Il nous a administré à maintes reprises que sa parole ne vaut pas un kopeck. Aussi n y a t il rien à esperer de son baratin rituel !
Et puis, il n y a qu'un bilan qui vaille, - il est déjà fait - c'est la désastreuse gestion matérielle et morale de la crise sanitaire et il n y a pas de moindre prospective qui tienne sinon celle de tendre la sébille pour quémander la solidarité internationale pour vacciner ses ouailles !
C'est que nous n'avons absolument rien appris de la pandémie qui aura rythmé toute l'année qui s'achève.
A l'heure où le vaccin a fini de se pointer comme l'unique solution opérationneelle, on s'apercoit que rien n'a été anticipé... le comble !
D'une part, comment peut on être aussi sourd, aveugle et muet sur les vrais problemes et de l'autre comment peut on profiter aussi avidement de la misère humaine ?
L'un dans l'autre, comment peut-on asssister aussi passivement à ce malheureux spectacle ?
Le gouvernement peut encore pleurnicher pour le respect des gestes barrières... L'affreux Toni rechigne à aller au casse-pipe....
Au pire, ne couleront que des larmes de crocodile qui n'émouvront personne, fort heureusement.
Et pourtant, la
suspension des caisses noires non seulement aurait pu régler pas mal de
problèmes générés par le covid mais plus, aurait pu sceller à nouveau un pacte de confiance entre le haut et le bas.
Mais ouf, nous l'avons échappé belle. La belle bataille que ç'aurait pu être : Fous du sultan et Macoutes contre Djinns !
Meilleurs voeux.
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