Le sultan virtuel du futur emirat petrolier devoile son jeu, c'est le cas de le dire. Il ne saurait plus être question de se mettre en travers de son chemin de gloire. A bon entendeur, salut !
Le bonhomme president replet a, sur un ton menacant, exigé le respect de la Republique, le respect des magistrats...
Parle-t-il de cette republique reduite à sa plus simple expression familiale, amicale et communautariste ?
Parle-t-il de cette republique dont les depositaires de sa force tuent et torturent impunement ?
Parle-t-il de cette republique dont la justice roule à deux vitesses ?
Parle-t-il de cette republique qui s'accomode de deux catégories de citoyens ?
Et quid du respect ?
Respecter des gens sans paroles, des bonimenteurs, des cupides ?
Respecter la mechancete, la fourberie, la versatilité ?
Que non !
C’est à celui, seulment à celui-là, qui domine sur les esprits par la force de la vérité, non à ceux qui font les esclaves par la violence, que le respect est du.
C’est à celui, seulment à celui-là, qui domine sur les esprits par la force de la vérité, non à ceux qui font les esclaves par la violence, que le respect est du.
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