En même temps, il ne fait aucun doute que le prix à payer sera trés fort. Avant comme Après.
Cet énième tripatouillage annoncé de la Constitution dénote, donc, le comportement d'un homme déboussolé par l'adversité qui est si imbu de sa personne qu'il n'accpetera jamais, n'en serait-ce que l'idée, d'apprendre des erreurs des autres, de ses prédécesseurs.
Au délà des milliards dépensés,in fine, en pure perte pour organiser le référendum du 20 Mars 2016, la suppression puis reconduction du poste de premier ministre rèvéle une légèreté insultante vis à vis de la Constitution de notre pays
Que l'on ne soit guère surpris, dès lors, que notre pays stagne dans le peloton de queue mondial des nations les plus pauvres... après l'enracinement et l'ouverture, après le sursaut national, après le sopi et après l'émergence-yokkute, c'est toujours la caillasse, le régime pain-sec pour la plupart des citoyens !
Qui nous a dit que ces gens briguent le pouvoir pour améliorer la condition de leurs semblables ?
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