L’opposition politique mauritanienne s’y met également
en réclamant à son gouvernement la publication de l’accord gazier qui consacre
le partage moitié-moitié entre le Sénégal et la Mauritanie des réserves
de gaz découvertes au large des cotes bordant leur frontière commune.
C’est à la suite, il est vrai, de l’insistance, ici,
au Sénégal de l’opposant Idrissa Seck qui enjoint la même chose à notre
bonhomme président Maky Sall.
Et les pirouettes de notre bonhomme de président pour esquiver la question nous laisse finalement stupéfait , elles
nous submergent de doute.
Idrissa Seck a, donc, tout à fait raison d’indexer la
forte émotivité, scandaleuse au demeurant pour tout ce qu’elle charrie comme
écarts antidémocratiques et reniements amoraux, chez notre bonhomme de président !
Cette attitude est responsable, entre autres, de cette
politique de courte-vue qui a fini de piéger notre filière arachidière :
faut savoir ce qu’on veut !
Il y a un an, on interdisait aux commerçants chinois
d’acheter notre arachide, aujourd’hui, on leur fait une cour indécente pour le
contraire parce que nos opérateurs économiques sont entrain de massacrer nos pauvres paysans …
Le bonhomme président doit se rendre à la raison.
Trêves de commentaires, il
faut qu'il publie tout ce qu’il signe au nom des sénégalais et pour leur compte
exclusif !
… sinon, cela n’engendrera que des problèmes futurs
que l’on peut bien éviter au present.
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