Le monde semble heureux de voir Trump mordre la poussière dans la course à la Maison Blanche.
Les dirigeants africains sont ceux qui ne le regretteront pas, le plus parce que Trump les méprisait. Il s'est tenu éloigné d'eux tout en les tenant éloignéss de lui durant tout son mandat. Comme de la peste parce qu'il les considérait comme la peste de leur peuple.
Ce sont les peuples africains qui perdent ainsi un avocat coriace de leur cause. Car ils ont en vain espérer que son slogan "America first" déteigne sur leurs dirigeants pour que la patrie soit bien avant le parti !
En effet, Trump n'avait de cesse de renvoyer les dirigeants africains devant le miroir de leur conscience car toutes les raisons de son mépris qu'il étalait au grand jour trouvaient un écho favorable auprès des populations africaines.
C'etait une facon de marquer son incompréhension navrée et solidaire de voir un continent aussi pourvu que les autres, sinon plus, se maintenir dans les abysses de la misère.
Rétrospectivement, l'essentiel était-il que l'Afrique soit partie ? N'était-elle pas plutôt trés mal partie ?
Le constat présent est désolant. Voir comment la seule perspective qui s'impose, celle politicienne hédoniste, le comprend tant et si bien qu'elle a entrepris depuis de demembrer et brader la souverainete nationale partout.
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