jeudi 27 juillet 2023

TABLEAU SOMBRE...

Satan regardait son oeuvre qu'on pouvait intituler : vie de misère ou misère de la vie à Laf. 

Le satanisme n'était-il pas un tableau sombre ? 

Les mollassons n'avaient jamais autant mérité leur surnom. Le grand rasait les murs, incapable de faire preuve de la moindre autorité et les petits faisaient le mort. 

Les lascars négociaient une place dans le canoë de sauvetage hormis le poussin-condor qui contenait stoïquement son amertume. 

Le grand animal et ses corbeaux bleus avaient déposé les armes, l'air de rien. 

Le chef assassin et ses faucons noirs s'étaient transportés en haute mer pour élargir le champ de leurs méfaits. Sans la possibilité de tarabuster, bâtonner et assassiner, la vie valait-elle la peine d'être vécue ?  

La marmaille n'avait plus le choix ; elle avait sauté, ne pouvant plus reculer... La haine est tonique, elle faisait vivre.

Le Roi raciste s'était proposé arbitre entre le gourou et le monstre. Folle est la brebis qui au loup se confesse !

Le monstre était devenu un fugitif, fuyant Narcisse, se méfiant de Judas et se cachant de ses larbins.  Quelle garantie avait-il obtenu ou attendait-il ?   

Le gourou léchait ses plaies. Ses haillonneux avaient consenti le sacrifice extrême pour ses beaux yeux. Quel a été le sien ? 

Toutefois, on attendait encore le verdict... 

Car cette démarche honnissait les négroïdes et légitimait les conneries des bédouins suprémacistes de Carthage, de Constantine, de Fezzan, du Taouy et de Tingitane...

Et que la majesté xénophobe en avait profité pour s'emparer subrepticement d'un important pan de l'économie lafienne.  

Eh oui, la culture mangeait la stratégie au petit déjeuner dit-on en oubliant que la culture pouvait etre prise comme le Plan de Dieu.

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