mardi 31 octobre 2023

TROISIEMES LARRONS....

Il n'était pas interdit, sauf au plus ample informé, de se gausser d'une chèvre qui va bégueter devant la hyène sur la façon dont elle voudrait être dévorée !

Paname etait devenu un purgatoire pour le monstre. Les haillonneux l'avaient décrété ainsi. 

Canines flamboyantes, les canaillons menaçaient la riche organisation de la dembacratie. 

La canaille s'était jurée de rendre Laf en enfer mental des haillonneux pour ensuite lancer la contre-offensive internationale. 

Elle avait enrôlé la brigade de nécrobies car il fallait bien, tout bientôt, s'occuper du cadavre du gourou quand on lui aura aspiré tout son sang. 

Les nouvelles recrues, le petit maure en tête, réclamaient avec insistance le grand animal à la tête du mouvement, au grand désespoir de la pintade à crête rougeoyante qui multipliait des gages de rachat. 

Il y avait un sacré coup bigrement diabolique à jouer en réussissant la jonction entre la canaille et la racaille ! 

Cerbère, déchaîné, ne l'entendait pas de cette oreille, qui y voyait un moyen de relever sa tête devant le satané Hades qui le daubait à ne pouvoir l'exprimer. Il va falloir qu'il écrase la gueule de Grosminet. 

Le chef assassin boudait. Hades l'encourageait et lui faisait miroiter des lendemains enchanteurs de diable. 

Judas le plus grand traitre de Laf et son Mauvais Larron croyaient avoir mal entendu, absorbés dans leur cogitation sur le troisième larron... Report, qui avait parlé de report ? 

La mort piaffait. Pour les lafiens, un devait mourir, et c'était le cas sauf que le monstre résistait furieusement mais pour Satan, tous les deux devaient mourir ! 

Que ne ferait Satan pour se concilier les charmes des sanglantes dames Bing, Bong, Beng et Bang ? 

Chiche, pour une fois que Satan tombait amoureux ! Et il aura fallu que cela advienne à Laf....

Haillonneux et larbins se rejoignaient au moins sur un point : le monstre, il n y en avait pas deux comme lui ; Seigneur fasse qu'il y en ait plus jamais !

Il avait réussi l'exploit de vider Laf de ses haillonneux et de déshumaniser ses larbins.  

vendredi 27 octobre 2023

LA TEMPETE VAMPIRITIQUE...

Or donc, selon un songe-creux mélanoderme, caucasien dans l'âme, la Terre perdue de Nigritie avait besoin de science et de technique. Bon.

Très bien même mais en attendant de voir comment la science et la technique pouvaient transformer ce rébus spatio-temporel désespérément rebutant, revenons dans notre terroir imaginaire au milieu de nulle part, Laf, où une tempête de vampirisme tropicalisé faisait rage.     

Quoique ce rêve bidon pouvait y être une solution accommodante parce que Tout, mer, air, terre et sous-sol y avait été bradé. Il ne restait donc qu'à lever les yeux au ciel. 

Les nuages, le soleil, les étoiles, l'oxygène, l'azote et le gaz carbonique étaient les seules ressources visibles aux lafiens encore hors d'atteinte de la rapacité cupide du monstre et ses larbins, pour le moment en tout cas.

Ce vent tumultueux favorisait une course au sang du gourou. Nonobstant les confidences de son papa, Satan, au sujet des propriétés sans prix de cette pierre philosophale, Hades n'était pas certain d'être le seul dans sa quête. Il n'osait même pas penser à son plus grand rival... Cerbère lui léchait les bottes, espérant une toute petite goutte... 

Un obstacle de taille s'était brusquement élevé au milieu de la piste de course ; sans crier gare, le monstre avait dissous le club des lascars. Certaines poupées telle celle à la grande bouche ne s'en remettaient tout simplement pas. 

Mais depuis qu'un cabot, Milou en l'occurence, s'était essayé à la communication, rien n'était impossible à Laf. L'espoir ne pouvait ni ne devait être perdu.  

D'autant que les braiments du Larbin Noir et les bouboulements du Hibou Lugubre laissaient augurer de sa reformation, très prochainement. 

La grand-poupée en avait cruellement besoin. Il n'y arrivait plus avec ce passif catastrophique qu'on voulait lui coller au dos incapable de se défaire de ce coaching balourd qui aiguillonnait vers lui tous les aigrefins connus de Laf. 

Les haillonneux réalisaient que le complot national avait fini de s'internationaliser... Il dépassait le gourou, les haillonneux, les haillonneuses, les lafiens et les lafiens et épousait l'origine géographique et biologique du gourou. Combien cela avait-il coûté au monstre ? Comment Laf s'en acquitterait-t-il ? 

Que le gourou crève et ça ne serait qu'un field nigger de moins et un peu plus d'aise à la conspiration des illuminés dont le tenant était d'anéantir cette dégénérescence raciale prolifique et nuisible et dont l'aboutissant consistait à récupérer  la part de la manne divine de celle-ci, qu'elle ne méritait point ceci dit. 

Le monstre s'abîmait en calcul.... 

Le grand animal et le chef assassin planifiaient une sécurité de tonnerre pour un enterrement de basse classe... 

Judas, le plus grand traître de Laf et son Mauvais Larron s'affairaient joyeusement au montage de fontaines de larmes de crocodile.  

Et le Calculateur Souverain, dites-moi, à votre avis, Il faisait quoi ?

lundi 23 octobre 2023

LA VALSE DES GNANGNANS...

La canaille, cette bande de jacassants corbeaux montée à la va-vite pour tenir en respect une marmaille de jour en jour plus rouscailleuse, nous avait répondu à la place des cerveaux fichus auxquels nous nous adressions . 

Elle nous envoyait au diable pour cette question idiote dès lors, selon elle, qu'il n y a pas et qu'il n y en aura jamais plus personne pour oser le constater encore moins de songer à ce qui s'y ensuivrait... 

A juste raison, on l'avoue, car il n y avait plus garçon à Laf. Le dernier couillu était sur le point d'enfourcher son cheval pour une promenade éternelle dans les prairies célestes. 

A quel entrepreneur veinard écherra le marché de   l'importation de semences pour générer des lafiens modèles, loyaux serviteurs de la dembacratie en remplacement des vauriens et sauriens haillonneux poussés à la mer, dans les airs et par terre, hors des frontières lafiennes, à la stupeur générale ? 

Les larbins expectatifs étaient en quasi adoration. En cause, le nouveau produit de l'intelligence prodigieuse du monstre, genre mélange entre éléphant et octopus, qui avait pondu le tandem de tonnerre : Grosminet et Milou, remarquables de sottise éhontée et fourberie résiliante, le jackpot quoi !

Y en avait même qui se doutait de la part du monstre d'un don de  métempsychose à l'oeuvre, de laquelle seule pouvait procéder cette transfiguration époustouflante de ces gnangnans. 

Toutefois, ceux qui pensaient que Condoreau et Voldemort avaient été désincarnés, n'avaient raison qu'à demi. Leur mauvais karma était aussi en cause. 

Condoreau s'était brûlé les yeux à trop contempler le soleil avant que le monstre ne le sacrifie à Cocha Mama subitement rétive à toute manifestation de sa générosité. 

Voldemort qui n'avait ni ne savait plus où aller avait été livré, en fait, aux haillonneux enragés bannis. 

Au grand désarroi du monstre, cependant, Hades le fils de Satan, regimbait. Faire un pas sans l'aval de son maudit paternel était impensable ! 

Le grand animal et le chef assassin continuaient de tenir le haut du pavé, plus que jamais. Les deux ignares respiraient mieux, défaits de l'étreinte pédante du condoreau !

Au fin fond de nulle part, le cri perçant du Mauvais Larron avait secoué les fondements de Laf. Seul Judas le plus grand traitre de Laf ne l'avait pas entendu. Satan avait exaucé ses voeux de surdité.    

vendredi 20 octobre 2023

REGRETS DE CRAPAUD...

La crapaude, dans sa tête, pensait avoir vendu une embrouille diabolique pour raser le poil à gratter du monstre, le gourou en l'attaquant là ou ça pouvait faire le plus mal, sous le nombril, et ruiner ce qui le faisait craindre, sa popularité extraordinaire, sous entendu d'aider à la percée de son jules chéri, in fine.   

Elle était peu fière, à présent, qu'entre les mains du monstre et ses larbins qui s'étaient pris à rêver d'une napoléanisation aurozircopétrogazière, mais aussi à la faveur d'une farouche résistance du gourou, son plan ait servi à construire une arme de destruction massive. 

Rien n'allait plus. Au gré d'un concours de méchanceté, le monstre tenait les lafiens opportunistes en haleine avec sa longue fourchette avec au bout des morceaux de mou de l'alléchant gâteau de prébendes et de privilèges.

Rien, absolument rien, aucun code, aucune loi, encore moins une personne ne pouvait le retenir de mener son plan d'extermination du gourou qui l'avait mortellement atteint en anéantissant son destin néronien. Il avait le droit de se venger, quand même !

Peu importe qu'il y perdît et sa superbe morgue et sa raison. La pression du sikori avait de quoi rendre dingue. 

La marmaille réalisait comment elle avait été utilisée comme une serpillère. La pintade maniaque du grattage n'allait pas arranger les choses, loin de là. 

La racaille était banalisée à force d'être mobilisée pour rien même contre le nom du gourou. Grosminet pouvait déjà trouver un soutien de taille en Milou qui rabrouait les haillonneux à tout-va.

Ces derniers n'avaient que leurs yeux pour pleurer sans épaule consolatrice consistante. Eh bien parce que tout Laf était couché à ramper devant le monstre. 

La grand-poupée, jadis le grand-mollasson, apprenait l'autonomie. Elle gardait pour l'instant tout au fond d'elle ses convictions intimes que cette bêtise crasse du monstre était le problème en-soi.

Elle nourrissait le secret espoir de tailler bavette, à la première occasion avec les anges gardiens du monstre, le grand animal et le chef assassin. 

Dans ce système dénué de tout code moral déontologique et juridique, qu'est ce qu'il adviendrait si le chef perdait la tête ?

Et si le monstre était fou ? 

Aux esprits tordus si enclins à créer des ponts entre fiction et réalité, est ce que le monstre n'était pas fou ? 

mardi 17 octobre 2023

LES JEUX SONT FAITS !

Le grand incendie allumé par la haine du monstre contre le gourou cramait les écuries du monstre. 

La fumée dégagée par la combustion des coeurs de larbins alimentait l'atmosphère soufrée vitale aux démons. 

Y avait-il quelque chose à récupérer ? Y en avait-il qui pouvaient être sauvés ? Satan accepterait-il de lâcher prise ? 

A la vérité, les lafiens ne devraient-ils pas, en fin de compte, s'en prendre qu'à eux-mêmes ? 

Un peuple qui élit des corrompus et des voleurs  pouvait-il invoquer le statut de victime ?

Tout de même, comment pouvait-on sauver Judas le plus grand traître de Laf qui se cachait derrière ses deniers pour mourir et le mauvais larron qui se liquéfiait dans le dévergondage intellectuel ?  

La machine s'était emballée, échappant au contrôle des lascars. 

L'opération exodus se retournait contre eux, fâchant le monstre qui y avait fondé un grand espoir d'un doux zéphyr pour cingler son bateau de l'apocalypse aux voiles désespérément plates. 

La voix du peuple était la vérité qui flirtait avec la volonté divine. Elle sourdait plus que jamais. 

Au pays de la grande pomme, on lui avait interdit l'accès à la source du respect. Honte à sa pintade qu'il aura engraissée pour rien ! 

Son influence s'amenuisait auprès de sa marmaille et de sa racaille. Condoreau et Voldemort n'étaient que des bons à rien !

Peut être bien que cette fois c'était la bonne... Les jeux sont faits...la bonne occasion de dire adieu... pour affronter ce qui l'attendait.

Cerveaux fichus, régalez-vous !

vendredi 13 octobre 2023

DES CERVEAUX FICHUS...

La cohabitation entre péquenots et pâtres, partout et toujours, a été problématique, c'est une chose. 

Une autre est que cette énième déflagration est un air de déjà vu. 

Alors les picotins sémites aux instincts carnassiers peuvent bien s'automanger jusqu'aux os, ils ne sont pas prêts à nous porpoindre, nous autres damnés de la terre. 

Comment oublier, en effet, que ces deux groupes partagent en commun une haine viscérale des nigritiques. L'hypocrisie était pire que la mécréance. Pour eux tous, le bon greune, c'est l'eunuque mamadou ou la sex-toy fatou.

Les féroces péquenots étaient passé les maitres incontestés de réveiller les plus vils instincts bestiaux chez les bolos, en particulier chez les potentats négros pour s'éterniser au pouvoir.

Les misérables pâtres étaient de redoutables dresseurs sournois de negros, les potentats en l'occurence, à manger dans leur main, mendier sans vergogne et s'aplatir par des révérences iconoclastes devant des altesses perverses afin de tenir table et enluminer leur pouvoir.  

Le piquant est juste d'opposer la roumergue endiablée des cafards du monde entier envers leurs péquenots chéris qu'ils considèrent comme les remparts extrêmes orientaux de leur culture et la molle sympathie des moricauds ensuqués en faveur de leurs frangins pâtres fada. 

Cette opposition met en forme une guerre de religion qui même si elle ne dira jamais son nom n'en est pas moins une.

A Laf, c'était le cadet des soucis de grand monde ! 

Satan n'était pas prêt de lâcher ce merveilleux terroir de Laf. On se bousculait à son portillon. Son appât humain, Hades, avait fait du bon boulot. 

Belzebut ne l'empressait-il pas de reconsidérer les cas désespérés du larbin noiraud au coeur noir, de Voldemort au cerveau désagrégé, de Condoreau le déshonoré qui lui tendaient la main avec un touchant tiep ? 

Les lafiens observaient désormais avec une grande curiosité jusqu'où les mènerait l'animosité irascible d'un monstre qui brisait tout devant lui pour s'accrocher au pouvoir. 

Ces nouvelles poupées lui seront-elle d'une quelconque aide ?

La confrontation n'avait pas dézingué que les fondements du vivre ensemble, le lafien avait été métamorphosé durablement par les miasmes de ce conflit qui dépassait les bornes du permis.

La preuve, de plus en plus nombreux de gens sont à guetter ces élucubrations de jababu aux vies ratées et dont ils essayent de dénicher une quelconque ressemblance avec des des personnages et des faits réels. 

Cette ressemblance imaginaire, bien entendu, ne pouvait être tentée que par des esprits tordus, des cerveaux fichus on vous dit !

dimanche 8 octobre 2023

SANS LES MAITRES CHIENS

Oy voy ! La mère-patrie des fripons fabricants et protecteurs de monstres et leur engeance brûlait. La justice immanente ou le karma ? 

L'un dans l'autre, il était bien clair que Ya Houwa montrait que ça patience avait des limites et qu'il ne saurait plus tolérer que quiconque puisse prendre ses enfants continûment pour des canards sauvages.

Le monstre et ses cavaliers haineux, en adeptes de la polistique, savaient à quoi s'en tenir. Que faire sans les maître-penseurs ?

Même la bestialité méronique ne pouvait lutter contre la force irrésistible de la conscience populaire. 

Les valets de l'Africanistan montaient au créneau. Le béydane raciste y allait de son temp en mode soutien à la majesté raciste. 

Laquelle l'avait instrumente de lui grappiller quelques actions de l'immense complexe de jeux pour illuminés benladenistes en gestation.  

Il n'était pas question de laisser le rival berbère s'accaparer de tout ce territoire.

Jadis clone parfait du monstre lafien, le gredin avait retourne sa veste. Il avait réalisé que les nigritiques n'étaient que des mendiants jamais assouvis de la commisération leucoderme. 

Le grand mollasson et les mollassons mettaient pied à terre. Le combat était terminé. Laf était vide de haillonneux. 

A la satisfaction ineffable du monstre, ils en avaient  emprisonnés certains et éparpillé d'autres au gré du vent grâce à l'opération exodus rondement menée comme jamais auparavant ! 

Mais les Tontons et Tatas désormais hôtes des haillonneux étaient très mécontents. 

vendredi 6 octobre 2023

LE BOAT PEOPLE...

Le grand mollasson avait subodore le piège qui lui était tendu à travers cette condescendance du monstre trop généreuse pour être honnête. On voulait l'amener à se dévoiler. Pourquoi payerait-il pour tous ?  Qui est fou ? Eh bien, à avide, avide et demi ! 

Le monstre tenait sa poupée. Ses pygmalions phaserades avaient vu juste. La cupidité était le tombeau de l'ambition. Halluyah ! 

Il n'allait pas faire la fine bouche car c'était la même stratégie que déroulait son ennemi mortel.  

Il était moins content de sa barbouzaille sekanazie car le gourou continuait de respirer. 

Avoir du pétrole était chose dangereuse pour un pays. C'était l'argument nouveau du flibustier nymphomane. Cherchait-il à convaincre ou à persuader ? Qui donc ?

La sanglante racaille ainsi que la perverse marmaille l'entendraient-elles, ainsi ? Se sont elles débauchées à ce point pour en arriver à cette extrémité ?

En survolant la planète bleue, le pétrole n'a été chose dangereuse qu'entre les mains nigritiques. Cette manne, comme du reste toutes les autres mannes que l'Omnipotent avait doté les nigritiques, n'a jamais bénéficié aux autochtones sinon à l'étranger si puissant à émerveiller les potentats négros.    

A l'instar de son gourou adoré confiné aux limbes, Laf frêle boat people sur une mer déchaînée, ployait mais ne rompait pas. 

dimanche 1 octobre 2023

LA MATHEMATIQUE PERVERSE

La chasse au gourou avait épuisé le monstre et ruiné Laf. Allons donc, la boulimie de cash avait eu raison de la raison lafienne...

Le grand mollasson n'était plus tout aussi chaud. Son destin de chupacabra se matérialisait peu à peu sous ses yeux ; le monstre ne lâchait rien, il n'allait être qu'un pantin...

Narcisse ne perdait pas espoir... Il ameutait les prophetesses, une nouvelle curiosité sur la place lafienne... 

Condoreau multipliait les incartades comme gages de sa loyauté. Le cuistre tout autant que le grand animal et le chef assassin devenaient pintons... Ils s'enivraient d'amrit. 

N'était ce pas la botte secrète de Hades, le néo-démon, qui avait mis la marmaille à genoux désormais et éloignait tous du corps désincarné du gourou ?

Seul Satan pouvait les sauver car leur vie, leur gestion de Laf par procuration ne tenait qu'à un fil... celui de la volonté de la pire espèce déviante humanoïde qui défendait, avec becs et ongles, que six millions de feujs valaient plus que cent millions de keblas. 

Le monstre et ses larbins comme la racaille étaient les cobayes lobotomisés de cette nouvelle mathématique perverse et blasphématrice.

C'était plus que jamais du coton pour le gourou. Les haillonneux pouvaient rêver.

La tragédie qui se jouait à Laf marquait à tout le moins un coup d'accélérateur de la fin du monde. La science y avait été retirée et le pouvoir allait rester entre des mains aussi indignes que celles d'un alien.    

Toutefois maintes prévisions ont été déjouées par l'Amplement Informé dont l'intervention transcendantale d'un tout autre ordre d'une toute autre nature n'était redoutée que par Satan qui par expérience l'avait subie...

Nul ne pouvait nier que les lignes tanguaient. On n'était absolument sur de rien.