La gestion carente de l'incendie du puits de gaz à Ngadiaga est le nouveau point culminant de l'indolence d'Etat.
C'est incompréhensible et c'est injustifiable, en effet, que la sécurité soit aussi défaillante autour d'une exploitation aussi sensible qui dure depuis 20 ans environ.
Les images désolantes du village parlent d'elles-mêmes quant au bénéfice qu'en tirent les populations autochtones.
Et le comble est l'absence de l'affreux Toni à leur chevet. Sa mollesse dailleurs à mobiliser le respect des mesures obligatoires anti-covid interpelle.
Mais on oublie que toute l'énergie est devoyée pour rassembler 85 % de l'électorat ! Car la finalité est évidente ! Aussi vrai que le feu n'a plus de fumée quand il devient flamme ! Le frere et le beau-frere rivalisent d'ardeur, ils n'entendent point être des spectateurs passifs du jeu d'échecs déplorable entre le sultan et son dauphin.
Et le reste ? Il correspond exactement au score du jeune Ousmane Sonko lors de la dernière présidentielle. Et si cette exquise attention à l'égard du jeune homme ne tenait qu'à machiner un leurre démocratique ?
Tout le reste est donc secondaire pour ne pas dire devenu banal.
Au grand bonheur de certains qui en profitent, éperdument, pour dérouler la danse du scalp, celle du ventre ?
Au grand malheur des populations qui réalisent que le Fonds Covid n'aura pas dérogé à la regle. Les plans ne sont que des plats pour ceux qui les manipulent.
Joyeux Noël ! Il n ya pas de raison que le Seigneur nous lâche, le fardeau est si plaisant pour Lui !
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