sultan, c'est désormais un concours de méchanceté. Chaque jour est un tournoi. le dernier en date a consacré le prefet de Dakar, Alioune Badara Sambetrice , comme le grandement triste gagnant. 

Il est talonné de très près par l'ignoble Mme Faye, directrice de la prison de Cap Manuel.  

Mais au délà, des questions nous taraudent. 

Quand et comment les magistrats assis comptent-ils riposter à la baffe magistrale que leur a administrée un procureur aveuglé par la haine ? 

Quelle est maintenant la place de la police et de la gendarmerie avec la sortie des macoutes et de l'appel à l'armée en renfort ?

Quelle sera la réponse de la France interpelée au premier chef par le saccage de "ses interêts" par les manifestants ? 

Mais surtout qu'est ce que le méchant sultan y gagne-t-il ? Ou qu'espèrent ces flagorneurs ?