Le président Macron s’est défendu de donner des leçons de
droits de l’homme alors qu’il recevait son homologue égyptien Al Sissi.
C’est que notre brave Macron a vraiment raté le coche. Il aurait
dû… il aurait fallu qu’il lui remonte les bretelles et à travers lui à
tous ceux qui dirigent le Tiers Monde.
Il ne faudrait plus que le statut de pays pauvre se confonde
avec un espace de déni des droits humains.
La pauvreté d’un pays ne doit rien avoir en commun avec le
respect de la dignité humaine du citoyen. Ce serait un pis-aller d’autant plus
grotesque que dans la plupart des cas la permanence de la pauvreté est directement proportionnelle
à l’incapacité des dirigeants qui s’épuisent en vaine cogitations et
contorsions pour conserver du pouvoir de la facon la plus rebutante…
Du pouvoir dont l’arête la plus saillante est le voyage interplanétaire
pour quémander dons et subventions pour éponger les bêtises commises avec les
dettes spoliatrices de tout un peuple, de plusieurs générations d’un peuple..
J’aurai été Macron, j’aurais même tapé sur la table pour que
les dirigeants du Tiers Monde, y compris notre bonhomme président Maky Sall, s’engagent
à respecter et faire respecter, veiller et surveiller la dignité humaine chez
chacun de leurs mandants.
C’est à cette condition qu’ils comprendront… prendront la mesure du regain de l’émigration
clandestine à bord d’embarcations de fortunes… aborderont avec intelligence les solutions qu’offrent
la science et la technique par rapport à la question de la nourriture de leur
peuple…
Monsieur Macron, en refusant de leur faire la leçon, vous
contribuez à l’inertie d’un système morbide.
Parce par acquit de conscience, au nom des vôtres, vous leur
remettrez des sous pour leurs peuples… Avec lesquels ils vont s’enrichir lâchement, en compagnie
des parents, amis et complices sur le dos des leurs…
Voilà pourquoi, Monsieur macron, vous et vos collègues,
devriez donner des leçons de droits de l’homme à tout bonhomme president quemandeur
qui se presentera à vous. Il n y a pas de contexte qui soit plus favorable qu’un
autre au respect et observance de la dignité humaine !
C'est une question morale. Bien au contraire, le respect de la dignité humaine est la mère de tous les droits et la plus belle des prédispositions !
C'est une question morale. Bien au contraire, le respect de la dignité humaine est la mère de tous les droits et la plus belle des prédispositions !
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