mercredi 14 novembre 2018

PANIQUE AU SOMMET.....

Quelqu'un a dit : l'homme en proie à la panique peut abandonner toute humanité dans certaines circonstances.

Plus l'échéance approche, plus le bonhomme président devient nerveux, plus sa bergerie se débande. 

Le bonhomme president a tombé le masque. Il peut emprisonner qui il veut et le liberer quand il veut. 

Ses fantasmes de sultan virtuel d'un futur émirat gazo-pétrolier lui permet sans doute de débiter une pareille sottise au beau milieu de la patrie des droits de l'homme.

L'argumentaire besogneux du doyen des juges et du ministre de l'injustice reléguant la soif de justice des populations à des postures incantatoires lui ont malheureusement donné de mauvaises idées.  

Ses affidés déboussolés par les alertes irrevocables du FMI et de la Banque Mondiale reprennent du poil de la bête et ne cachent pas leur contentement extatique devant cette dernière pirouette virevoltante de méchanceté du berger. 
      
C'est un grand malheur de voir la direction du pays perdre la boule et se comporter de la sorte. 

Le pays ne saurait donc aller bien en ce moment où les populations souffrant de la sotte suffisance mythomaniaque de parvenus des élites vivent encore le calvaire de la peur panique au sommet de l'Etat.
 
A maints égards, les plans ont été dérangé et les certitudes d'hier sont devenues des incertitudes d'aujourdhui.
 
Plus que jamais, les autorités réligieuses se doivent de prendre l'exacte mesure de la situation. C'est le moins de prier tant que nous sommes autant que nous pouvons !

Car il y a autant de danger à se laisser conduire par un fou que de le regarder manipuler un bien public.

Seulement la place d'un fou n'est pas en prison, c'est plutôt à l'asile.    

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