Le Senegal tient son élément dans la galaxie des plus grands bandits de tous les temps.
Il s'agit de Salif Sadio, le vulgaire voyou narco-trafiquant qui a le toupet de se déguiser en résistant d'une cause nationaliste lunatique.
Quand est ce que les autorités sénégalaises se rendront-elles enfin compte que cet énergumène doit être traité comme tous les vulgaires bandits de son acabit ?
Arreter par tous les moyens nécessaires le contrebandier Salif Sadio est devenue une urgence nationale
Ses menaces à l'endroit du gouvernement gambien sont une moquerie insupportable, une de plus, qui dénote l'esprit capricieux du bandit..
Parce qu'on ne s'y trompe guère, il ne fait aucun doute que ce sont les autorités gambiennes qui le biberonnent, en effet.
La Gambie, comme du reste la Guinée Bissau, ne peut guère s'accommoder de convivre avec un Senegal en paix.
Ces deux pays sont les repaires ultra-sécures des brigands qui essaiment au Senegal.
Plus, il y persiste un complexe antisénégalais particulièrement vivace dont il convient d'analyser sans fioritures pour en tirer toutes les conséquences.
Dès lors, l'attaque, l'assassinat et la sequestration de nos vaillants diambars par la bande de brigands dirigée par Salif Sadio sont de l'entière responsabilité gambienne !
Notre despote n'a-t-il pas trouvé, là, le terrain indiqué pour laisser libre cours à sa méchanceté ?
Tache facile et exaltante sans aucun doute car tous les dirigeants africains croient profondément comme lui que "le cynisme est le plus court chemin vers la vertu".
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