La liste des dégâts collatéraux du passage de l'ouragan Sonko ne cesse de s'allonger.
Monsieur Papa Amadou Sarr paie en même temps que la vision politique paresseuse de notre incompétent président, le malheur de s'être comparé au beauf !
Depuis quand la coloration politique, en l'occurence celle d'opposant, est-elle un critère de bonne décision dans l'allocation des deniers publics ?
C'est que dans ce combat, sans survivant, entre Maky Sall et Ousmane Sonko, le pays retient son souffle.
Quand un pays est à l'arrêt, les rats, les souris et leur sinistre engeance en profitent à fond la caisse !
Notre prétentieux genie politique ancien méchant sultan n'a plus beaucoup d'atouts entre ses mains.
La lecon n'est pas malheureusement encore sue par beaucoup quand on voit la rage écumer de la gueule du face d'ange POD qui répondait à la starlette Halima Gadji !
La solution se fait désirer... Elle pourrait venir du ciel si le garçon Karim Wade débarquait en plein Dakar, comme un grand ?
Cette catharsis serait une thérapie collective. Nous serons juste quitte de quelques crises cardiaques dans les rangs des chenapans dressés à l'humiliation.
Et on ne fera plus l'ânerie d'exiler un sénégalais, on ne déploiera plus autant de méchanceté pour honnir un sénégalais, on n'osera plus tenter d'excommunier un compatriote de la chapelle commune !
Le soleil du Sénégal luit pour tous les sénégalais, asurémént !
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