On ne guerit pas une maladie en prononcant le nom du médicament, on prend le médicament pour guérir, disait-il avec justesse.
Quel malheur que son exemplaire, courte et féconde vie n'inspire personne. 31 ans après !
Ou peut être si, toutes proportions gardées, une seule personne, un jeune leader politique dont l'engagement ferme et le succès auprès de la jeunesse nous le rappellent.
La mémoire de Sankara mérite plus que de l'admiration béate, tout au plus mythifiante.
Au Banquet de la Revolution, l'Afrique est dignement représentée. Merci Thomas !

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