La pauvreté continue de s'amplifier au Sénégal. C'est la revelation d'une etude conduite par l'agence nationale des statistiques sous l'égide de la Banque Mondiale...
Si la revelation a semé l'epouvante au sommet de l'Etat où les officiels se sont confondus dans leur baratin habituel, elle a frappé les populations de stupeur.
Notre incredulité est d'autant plus grande que les zones les plus pauvres couvrent toutes les régions de la verte Casamance... Tambacounda, Kédougou, Kaffrine et Matam aussi !
Matam concentre depuis toujours le plus grand nombre d'emigrés nantis au kilometre-carré en sus de capter des investissemenst publics consequents ( enfin théoriquement !) en matière d'aménagements hydro-agricoles....
La Casamance, Kedougou et Tambacounda et Kaffrine sont des contrees pluvieuses que l'on présumait les greniers du Senegal et où on retrouve nos mines d'or et de fer...
Il doit y avoir certainement anguille sous roche, oui, car ca doit être affreux de vivre dans des conditions pires que celles des ressortissants des provinces arides aux terres sablonneuses lessivées par le vent chaud et sec du Djolof et du Ferlo.
Pincez-nous, c'est un cauchemar ou il doit y avoir anguille sous roche, une mauvaise farce ?
Reveillés, il nous reste à préparer l'enterrement de premiere classe de Kilifeu.... le concours de méchanceté bat son plein : Sonko doit être seul dans le desert !
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