A
chaque époque, ses idées. On n’en disconvient pas mais encore faut-il qu’elle
soit capable de forger ses propres mots pour habiller lesquelles idées et aussi
ses propres malheurs.
Sous
ce rapport, notre société sénégalaise et africaine a du pain sur la planche. On succomberait volontiers à la tentation de justifier cette désunion africaine
par la non-prise en charge collective efficiente de cette question de
dénomination de ses idées, de ses hantises et de ses obsessions ?
La
dénomination est un sacrement de l’idée dont l’absence anéantit tout espoir de conceptualisation
donc de compréhension partagée ou de dépassement des problématiques
socio-économiques ...
La
société sénégalaise vit un phénomène particulierement inquiétant avec la prolifération des
tentatives d’enlèvement de femmes et d’enfants. Allah seul sait combien de ces
tentatives ont réussi…
Nul
n’est plus à l’abri quand on remarque que les commis de cette sale besogne
opèrent avec d’importants moyens, avec un culot insolent !
L’angoisse
générée par le phénomène s’est muée en peur panique depuis que l'on soupçonne de plus en plus, la proximité des élections aidant, que les motivations de ces
enlèvements sont liées à la magie noire au service de sombres desseins de conquête et de
conservation de pouvoir qui, de ce fait, exigent d’effroyables sacrifices
humains.
Afin
que nul n’en ignore, en nous fondant sur les paroles du prophète Mohamed (psl), autant ce sont de
vils hommes qui demandent le pouvoir, autant ce sont les plus vils d’entre eux
qui sont prêts à tout pour l’obtenir ou le garder. Les politiciens sont avertis !
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