Quel nom faut il donner, encore, à ces divers manquements de L'Etat quant à sa mission régalienne de protection civile ?
Nos puits de gaz continuent de brûler... Les américains demandent deux milliards environ pour l'éteindre !
Un village de Medina Sabakh ravagé par les flammes n'a du son salut relatif qu'à la pitié des soldats du feu gambiens !
Dans la capitale, au moindre sinistre ce sont plutot les elements francais du Cap Vert, l'armee francaise quoi !, qui volent par solidarité à notre secours.
Ainsi, partout, la dimension des sinistres et l'ampleur des degats ne sont que la resultante soit de l'indigence de moyens logistiques soit de l'absence des sapeurs pompiers ou simplement et le plus souvent des deux concomitamment !
La protection civile est une compétence de la puissance publique jusque là non transferée, si les moyens manquent quelque part dans ce domaine essentiel, c'est une bévue majeure au moment où on fait ripaille à la Cour de sa Majesté et bombance à tous les étages du sultanat. .
Dans ces moments fatidiques, le ministre de l'intérieur en charge de cette question de la sécurité publique collective fait à chaque fois le mort.
C'est maintenant qu'il daigne sortir sa tête du trou de silence juste pour tenter d'intimider les gens de PASTEF qui ne finissent pas de semer l'émoi dans le camp des politicards épicuriens par leurs leçons exquises d'une nouvelle pratique politique autour d'un renouveau militant.
Finalement, nous avons peut-être beaucoup prêté à la Dame Mimi. La violence de l'indifférence à notre sort que nous subissons et la méchanceté que l'on observe ne sont pas seulement à correller à une nature individuelle quand bien même serait-elle la mieux prédisposée.
Ces comportements peuvent bien être amplifiés par des instructions fermes d'un monarque démocrate de pacotille, n'est ce pas ?
La morale de l'histoire est que la sympathie vaut bien plus que la peur. La sympathie vous loge dans le coeur des gens, à proximité épiphanique du Seigneur... alors l'admiration, vous forcerez partout !
Cependant, la peur vous relègue dans leurs cerveaux, antres du Diable...et le mépris est votre mérite !
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