Au
Sénégal, on dépiste 10 cas de cancer chaque jour Dieu que fait.
Cela veut dire
qu’il faut multiplier ce nombre par trois, au moins, si l’on prend en compte
l’étendue des déserts médicaux et de la pauvreté des populations.
Ainsi nous
aboutissons au chiffre faramineux de 10 000 patients par année.
Le
hic est que la thérapeutique du cancer n’existe plus pour ne pas dire qu’elle
est incomplète.
Tant et si bien que le bonhomme président devrait il songer à
introduire une loi d’urgence pour interdire de tomber malade du cancer.
Car on
ne saurait y échapper…. Et pour cause, la permanence des soins n’est pas
garantie.
Par
exemple le seul appareil de cobaltothérapie, au demeurant désuet et dangereux
selon les normes actuelles, est en panne.
C’est
le signe d’une chaleureuse insouciance dont le limogeage de l’ancienne ministre
de la Sante ne circonscrit guère les conséquences caustiques.
Le
bonhomme président est le seul responsable. Coupable de négligence et d'inattention !
Il ne saurait guère se prévaloir de
son ignorance au regard des privilèges époustouflants dont ils bénéficient des sénégalais pour
gouverner et qui feraient pâlir d’envie l’Emir du Qatar himself !
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