Dans une mise en scène ahurissante, Boy Djine est retourné au gnouf avec un traitement qui sied à un trés grand bandit qu'il est, du reste, loin d'être.
Si bien que de peu, nous avons failli louper le vrai spectable. La grand manoeuvre du Rectiligne Esprit qui a enterré une souris pour deterrer un rat, selon l'expression consacrée dans le Saloum à propos de .... Emprunter pour se Desendetter....
La villegiature de l'Esprit Rectiligne n'aura pas été vaine car il y revient tout fraichement !
L'émission d'eurobonds qu'on veut nous fourguer comme le succès du siecle n'est qu'une fuite en avant, une machination qui vise à reporter subrepticement l'échéance de la dette, rejeter sa responsabilité sur les generations futures ou mieux gager les recettes gazopetrolieres futures hypothetiques !
Parce qu'en vérité, comme ne le dit pas notre esprit rectiligne de ministre des Finances, la dette contractée en 2014 n'aura servi qu'à procrastiner le nouveau pouvoir.
Le résultat est bluffant... Les électeurs sont tombés dans le panneau... des chantiers ouverts tous azimuts... sitôt abandonnés après les elections.
Et que l'on veuille à nouveau perpétrer le même coup aux approches des locales ne doit pas étonner de la part d'un Etat gourmand de plus de 100 ministres, 165 députes, 150 hauts conseillers territoriaux, 120 conseillers économiques pour un pays classé par les 30 pays les plus pauvres de la plante et qui, en même temps, fait partie du trio des pays qui connaissent le plus haut taux de chômage !
Manifestement, le faramineux budget public annuel ne suffit pas à rassasier la nuée de sauterelles qui se sert à grands frais dans les rateliers mangeoires des 10 000 projets publics chevauchant les directions natioanles et se dédoublant infiniment pour intégrer l'appetit des nouveaux arrivants..
Ce que l'on cache aux hommes, on ne peut el cacher à Dieu.... ne dit-on pas ?
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