Au train où vont les choses, qui ose encore parier que l'incompétent président est toujoiurs l'homme de la situation. Comment, en effet, pourrait-il résoudre la contradiction principale qui se dresse devant de lui ?
Les troupes de l'ancien méchant sultan rament ouvertement à sens contraire de sa nouvelle manière d'agir, sans doute déboussolées par le spectable du nouveau visage de leur mentor mais sûrement déroutées par les jalons de paix posés par ce dernier. .
Ce qui est évident, c'est bien qu'elles sont guidées par leur instinct de survie. Peut-être qu'il y a de quoi ! L'idée que Maky Sall ne peut plus se présenter ainsi que les ragots sur un prétendu protocole de non-poursuite contre Maky Sall, sa femme et ses enfants les fait craindre le pire.
Au déla du spectre de la précarité redouté par certains, c'est le syndrome du garcon Karim Wade, tout à coup rafraîchi dans les mémoires, qui nourrit désormais la peur d'autres d'avoir à payer pour tous, au nom de tous.
D'où notre demande instante que, de part et d'autre, l'on arrêta de jouer aux hypocrites, de se moquer de nos autorités religieuses. Il n y a au bout de ce chemin que feu et larmes....
Le Président de la Rue République, l'ouragan Sonko, doit se calmer pour que l'on puisse fumer le calumet de la paix ....
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