jeudi 29 novembre 2018

AILLEURS POSSIBLE....

Depuis la naissance de la Republique du Senegal jusqu'aujourdhui, les montants du Budget Public n'ont cessé de croitre. 

C'aurait été une bonne chose si et seulement si cette croissance budgetaire ne se resumait pas tout simplement à une croissance des charges de l'Etat, de ses depenses de fonctionnement exorbitantes et des frais démesurés de répresentation politicienne des hautes autorités.

Le budget d'investissement n'emarge au titre de cette croissance que dans sa portion la plus congrue et au chapitre de l'endettement qui plus est !

Situation ne saurait être pire que celle-là qui voit les elites aux commandes des institutions se donner à coeur joie dans la prédation des ressources publiques.

C'est effarant de constater ce maniement désinvolte par les gouverneurs du premier instrument de la politique economique, le gouvernail d'orientation et de répartition de la richesse nationale.

Or, une institution ne vaut que ce que vaut la personnalité qui l'anime.

Dis moi quel Etat tu as, je te dirai quelle personne te dirige.... plutot où te dirige les personnes qui incarnent les institutions de ton pays.

Seulement vers où peuvent bien diriger des personnes qui privilegient leur jouissance personnelle, à votre avis ?  

Se peut-il que ca soit ailleurs qu'en enfer ?

Ou ne serait ce pas plutot pour nous y maintenir, l'enfer dans lequel ils nous ont trouvé ?

Mais puisque nos oeuvres apparaissent sous la forme de nos gouverneurs, c'est que nous devons être vraiment maudits !  

Alors bonhomme président, pendant que tu y es, pince la kora et frappe le balafon ! 

Qui ne veut danser ton air, eh bin, qu'il inhale le souffle chaud de Belzebuth !    

Où est le problème ?

 

mardi 27 novembre 2018

PETITS ESPRITS ?

A la faveur de la candidature à l'élection présidentielle de notre jeune compatriote Ousmane Sonko, le débat social latent sur le phénomène des "ibadou rahman" (obedience salafiste) a surgi en plein jour.

Quelle que soit la motivation du journaliste Cheikh Yerim Seck qui en est à l'origine au détour de sa question au leader politique quant à sa philosophie réligieuse, il faut regretter les amalgames.

C'est qu'en ces temps de fébrilité paranoïaque instaurée par la réalité de la menace terroriste transfrontalière, il ne fait pas bon d'être salafiste !

Notre compatriote l'imam Ndao de Kaolack en a fait l'amère experience. Il a été sequestré et torturé pendant trois ans puis, au terme d'un procès qui a jeté l'opprobre sur la lutte antiterroriste au senegal, relâché sans aucune excuse publique, sans aucune procédure d'autosaisine de dédommagement de la part de l'Etat coupable !

En d'autres termes, ce qui vaut ailleurs ne devrait pas necessairement l'etre chez nous. La communauté Ibadou Rahmane ou encore wahabite existe depuis longtemps dans notre pays. Et quoique branche assumée du salafisme, son discours séditieux, son comportement détonnant aussi bien que ses manières marginales pour perturbateurs de l'ordre soufi ambiant qu'ils soient n'ont jamais été percus comme source de violence.

Bien au contraire, l'essor du wahabisme au senegal, qui peut exprimer un ras-le-bol de la rivalité souterraine entre les confreries traditionnelles, a comme par enchantement scellé les retrouvailles entre ces dernières. 

Comme en temoigne cette intense solidarité interconfrerique observée à l'occasion du Magal de Touba 2019 qui a ressoudé bien des liens.
Alors en quoi le voile d'une femme d'un leader politique, la longueur de sa barbe ou encore son pantalon plus court qu'à l'accoutumée peuvent-ils être déterminants quant à sa capacité à diriger un pays ?  

Les petits esprits sont blessés des petites choses.....François de La Rochefoucauld dixit.

dimanche 25 novembre 2018

LE PREMIER KAMIKAZE


C'est la course aux médias. L'oblige l'ère de l'information et de la communication tous azimuts !

Pour autant, il faut se garder et de dire des sottises et de toute tentative de duplicité.   
                                                                                                                                                                   Tant pour être un menteur, il faut avoir une bonne mémoire.                                                                                                                                                                
En échouant sur ce chemin difficile, l'art de mentir comme tout art étant difficile, soit on devient un hypocrite, soit un fou.    
                                     
La situation la plus dramatique, néanmoins, est celle vécue par quiconque veut usurper, par excès de zèle ou mimétisme, la place du coupable
                                                                                                                                                                                  
Le premier des ministres du bonhomme president, Boun Dione, échappe cependant à toute catégorisation. Son comportement est le résultat curieux d'un mélange d'un  excès de zèle activement exubérant et un mimétisme effarant de passivité.  
                                                                                                                                                                    Le cas de son prédécesseur, Aminata Touré, déteint ainsi sur lui et fait des émules, sans plus !
                                                                                                                                                                    Une bonne raison de plus d'en vouloir au sultan virtuel du futur emirat gazo-pétrolier du Senegal dont la proximité, bizarrement, parraine ainsi la mode kamikaze ?
                                                                                                                                                      
Ou faut-il en vouloir à la politique cette manie de métamorphoser l'or le plus précieux en métal le plus trivial, son aptitude aux transformations désincarnantes d'hommes et de femmes plus qu'honorables de nourrir l'ambition de servir la bonne cause ?
                                                                                              
On ne saura jamais de toute façon et puis tant pis !
                                                                                
Mais on ne désespère pas que le premier ministre revienne de ses errements farfelus et reprenne ses esprits pour rapatrier dare-dare les deux garçons sénégalais brûlés graves qui agonisent en Mauritanie voisine.

jeudi 22 novembre 2018

MAWLOUD MOUBARAK

C’est un jour où le soleil était d’une grande timidité 
Car un très bel astre est né La terre s’est réveillée avec une très grande lumière 
Personne ne savait pourquoi,ce jour était si fier 
Un beau cadeau que Dieu a offert à cette humanité 
Qui dans son désert,était si longtemps,égarée 

Il a grandi dans le silence, 
La pureté de ses qualités était l’éclat de sa belle apparence 
Il s’isolait pour une profonde quête 
Malgré,connu comme analphabète 
Dans un milieu où le mot était bien sacré 
Et la langue,dans sa magie était bien aisée 
C’était là,un de ses miracles 
Le livre qu’il avait,ne connaissait aucun obstacle 

Dieu l’avait choisi comme messager, 
Quelle pénible mission que de sauver cette humanité 
Et la tirer de cet horrible et obscur gouffre 
Pour que l’Homme,retrouve sa paix et ne souffre 
Encore une porte que Dieu a ouvert 
Pour rejoindre,un si beau ciel, tout vert

C’est le jour de naissance d’un des prophètes « Mohamed »,je voulais le célébrer par ce très modeste poème.

Poème posté le 20/11/18 par Charazed

samedi 17 novembre 2018

COMBAT PERDU

Une autre instance internationale, le comite des droits de l'homme des Nations unies, vient de  rabrouer le gouvernement sénégalais quant au procès du garcon Karim Wade.

Ce ne sont pas les fanfaronnades des faux lions de la mouvance présidentielle qui feront changer d'avis que l'Etat senegalais est rentré dans les rangs des pays de m.... catégorisés par Donald Trump, du reste l'avis le mieux partagé dans l'opinion mondiale si tant est que le comportement d'un Etat africain interesse grand monde.  

C'est un combat perdu. Accepter le verdict s'impose logiquement...

Le bonhomme président depuis son accession accidentelle à la magistrature suprême est entrain de ruiner petit à petit mais sûrement tout le crédit international grapiné laborieusement mais méthodiquement par ses prédécesseurs pour le compte de notre pays.

L'ampleur jamais égalée des scandales financiers de sa gouvernance, preuve que ses affidés n'ont aucun respect pour lui au demeurant comme l'illustre en même temps leur refus de se soumettre à l'obligation de déclaration de patrimoine auxquels certains sont assujettis, le perturbe plus que l'on ne pense, tant et si bien qu'il a perdu toute faculté de discernemeent.

Ainsi, s'est confortablement installée chez lui cette paranoïa maladive qui lui enjoint d'attaquer à tout bout de champ. Mais c'est que tout ce qui n'est pas avec lui est forcément contre lui, il pense ! 

En consequence, son manque d'autorité, la peur de devoir payer ses erreurs, l'appétit aiguisé par la manne gazo-pétrolière et la passion du second mandat convergent en lui pour donner naissance à ce syndrome androgénique qui lui imprime une conduite à tout le moins peu recommandable encore moins honorable.

jeudi 15 novembre 2018

POLITIQUE VIRALE....

Maky Sall a finassé, son gouvernement a fait le lézard et c'est le peuple qui paie les pots cassés...

C'est le résultat du comportement hypocrite d'un groupe de personnes immatures qui nous ont cassé les tympans avec des chiffres, nous ont bluffé surnoisement avec des projets que l'on a cru un instant, quelque part au plus profond de nous, que ce Sénégal tant vanté par ses dirigeants épicuriens n'était plus le pays trés pauvre et trés endetté.

L'argumentaire superficiel de son argentier nous laisse sur notre faim. La subvention du prix du pétrole ne peut pas causer autant de dégâts dans un budget de trois mille milliards de F CFA quand même !

Car tout est plombé par cette dette intérieure deja décriée depuis l'an passé...Apparemment rien n'a été fait pour apporter une solution viable.

Le pire est que l'Etat tantôt ne sait pas combien il doit exactement, tantôt il nie le montant de sa dette...

On n'avait pas besoin de haute voltige financiere pour corriger la tendance. Le bonhomme president aurait voyagé moins, il aurait dissous les caisses noires et surtout refréné la voracité au grand jour de sa clientèle, on n'en serait pas là !

On a plutôt répondu par l'endettement en comptant sur la "qualité de signature"... une fuite en avant qui a dramatiquement été stoppée qui nous vaut la mine contrite de Kanka Moussa.

Quand vous ne pouvez plus vous endetter, c'est que soit vous n'avez plus de gages, soit vous êtes ruinés...

Le moment est sans doute venu de mettre en place d'autres politiciens instruits de cette cruelle mésavanture du bonhomme qui s'est voulu sultan.. 


mercredi 14 novembre 2018

PANIQUE AU SOMMET.....

Quelqu'un a dit : l'homme en proie à la panique peut abandonner toute humanité dans certaines circonstances.

Plus l'échéance approche, plus le bonhomme président devient nerveux, plus sa bergerie se débande. 

Le bonhomme president a tombé le masque. Il peut emprisonner qui il veut et le liberer quand il veut. 

Ses fantasmes de sultan virtuel d'un futur émirat gazo-pétrolier lui permet sans doute de débiter une pareille sottise au beau milieu de la patrie des droits de l'homme.

L'argumentaire besogneux du doyen des juges et du ministre de l'injustice reléguant la soif de justice des populations à des postures incantatoires lui ont malheureusement donné de mauvaises idées.  

Ses affidés déboussolés par les alertes irrevocables du FMI et de la Banque Mondiale reprennent du poil de la bête et ne cachent pas leur contentement extatique devant cette dernière pirouette virevoltante de méchanceté du berger. 
      
C'est un grand malheur de voir la direction du pays perdre la boule et se comporter de la sorte. 

Le pays ne saurait donc aller bien en ce moment où les populations souffrant de la sotte suffisance mythomaniaque de parvenus des élites vivent encore le calvaire de la peur panique au sommet de l'Etat.
 
A maints égards, les plans ont été dérangé et les certitudes d'hier sont devenues des incertitudes d'aujourdhui.
 
Plus que jamais, les autorités réligieuses se doivent de prendre l'exacte mesure de la situation. C'est le moins de prier tant que nous sommes autant que nous pouvons !

Car il y a autant de danger à se laisser conduire par un fou que de le regarder manipuler un bien public.

Seulement la place d'un fou n'est pas en prison, c'est plutôt à l'asile.    

vendredi 9 novembre 2018

INAPTITUDE A LA VERITE ?

Le bonhomme président et sa bergerie pensent s'en tirer à bon compte en indexant l'ignorance de l'opposition pour lui intimer le silence en ce qui concerne les contrats d'exploitation de nos ressources naturelles.
 
Malheureusement pour eux, depuis le fameux arbitrage du FMI sonnant le glas de la véracité de la parole publique, les révélations de l'opposition sont plus que jamais guettées par les populations qui n'en reviennent pas toujours que tant de beau monde soit devenu accro au mensonge.

Dans la foulée, les accusations de l'opposition quant au dérapage du budget de réfection du Building Administratif qui a plus que doublé, ont été toutes corroborées par des rapports d'organes indépendants.

Et si on y ajoute le parjure de la durée du mandat à cinq ans, on voit bien que le silence de l'opposition ne garantit nullement que les populations les écoutassent ou mieux croyent en leur parole... 

Parce qu'on les attend toujours au sujet de l'accusation formelle et sollennelle de détournement de la faramineuse somme de 94 milliards de FCFA par le Directeur des Domaines.
 
Mais si la parole de l'opposition s'est imposée c'est parce que, trés tôt, s'est fait jour chez le pouvoir une tendance outrageante à défier la vérité, à maquiller la réalité et à divertir l'attention sur les urgences de l'heure.  

Et si c'etait une question d'inaptitude à dire la vérité ?
  
Las, depuis qu'il s'est vu sultan en rêve, on ne reconnait plus notre bonhomme président ! 

mardi 6 novembre 2018

HONNI QUI MAL Y PENSE !

Tout homme qui en séquestre un autre, qui le torture et l'humilie, mérite d'être qualifié de crapule quels que soient sa posture et son statut....dixit l'académicien Amin Maalouf.

Nous ajouterons que l'intention vaut l'acte, à tous points de vue et nous oserons proclamer que rares sont les dirigeants fricains qui echapperaient au statut de crapule... 

Les dirigeants africains sont toujours des crapules envers leur peuple et trés souvent à l'égard de leurs opposants.

Si seulement la canaillerie se limitait aux actes de spoliation, de gabegie et de roublardise qui meublent leur quotidien !

Ils ne seraient guère tentés par les déclarations farfelues qui, en partie, trahissent  le fond de leurs pensée, en partie essayent de justifier maladroitement leurs forfaitures sans fins et de fait justifient leur incapacité notoire à changer le cours dramatique des choses.

Tel notre bonhomme président maky Sall qui ne propose rien de moins que de dérouler spécieusement le tapis rouge aux investisseurs étrangers en Afrique. 

D'après le sultan virtuel du futur émirat gazo-pétrolier du Sénégal, ces derniers sont si courageux de fouler le sol du continent "des guerres, des maladies et des troubles à n'en plus finir" qu'il faut leur offrir Tout !

Qu'on ne s'y trompe guère, notre bonhomme président a juste endossé à l'ocasion les oripeaux du héraut du syndicat des chefs d'Etat africains. 

Qu'en dire sinon que le paradigme actuel de l'investissement étranger, le fameux BOT, est un idéal prématuré pour la plupart des dirigeants africains.

Et puisque tout probleme a une solution, eh bin, nous proposons que les grands du monde versent directement l'aide publique à ces investisseurs.

Oui, sevrer les dirigeants cupides sans léser les bénéficiaires finaux de la solidarité humaine, c'est le rêve !

dimanche 4 novembre 2018

IRRESPONSABILITE EXASPERANTE !

La tentative de Cheikh Diop de se suicider par immolation devant les grilles du Palais de la République est injustifiable.

Il a voulu se donner la mort par dépit de ne pas avoir pu trouver auprès d'un seul juge une oreille attentive à sa souffrance , entendu une parole apaisante de son desarroi auprès d'un seul agent du ministère de la justice encore moins rencontré une personne responsable dans l'administration pénitentiaire pour reconnaitre l'immense tort qui lui a été porté.

Voila pourquoi son geste déséspéré exaspère ! 

Les faits sont sacrés. L'administration penitentiare est responsable de son malheur... c'est bien en prison qu'on lui a amputé le bras au détour d'une erreur médicale....  

Le ministère de la justice aurait du, immédiatement, prendre ses responsabilités...

 Plus troublant est le juge qui a rejetté sa demande de dédommagement fort légitime.

Tout ceci nous fait dire que la vie d'un détenu ne vaut pas grand chose au Sénégal ou peut etre que mort, ç'aurait été plus valorisant socialement d'apporter à sa famille une enveloppe financière pour organiser des funerailles dignes ?

A present, la vie de Cheikh Diop est plus que jamais entre les mains de cet Etat irresponsable miné par des commis irresponsables. 

Et nous apprenons à l'instant que Cheikh Diop vient de rendre l'ame. 

Que Allah ait son âme !   Que son fantôme hante ses bourreaux.

samedi 3 novembre 2018

SOYEZ SERIEUX, BONHOMME !

La déclaration du FMi vient de vous confondre, bonhomme président et permettez-nous de vous dire que c'est on ne peut plus lamentable !

Vous et vos courtisans vous êtes moqués de nous. Il nous a fallu le concours du FMI pour nous faire une réligion sur votre façon cavalière de gérer les ressources publiques, nos resssources !

Le silence de votre défenseur attitré, l'innommable dame au rictus mauvais ainsi que de votre argentier Kanka Moussa, le meilleur d'Afrique a-t-on dit, vaut aveu des plus parlants.
  
Certes, comme tous vos compatriotes, vous comptez beaucoup sur la manne gazo-pétriolière mais à ce rythme qui est le vôtre, elle ne servira qu'à payer les dettes bidon que vous lèguerez. 

Le prophète Mohamed (p.s.l.) nous enseigne que le mensonge excommunie. 

Repondez à la question de savoir en quoi l'obnibulation d'un second mandat vaut-il de prendre ce risque démoniaque ?

vendredi 2 novembre 2018

DU POISON ANTIDEMOCRATIQUE

Devant tant d'ardeur dithyrambique, un plus petit que le sultan virtuel du futur émirat gazo-pétrolier du Sénégal ne se sentirait certainement pas de joie ! 

C'est que les nombreuses courtisanes de Sa Majesté virtuelle n'y vont pas de main molle pour la plus belle symphonie depuis les menaces, les copieuses insultes aux qualificatifs les plus dégradants adressés aux opposants.

L'embastillement et la déportation ainssi que le traquenard du parrainage n'ont visiblement pas suffit à décourager les vélleités de maint opposant à disputer le trône de sultan au bonhomme président...

C'est que contre toute attente, l'opposition se remarque imperturbable et refuse la confrontation verbeuse.

Dès lors, on imagine sans peine que, de guerre lassse, les neurones d'intellectuels de bas acabit soient au bord de l'implosion afin de corser la dose du poison antidémocratique, quitte, pourquoi pas ?, à instaurer une atmosphère insurrectionnelle propice à la sollicitation de l'arsenal represssif anti-émeutes acquis à prix d'or avec la grâcieuse condescendance de notre roi Erdogan....

Mais aussi, on peut croire sans peine à la rumeur persistante de l'existence et de résultats préfabriqués et de trois fichiers électoraux. 
   

jeudi 1 novembre 2018

LE SILENCE MEPRISANT...

Le bonhomme président appelle a un débat serieux autour de la gestion de nos ressources pétrolières et gazières. 

Au délà de son ton tranchant qui dénote un manque criard de bon sens qui va jusqu'à lui faire oublier que pour qu'il y ait débat, il faut être deux, nous ne pouvons nous empêcher de lui demander qui ou qu'est ce qui n'est pas sérieux ? 

Ce ne sont sans doute pas ses alter-ego de l'opposition ou encore ces personnalités de la société civile qu'il n'a aucune raison valable, morale ou physique, de dauber....

Et encore moins leurs arguments partagés par bon nombre de sénégalais.

Le bonhomme président et sa cour tiennent toujours à gérer nos ressources comme leurs biens personnels. Il s'emmurent dans le silence méprisant que semble leur autoriser le hold up monarchique en marche.