dimanche 31 décembre 2023

LA FERMER POUR DE BON...

Comment se faisait-il que les enfants des victimes n'aient éprouvé aucune envie de se venger sur les enfants des bourreaux de leurs parents ? 

De quoi donc les chiens totos pouvaient-ils bien avoir eu peur ?

Bien au contraire, ces enfants des victimes s'étaient appropriés les méthodes et techniques de torture et de maltraitance des bourreaux pour les perfectionner et devenir, du coup, des maitres chiens... des barbouzes se proposant comme monnaie d'échange pour le rayonnement de leur cause. 

Les maîtres chiens pouvaient donc admirer tout leur saoul et non sans fierté le résultat auquel ils étaient parvenus à Laf. Quoique bien loin de chez eux, ils avaient réalisé leur voeu intime : celui de loger Satan sur Terre ! 

Nonobstant la récente incartade, vite étouffée d'ailleurs, de leur chacal génétiquement modifié de grand animal qui s'était cru loup garou, tout coulait à merveille... 

Ces salauds n'avaient pourtant rien compris. Monstre et Gourou avaient scellé un pacte. Plus de sang versé, d'aucun lafien. Le monstre avait compris, ce n'était pas trop tôt, que moult lafiens trouvaient dans la gueule du gourou l'écho de leurs pensées intimes. Un homme qui perdait sa capacité d'indignation ne méritait plus de vivre. La reprise en main de leur pays par les lafiens pur jus était  la demande sociale qui transcendait tout, a fortiori les querelles politiciennes. 

Etait on en droit de voir des haillonneux et des larbins se sucer la pomme ? Avec ou sans le monstre, avec le monstre et le gourou ensemble, avec le gourou ou sans le gourou ?

L'espoir d'un 2024, première année d'une Aube Nouvelle, la réincarnation sociale lafienne, était incompressible. Enfin, le sursaut national rêvé, le sopi fantasmé, l'émergence souhaitée ? 

Le certain est que le monstre ne pouvait guère incarner, ni intellectuellement, ni moralement, cette refondation. Alors il pouvait vraiment la fermer pour de bon, surtout ce soir !

Toutefois, il était incompréhensible que le larbin noir au coeur noir aussi noir que le charbon de bois puisse être aveugle à ce point. Et pourtant on ne lui avait amputé qu'une fourche à sa langue de mamba noir ! 

Oui, comment la perversité débordante du païen nasard pouvait-elle lui échapper ? 

... Ce vilain qui s'écartelait en conneries pour prouver qu'il pesait autant sinon plus que le flibustier nymphomane. Pour confondre si allègrement vicieusement désordre et chaos, oui, il en fallait du bagou !    

Mais pourquoi donc aurait-il du le remarquer dès l'instant que les frisepoulets Médor et Milou faisaient le job ? On était à une étape autrement cruciale et plutôt délicate qui requerrait de l'intelligence même sordide : infantiliser la marmaille.

mardi 19 décembre 2023

L'ULTIME BETISE...

L'autoproclamé grand sachem de la canaillerie, le larbin noir au coeur noir aussi noir que le charbon de bois payait chèrement l'agilité de sa langue de mamba noir... Malgré sa satisfaction d'avoir eu la main heureuse avec le Milou, il se savait foutu car même le monstre ne pouvait lui venir en aide... Le mauvais karma, encore et toujours ! 

Le monstre se sentait de plus en plus perdu. Il fallait se rendre à l'évidence, son bateau de l'apocalypse prenait eau. Ses larbins-vampires criaient famine parce que ses cavaliers haineux de l'apocalypse, Condoreau et Voldemort n'étaient rentrés qu'avec des champignons ! 

La pintade de Tangun avait beau rassurer que son Médor règlerait le problème et Grosminet affermir son Milou, c'était bien peine perdue, Hadès le fils de Satan, Cerbère l'âme damnée, le grand animal et le chef assassin ne savaient où se cacher pour mourrir de honte. Où pourrait-on d'ailleurs les enterrer ? 

Pendant ce temps, le combat final s'imposait au monstre. Tuer le gourou et se suicider... Le suicide n'est-il pas le sublime courage des vaincus ? 

La vermine était en émoi, les haillonneux en pleine effervescence. Le péril était désormais en marche et il n'avait rien à voir avec cette mare à boue que l'irresponsabilité du monstre, la bêtise de la racaille et les  fadaises de la marmaille avait créée, avec une synchronicité de diable. 

Les jababus avaient constaté avec horreur le cagibi vide du gardien du contrat social lafien.  Qui devait l'occuper ? Il faudrait qu'on le pende haut et court, ce scélérat déserteur ! 

Le petit maure ne semblait-il pas en avoir profité pour vendre le ciel lafien à ses oncles, les sales racistes maures ?

Que pouvait bien mijoter à son tour Judas, grandissime traître et non moins acolyte du petit maure, au profit de ses aïeux négriers ? 

On pouvait être d'accord que cela pouvait saigner, péter et même exploser mais pourvu que cela reste entre lafiens, que cela soit l'oeuvre des lafiens inter pares ! 

Au pire des cas, ils disparaitraient ensemble et ce ne sera que tant pis pour eux, les incapables, les tarés, on vous dit, s'il leur arrivait de rater le passage du train qui convoyait leurs congénères dozos, bantous et zoulous d'Alkebulan à destination du Kibo.

Bon déjeuner mardique aux cerveaux dégénérés...

vendredi 15 décembre 2023

OUI, L'ON SE DEMANDAIT ...

Notre vénéré aïeul, Ptah-Hotep, pouvait-il se gourer à ce point ? Non bien entendu, on atteignait la sagesse à l'âge de 100 ans ! Et il faudrait davantage de sornettes débitées par plus d'un tébé vieillard lafien pour nous faire croire le contraire. L'industrialisation était bel et bien une étape obligée sur le voyage vers le développement. 

Les lafiens observaient avec circonspection le mariage entre la carpe et le lapin. Oui, le flibustier nymphomane était monté au créneau non pas par devoir mais pour gagner sa vie, les temps étaient durs. Ça tombait bien, l'autoproclamé chef de la canaille, Zangbeto, le larbin noir au coeur noir aussi noir que le charbon de bois, payait diamants sur ongles. 

La vitesse de pointe du processus de désintrégation du monstre était sur le point d'être atteinte. Le gourou devait comprendre qu'il serait aussi un dégât collatéral de l'explosion phénoménale attendue à l'issue du compte à rebours qu'il avait lui-même lancé. La marmaille infantile ne faisait que jouer une scène de strip-tease trop dégoûtante. Hadès, le fils de Satan et Cerbère, l'âme damnée ne succombaient donc qu'à leur nature. Judas, le plus grand traître de Laf ne démentira pas.  

Les ptit'poupées étaient dans le dur. Etre ce qu'elles sont ou être ce que les autres voudraient qu'elles soient ? L'appel pressant de la canaillerie était oppressant !

La grand'poupée larguait les amarres. Alors qu'il aurait fallu couper le grelin. Il y allait de sa dignité. Nakomitunaka ! Ben oui, les lafiens, dignes descendants de chasseurs, étaient toujours en attente d'être assurés de sa part de pouvoir voir, dire et faire ce qu'ils voulaient et par-dessus tout de ne pas être violés par leurs enfants avec leurs propres biens.

Pauvre racaille écartelée, trimbalée et instrumentalisée !

Le grand animal tissait son cocon en procrastinant. Désormais, rien ne se ferait à Laf sans lui. Quand est ce que comprendra-t-on cela ?

Le chef assassin n'entendait pas être laissé en rade par son sordide rival. Il en avait marre d'"être au service de..." et était déterminé à conquérir lui aussi ses lettres de noblesse. Comme s'il n'avait pas assez fait dans l'horreur, tudieu !

mardi 12 décembre 2023

AFFAIRE SWEET… ET PAS FIN : LA MESSE DE REQUIEM AVANT LA RÉSURRECTION

La haute Cour n’avait pas voulu se « salir les mains » avec cette histoire de contumace tout en sachant que le jugement était anéanti « de plein droit » par la seule arrestation du contumax. Elle a donc décidé d’en laisser le soin au « petit juge » de Dakar cette fois-ci en étant sûre que ce dernier irait au bout de son raisonnement pour en tirer la conséquence pratique, au lieu « d’ajouter à la loi » ». Il suffisait juste d’aller jusqu’au bout de son linéaire et d’être en mesure d’en tirer les conséquences pratiques.

Plus prosaïquement, il s’agissait pour le juge du fond de passer au scanner l’affaire Sweet Beauty, non pas pour la rejuger – ce qui n’entre pas dans le périmètre de ses pouvoirs – mais pour vérifier si elle méritait encore de pourrir l’atmosphère en prolongeant ses effets pervers jusque dans la liste des candidats autorisés à briguer les suffrages pour la présidentielle qui se profile dans quelques semaines. Ce qui était demandé au juge, c’était d’exercer un contrôle sur le procédé par lequel Ousmane SONKO a été informé de sa radiation du listing des électeurs sénégalais, étant entendu qu’une telle décision ne pouvait que lui être NOTIFIÉE en personne et non SIGNIFIÉE. Quoi de plus facile ?

Désigné pour la tâche, le Président du Tribunal d’Instance Hors-Classe M. OUSMANE RACINE THIONE a résisté et tenu l’audience, tout comme SABASSY FAYE, dans la petite salle ordinaire des audiences de sa juridiction en refusant la grande salle 4, historiquement la salle d’accouchement des horreurs judiciaires et des monstres juridiques. Mais il a eu toute la latitude de délibérer tranquillement durant 48 heures, sirotant son thé et en grignotant ses joyeusetés en bon sérère, s’accordant des plages de relaxation voire de sommeil, loin des soucis de coupure suspecte d’électricité, de pressions et menaces, de contraintes de lampes torches, bref, loin de l’ambiance de corrida qui a été le lot de son digne collègue de Ziguinchor obligé de rédiger sa décision à la lueur de la faible lumière de son téléphone portable… 

Comme quoi la Justice est fille de la sérénitéDe sorte que, plus que le scanner attendu, l’officium judicis, l’office du juge, s’est transformé dans le secret de son cabinet en messe de requiem pour Adji Rabi SARR et ses louches comités de supporters. Le message à eux adressé a été on ne saurait plus clair : ce jugement qui a endeuillé des dizaines de familles et qui continue de plonger dans la détresse permanente des centaines d’autres, n’en est même pas un, il doit revenir devant les juges pour être réexaminé dans les règles de l’art parce que ne pouvant produire d’effet.Avant de clôturer par la formule ITE, MISSA EST, « allez, la messe est dite », notre « petit juge » au savoir encyclopédique a asséné ces mots :

« La mesure de retrait du nom de Ousmane SONKO des listes électorales est fondée sur une décision de justice qui ne figure plus dans l’ordonnancement juridique ; elle est par conséquent irrégulière et encourt l’annulation ». Rideau !

Si certains n’ont pas encore compris ils ont tout le loisir de rester dans la salle pour assister à la suite du spectacle. La lumière vive du Droit éblouit, crève les yeux, surtout quand on a fait l’option de se complaire dans l’obscurité du non droit, de la violence et de la force aveugles. Quant à ceux qui veulent arrêter la mer avec leurs bras, il est temps qu’ils comprennent qu’il n’y a pas pire conseiller qu’un cœur endurci.

« Malheur à ceux qui, après avoir semé le vent, comptent sur la justice pour ne pas récolter la tempête. La tempête ils l’auront ! ».

De Me Cheikh Koureyssi Ba
Avocat à la cour et membre de la défense du Président Ousmane Sonko

vendredi 8 décembre 2023

ETANCHER LE MARECAGE...

Du fond du gnou, le gourou dirigeait le sens du vent et contrôlait la température à Laf. Nonobstant que ses haillonneux avaient été réduits à leur plus simple expression de manants vetillards, il avait lancé sa traque du monstre qui était devenu à présent un fugitif qui vadrouillait à travers le monde, fuyant l'écho du nom de son mortel et éternel ennemi. 

Sa grand'poupée était dans l'expectative. Il savait ce que le monstre savait. Autant alors, se disait-elle, assurer tout simplement le service minimum dans cette bergerie d'infâmies ! 

La vermine était en émoi. La canaille décidément entreprenante sous la houlette de Zangbeto, le larbin noir au coeur noir aussi noir que le charbon de bois, avait lancé une offensive musclée pour remettre les choses en ordre. Son suprême objectif était d'allonger la durée de vie de la marionnette, d'imposer "sa" pepette nitouche, le meilleur choix dans la bergerie !

Au même moment, les terminators avaient pris le large, rompant les amarres, menaçant Laf de feu et de sang ! Le Grand animal au chaud dans son cocon, les yeux mi-clos, s'en fichait éperdument. Le chef assassin y voyait un signe du destin, son heure de gloire était arrivée, sans aucun doute...

Les soubresauts d'honneur au sein de la marmaille étaient une pompe à débit trop faible pour étancher le marécage de souillures dans lequel se noyaient les larbins. Cerbère piquait une crise de nerfs.

Le fils de Satan, Hades, se réfugiait dans les hallucinogènes. Enfin, de quoi s'assurer un transport psychédélique pour adoucir l'attente de son paternel hircin. Il comprenait pas, ce misérable rejeton,  que son satané père avait engagé un duel au premier sang épique avec Narcisse, parrain des maitres-chiens !  

La redoutable squaw faisait feu de tout bois. Pour dire vrai, il était plus commode d'avoir la mémé avec soi que contre soi... Un trophée de guerre du gourou dans sa croisade têtue contre les patriciens salaces. 

Les pernicieux jababu offraient ce cocktail aux cerveaux détraqués...

vendredi 1 décembre 2023

LA HAUTE TRAHISON DU PETIT...

A l'issue d'une cérémonie inénarrable de Zangbeto, le larbin noir au coeur noir comme du charbon de bois s'était intronisé chef de la canaille. 

Il s'était chargé de lever le vrai lièvre : la pépette nitouche. Qui était plus méritant qu'elle ? Pouvait-on d'ailleurs la rémunérer pour son immense exploit ?  Mais encore comment la rémunérer ?  

C'est peu dire, en effet, que toute la vermine, depuis sa tête jusqu'à sa queue, lui devait la vie ou l'heur d'exister encore. Et comment, elle avait fait  conjuguer le gourou au passé ! 

Excusez du peu...

...Pour qui n'avait pas compris la danse du scalp de Judas, le plus grand traître de Laf... 

Ceci étant, il n'était point donc pour notre nouveau zangbéto d'être ingrat. La genette avait montré du talent,  absolument tout et même au delà des références habituellement exigées des postulants voulant intégrer la bergerie. 

Narcissique, perverse, elle savait mentir, elle apprenait vite, elle avait une féroce envie de vivre et par dessus le marché, elle était méchamment animée d'une rage d'humilier à tout-va.

Et puis, lui zangbeto, lui fournirait assistance et aide, la guiderait vers le succès de sa mission.

Pourquoi pas ? Composer avec des larbins lobotomisés, persécuter des eunuques ramollos et terroriser des daronnes affamées n'était pas affaire si compliquée que ça, quand même. Surtout quand le grand animal veillait et que le chef assassin bidouillait... 

Décidément,  la grand'poupée n'était pas au bout de ses peines. Tant pis pour celui qui n'osait pas assumer ses amitiés ! 

Pourquoi, donc, le sale pisse-copie carthaginois se mêlait-il des affaires lafiennes ? 

Un début de réponse nous est venu d'une information tragique. Les sales racistes berbères de Sa non moins sale Majesté Raciste allaient gérer le ciel de Laf. Encore ? Eh oui, encore ! les monstres lafiens se suivaient et rivalisaient apparemment de couardise.

Les faux-culs jababus y voyaient une haute trahison du petit maure. Qui fréquente un traitre le devient à coup sûr. Bravo, Judas le lafien ! 

Bon appétit aux cerveaux fichus...