jeudi 30 mars 2017

EMOUVANTS LENDEMAINS DE DEFAITE....



En Afrique, francophone en tout cas, nous ne voyons pas de parti politique ayant perdu les élections n parvenir à le reconquérir sauf par le truchement d’alliances extravagantes.

Il ne faut pas charrier, hein... un  parti ne marche que de la liberté accordée aux hommes et aux femmes de se joindre indifféremment ensemble, chacun suivant son inclination, comme aussi la liberté de se quitter et de se séparer les uns des autres, lorsqu'ils ne se trouveraient pas bien ensemble, ou lorsque leur inclination les porterait à former quelqu'autre nouvelle alliance…


Comment le Pds a t il cru pouvoir être vacciné contre les remous qu’a connus le PS qu’il a défait… ??? 

Les frères chéris en auraient-ils pris conscience plus tôt, gageons que l’amplitude du séisme serait moins intense… Remarque, ils auront bien tenu mais en vain...

Que voulez vous, à l'impossible nul n'est tenu... au terminus, tout le monde est obligé de descendre...  

Car il n'est pas de chose plus difficile que de retenir quelqu'un qui veut partir.... n'est ce pas Madame Aida Mbodj ?  

Mais il doit être interdit d’en rire… car à chacun son tour chez le coiffeur !

Les partis dominants perdent le pouvoir au summum de leur gloire, quand ils pensent avoir embrigadé l’essentiel des "personnalités" du pays…

Aussi la défaite ne peut-elle être que plus dure à avaler et l’effort de se relever plus pénible encore.


Mais puisqu'au Sénégal, il n y a plus vraiment de grands partis politiques sinon des hommes aux grandes poches lourdes de milliards acquis de façon obscure, la prochaine présidentielle sera sûrement rocambolesque…

Ainsi donc, la locomotive n'étant pas spacieuse, c'est le manitou du parti et son cercle d'obligés qui gagnent toujours... contre tout le monde, n'est ce pas nos "amis de raison" socialistes  ?

Mangone Sall 

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