Le jeune homme Ibou Gueye victime de la justice
populaire a succombé à ses blessures entre les mains des policiers.
Sur la foi des personnes ayant partagé la cellule
nauséabonde avec le défunt et l’assisté dans ces derniers instants, le jeune
homme est bien mort dans les locaux de la police centrale, le must comme on
dirait en d’autres temps, d’autres lieux, en ce qu’il concentre les policiers
les plus chevronnés… qui n'on guère songé à lever le plus petit bout de leur doigt pour porter assistance a cet être humain....
Cela se passe la nuit du 24 Décembre au moment où le
monde entier célèbre la naissance de l’Esprit Saint, le prophète Jésus fils de
Myriam…
Tuer ou alors laisser mourir, n’est ce pas la même
chose au fond ?
Et ce ne sont pas les jérémiades du chargé de la
communication qui éteindront ce sentiment tenace qui a envahi les citoyens épris
de paix et de justice : les petits types ont fini d’infester les rangs des
forces de l’ordre.
On aurait mieux aimé entendre la voix du directeur de
la police ou mieux celle du ministre de l’Intérieur puisque le ministre de la Justice
s’est tristement politisé et que le lion de bonhomme président de la République dort…
Je crois qu’une croisade administrative est parfaitement justifiable contre ces petits types qui se
laissent insulter par des fils de milliardaires ivres mais qui tuent ou
laissent mourir les fils des simples citoyens est plus indiquéee que la chasse
aux terroristes, en ce moment present !
Mais qu’a-t-on fait pour mériter pareil sort ?
Lorou Adama GAYE
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