C'est à croire qu'ils se sont passés le mot. Personne dans notre landerneau politique, aussi bien du camp du pouvoir que du camp de l'opposition, ne veut apprendre grand chose des évènements malheureux vécus par notre pays...
Cette tendance de part et d'autre à vouloir tirer sur la corde risque de casser le peu qui reste de notre tissu social rudement mis à l'épreuve. Les cassures risquent d'être irrréparables sous le mode démocratique.
Le constat est certes amer, notre republique est malade, malade de son Etat qui a oublié sa fonction essentielle.
L'Etat, oui, souffre au niveau de toutes ses institutions : un gouvernement arrogant et opaque, des forces de sécurité brutales et sanguinaires, une justice effondrée, un parlement inaniné. Les consequences sociales sont plus que dramatiques.
Ce tableau dramatique du pays suffit pour imaginer fortement la posture inenviable de notre président, qui pour incompétent qu'il soit, n'en est pas moins conscient !
C'est justement en ce moment que nous scrutons le sens de la responsabilité du chef de cet Etat moribond, malgré son incompétence avérée durant 9 années.
Le peuple, comme toujours, plus mature que ses politiciens a compris qu'il faut s'arrêter, que la lutte ne doit pas se solder par des combats d'egos.
Il respecte le mots d'ordre des autorités réligieuses. Car la recherche de la paix est un vaste programme, une parenthèse ouverte pour remettre tout à l'endroit. C'est la seule exigence de l'heure.
Les milliards annoncés pour l'insertion des jeunes prendront toujours la meme destination, la poche des animateurs cupides du systeme d'accaparement !
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