Dans tous les pays normaux, les chefs d'Etat, à coté d'eux leurs gouvernements, se sont retrouchés les manches pour plancher dur sur l'avenir particulièrement sombre qui plane sur leur monde...
Que disons-nous, le branle-bas de combat est de rigueur pour la résilience presque partout. La 3eme guerre mondiale a commencé...
Oui presque partout disons-nous car chez nous c'est une désolante histoire de cul sans fin qui pollue l'air.. Non sans nous importuner gravement en ces moments de grande ferveur aussi bien pour les chrétiens que les musulmans.
Elle est désolante car le peuple a définitivement compris que son gouvernement balourd, paresseux et hypocrite est plus interessé à renforcer une mascarade honteuse dans l'espoir de mettre hors d'état de nuire son opposant intransigeant qui, à notre connaissance, ne saurait être le premier homme adultère de ce pays encore moins le dernier si tout était avéré...
Toutefois, il est de bon ton de rappeler, encore !, que si on est définitivement incapable de faire amende honorable par Allah, on cédera toujours inévitablement pour rien !
Comme l'ont fait, du reste et devant Mimran qui a cloué au pilori la politique économique de l'ami président, ceux qui nous avaient habitués à fondre, serres et becs déployés, sur tout sénégalais qui a fait la même chose..
Vouloir justifier ce silence honni par le soi-disant mépris qu'inspire Mimran qui agirait de ce fait comme un vulgaire maître-chanteur est juste une fuite en avant, trop lâche !
Nous ne croyons pas pour un sou que le militantisme y soit pour quelque chose.
Très tentant, dès lors, de voir dans ce paradoxe comportemental la cause du dépiéçage avec une violence inouie du Senegal matérialisé par une offre publique de vente effective de nos ressources (terre, mines, petrole, gaz, mer, eau ) ainsi que de nos actifs : aéroport, port, ponts, autoroutes, telephone et même des projets trop chèrement payés : BRT et TER...
Des manoeuvres sordides sous tendues par le sabotage consciencieux de ce qui ne peut être aliéné : l'école publique, l'enseignement supérieur, la santé publique, le transport public, l'electricite, le secteur privé national, la pêche artisanale, la paysannerie : élevage et agriculure !
Sauve-qui-peut ou banditisme ?
Les institutions s'adaptent aux contours des personnages du moment qui les animent. Alors quand une democratie est minable....
Par conséquent, quelle indépendance a-t-on le toupet de vouloir célébrer ? La liberation totale ou libertinage absolu des rapetous ?
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