vendredi 29 avril 2011
jeudi 21 avril 2011
dimanche 17 avril 2011
AU CHEVET DE LA COTE D'IVOIRE !

L’orgie déferlante des photos retraçant la capture de Laurent Gbagbo, son épouse et ses proches, cache mal la gigantesque entreprise d’humiliation que le camp de Ouattara s’est résolue à leur égard !
A quelle fin devrait on se demander, à juste raison.
Car le moment est vraiment mal choisi pour adopter la loi du talion ou de parler d’une quelconque vengeance !
Ce qui se passe en Cote d’Ivoire est ainsi donc tout à fait calamiteux. Cette situation est d’autant plus honteuse qu’il n’y a pas de quoi pavoiser, vraiment, parce qu’au train où vont les choses, il n’est pas besoin d’être prophète pour donner peuchère de la nation ivoirienne.
Encore une fois, les Etats Africains et leurs chefs ont étalé toute leur carence. Non sans regretter bien auparavant que les ivoiriens n’aient pu trouver en leur sein sur toute l’étendue de leur grand territoire des gens aptes à jouer le rôle d’arbitre. Mais une société sans médiateurs ou amortisseurs est-elle tout simplement viable ?
C’est une question qu’il n’est plus superflu de poser en ce qui concerne maints pays africains et partant concernant l’Afrique !
En considérant ces faits gravissimes qui ne prouvent, au demeurant, que sa vraie nature, nous disons que si Alassane Ouattara, celui là par lequel tous les malheurs sont tombés sur la Cote d’Ivoire, espère gagner de la sorte les esprits et les cœurs des ivoiriens, il faudra qu’il repasse.

Bref, et à mon avis, Alassane Ouattara ne devrait pas faire long feu à la tête de la Cote d’Ivoire. Non seulement, il est politique-
-ment trop endetté vis à vis de maints lobbies dont l’interference inévitable dans la conduite des affaires ivoiro-ivoiriennes ne pourrait que nuire à la grande Cote d’Ivoire que tout le monde a hâte de revoir renaitre !

Remi Sarr
jeudi 14 avril 2011
dimanche 10 avril 2011
GERRY RAFFERTY / CITY TO CITY !
See the dark night has come down on us
The world is livin in its dream
But now we know that we can wake up from this sleep
And set out on the journey
Find a ship to take us on the way.
The time has come to trust that guiding light
And leavin all the rest behind
Well take the road that leads down to the waterside
And set out on the journey
Find a ship to take us the way.
And well sail out on the water
Yes well feel the sea grow
Yes well meet out on the water
Where are all strangers are known.
If you travel blindly, if you fall
The truth is there to set you free
And when your heart can see just one thing in this life
Well set out on the journey
Find a ship to take us on the way.
And well sail out on the water
Yes well feel the sea grow
Yes well meet out on the water
Where are all strangers are known.
See the dark night has come down on us
The world is livin in its dream
But now we know that we can wake up from this sleep
And set out on the journey
Find a ship to take us on the way.
And well sail out on the water
Yes well feel the sea grow
Yes well meet out on the water
Where are all strangers are known.
The world is livin in its dream
But now we know that we can wake up from this sleep
And set out on the journey
Find a ship to take us on the way.
The time has come to trust that guiding light
And leavin all the rest behind
Well take the road that leads down to the waterside
And set out on the journey
Find a ship to take us the way.
And well sail out on the water
Yes well feel the sea grow
Yes well meet out on the water
Where are all strangers are known.
If you travel blindly, if you fall
The truth is there to set you free
And when your heart can see just one thing in this life
Well set out on the journey
Find a ship to take us on the way.
And well sail out on the water
Yes well feel the sea grow
Yes well meet out on the water
Where are all strangers are known.
See the dark night has come down on us
The world is livin in its dream
But now we know that we can wake up from this sleep
And set out on the journey
Find a ship to take us on the way.
And well sail out on the water
Yes well feel the sea grow
Yes well meet out on the water
Where are all strangers are known.
lundi 4 avril 2011
LA FRANCE A-T-ELLE DU COEUR ?

Seydina Mouhamed, 5 ans, mort dans l'attente de son visa (Négligence de Michel Cornadro Ambassade France à Dakar)
Atteint d'une tumeur cérébrale, le petit garçon devait être évacué de Dakar pour être soigné à Strasbourg. Mais la procédure pour obtenir le sésame est longue...
(Plus d'informations sur leral .net)
SENEGALAISES, SENEGALAIS,
AFRICAINES, AFRICAINS
FEMMES ET HOMMES DE CŒUR DU MONDE ENTIER
Je parle en votre nom à tous, permettez-le moi, lorsque j'exprime ici le chagrin que nous cause la mort du jeune, du très jeune Seydina Mohamed Mbaye, lâchement assassiné par Michel Cornadro, le chef du service des visas du Consulat de France au Sénégal !
Je parle en votre nom lorsque je m’offusque de la triste fin du jeune garçon et que je dis, tout en leur présentant notre sympathie, à ses parents qu'ils ne doivent point pleurer ce séraphin qui est déjà aux bons soins de notre père Abraham et de notre mère Aicha !!
Mais la mort de Seydina Mohamed, en tant que motif d’indignation legitime, doit nous révolter car sous le choc du drame qu’elle charrie, nous prenons conscience de l’immense désespoir qui nous prend ainsi que ses parents dans la souffrance de cette injustice perçante à n'en pouvoir se plaindre, à n'en pouvoir crier.
Oui, il semblait bien à son père et à sa mère avoir accompli tout ce qui dépendait d’eux, tout ce qui relevait de leurs moyens physiques et moraux pour sauver la fleur de leur amour.
Mais ils ne pouvaient empêcher que ce qui ne dépendait pas d’eux, cet ordre politique international inique qui caractérise les relations entre la France et le Sénégal, l’Europe et l’Afrique, choisisse de frapper la cible fragile et parfaite en la personne de Seydina Mohamed.
Toutes les explications du monde, certainement pas celles de Michel Cornadro et de ses agents du Consulat de France, ne justifieront pas que l'on ait pu sacrifier avec autant de légèreté la vie d’un enfant, avenir et passé de l’homme, au prix d'un double manquement de ces monstres aux lois fondamentales de la nature humaine, celles qui, en dernier ressort, protègent, promeuvent et consacrent tout à la fois la dignité humaine.
L'émotion, la tristesse, la douleur qui vont loin dans la conscience populaire depuis l'annonce de ce qui s'est passé lanceront-elles le signal à partir duquel de nouvelles façons, beaucoup plus sérieuses en tout cas, de gouverner et de prendre en compte les vrais besoins des populations africaines donneront une nouvelle conscience de leurs responsabilités à nos dirigeants politiques ?
Je le souhaite, je le demande et je vous rends juge du grave avertissement que porte en elle la mort voulue de Seydina Mohamed Mbaye.
Mangoné Sall
(D’après l’Allocution prononcée par Francois Mitterrand lors des obsèques de Pierre Beregovoy, le 4 mai 1993)
dimanche 3 avril 2011
LES LUTTEURS, CES MODELES !

Certaines réactions enregistrées à la suite de l‘audience accordée par le Chef de l’Etat, Maitre Abdoulaye Wade, aux pensionnaires des écuries de lutte du Sénégal et au cours de laquelle ces derniers se sont vus offerts un capital de deux milliards pour une mutuelle de crédit, nous ont indignées au plus haut point !
L’une de ces réactions extravagantes nous est venue, sans surprise, de Monsieur Youssou Toure, enseignant-syndicaliste-politicien, un prototype de la nouvelle classe fossoyeuse de l’école publique, dont les sempiternelles frasques ont fini, par ailleurs, de présenter comme un sacré numéro !
Tellement, en effet, il est difficile de connaître le fantôme qui hante ce vaillant monsieur au point de lui faire fondre en larmes pour des broutilles, bouder comme un garçonnet en crise de puberté mais surtout de se permettre sans vergogne de qualifier les lutteurs de « personnes n’apportant rien à la société sénégalaise »…
La conséquence peu réjouissante que l’on peut en tirer est que si ce sont de pareilles gens qui prétendent à la relève de nos politiciens obsolètes, il faudra encore repasser !
A contrario de ses avis d’une légèreté rocambolesque, nous croyons qu’il faut saluer à sa juste mesure cette décision du Président. Une fois n’est pas coutume !
La lutte est le sport le plus pratiqué au Sénégal avec plus de quatre mille licenciés dont seulement une centaine ont l’occasion de livrer un combat au cours de la saison. Autrement dit, des milliers de jeunes sénégalais, se livrant à des entrainements intensifs ne sont pas capables de vivre de leur métier !
Le secteur de la lutte n’a pas le monopole de cette situation, c’est vrai !
Il est aussi vrai qu’il est encore beaucoup plus sensible par rapport a la sécurité publique.
Mais convenons-en, un métier en valant bien un autre, ces jeunes ont le droit de bénéficier de l’aide de l’Etat pour tendre vers leur épanouissement.
C’est une aide bienvenue dans la mesure où c’est le sport national dans lequel les affiliés sont le plus proches du professionnalisme tel qu’il est conçu ailleurs de par le monde !
La preuve en est aussi bien rapportée par les cachets individuels qui dépassent désormais la centaine de millions de F CFA que par l’hygiène de vie, la persévérance ou la détermination qu’offre en exemple les champions adulés de l’arène tels que Tyson, Bombardier, Yekini, Balla Gaye, Lac de Guiers 2, Modou Lo, Eumeu Sene, Sa Thies ou encore Gris Bordeaux !
A la lumière de ces quelques considérations, il apparaît nettement que l’octroi de la ligne de crédit par le président est une décision précieuse dans sa forme mais insuffisante en elle-même à prendre en charge les préoccupations de ces milliers de jeunes qui s’adonnent de plus en plus à la lutte.
Une meilleure organisation s’impose notamment avec la mise en place d’une fédération nationale et l’institution d’un championnat national qui mettrait en lice les pensionnaires des différentes écuries pour une meilleure redistribution des richesses générées par la lutte.
Malamine Tandjigora
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