Jamais on avait parlé de violence avec autant de fourberie dans notre pays.
Eh oui, sinon comment comprendre que l'on refuse de voir cette réalité en face que la violence décriée de partout comporte de multiples ramifications et que, donc, tout naturellement, elle déborde largement les surenchères sur les réseaux sociaux qui au demeurant sont suscitées et entretenues par les appareils partisans.
Que tout le monde parle en même temps ou que les uns empêchent les autres de parler, ce sera toujours une gageure de s'entendre. Et pire, encore, s'il ne sert plus à rien que les uns ou les autres se taisent.
Jean Paul Sartre nous a dit que toute violence se donne toujours pour contre-violence, comme ripsote à la violence de l'autre...
La violence qui a cours est ainsi indieuse et bestiale que pour la juguler nous devrons necessairement passer par des états généraux de la république.
Les rôles devraient être redéfinis à tous les niveaux.... notamment ceux des forces de l'ordre...une tâche titanesque à la mesure du péril qui guette notamment avec la manne pétrolière qui va de facon certaine ajouter à la violence....
En attendant, nous sommes bluffés par le président qui réussit avec une facilité déconcertante à ramener dans son giron ses lieutenants qu'il avait saqués de facon humiliante...
Aura-t-il une main aussi heureuse avec les autres responsables qui ont pris leur courage à deux mains pour assumer leur liberté d'exprimer leurs ambitions de diriger prochainement leurs localités ?
En tout état de cause, qui peut le plus peut le moins. Pour qui veut la paix, bien entendu !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire