mardi 22 avril 2025

DU BAZAR MENTAL...

Un peuple, on ne le flatte pas, on lui dit la vérité ! Cette maxime etait devenue la seconde nature de l'ouroboros drapé dans son costume de révolutionnaire bien taillé par son gourou. 

Le monstre qui ressuscitait en electrocphorus avait du sang d'encre à se faire. Sacré bazar mental d'un poursuivi qui joue le rôle d'un poursuiveur !

L'ouroboros n'avait aucunement peur des conflits. Lesquels n'étaient en eux-mêmes que des tests d'amour. Les jababus en extase après le retour de leur brebis égarée ne diront pas le contraire !

D'aucuns succombaient, d'autres survivaient à ce terrible test qui aidait à mieux identifier ceux qu'on aime, à préciser ce qui mérite notre protection. Une sempiternelle balance entre le bien et le mal... dont l'oscillation déterminait l'intensité et même la durée !

L'ouroboros, trop discret pour le show, trop lourd pour ne pas peser, avait fait bouger les lignes de la racaille et de la marmaille. Certes, il subsistait encore ça et là des ilôts séditieux, et non des moindres, instruits par des orfèvres de désordre intelligent et gérés par des agents de subversion en finesse ! 

Mais il n'en restait pas moins que la vermine était traversée par une lame de fond de terreur qui n'était pas sans leur rappeler le sadisme de leur dembacratie. L'épuisement mental guettait, en cause l'impuissance de leurs lanceurs de boue à atteindre l'objectif assigné de casser le tandem entre le gourou et son ouroboros. 

Convaincus que cela ne faisait qu'exposer leurs kapos, certains larbins allaient jusqu'à accuser les dérapages verbaux prétendument virils de ces trolls payés... qui irritaient  d'avantage et plutôt l'ourouboros et les haillonneux... de précipiter le cours des choses.  

Les gouroulandais étaient plus que satisfaits, dans leur écrasante majorité, des événements en cours. Le but ultime était l'éradication jusqu'à sa velléité du cynisme politicien qui avait atteint son apogée symbolisée par le monstre et ses larbins. Et il y aura encore et encore du chemin à faire tant que l'Etat ne sera pas devenu cette machine aux rouages imbriqués, uniquement mue pour l'intérêt general...       

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire