Que l’on arrête de nous conter fleurette,
de grâce ! Si Assane Diouf alias l’insulteur public a échappé au gibet que
lui avait dressé notre renégat ministre de la justice, Sidiki Kaba, homme de
basses besognes il faut le dire malheureusement, il le doit bien évidemment à l’œil de l’Oncle Sam. Les americains ont
bien pesé sur la balance, qu’on le veuille ou non….Pour sûr, ce n’est pas du
fait d’une certaine grandeur ou d’un quelconque esprit de dépassement de la
part de qui vous savez…
Pour bien moins, il n y a pas longtemps, une renommée
cantatrice a été trimballée, humiliée et privée de libertés pendant cinq jours !
Des opposants ont été embastillés et rangés aux oubliettes par le seul fait du
prince. Ils seront libérés à leur procès cependant que le mal était fait !
Qu’est-ce à dire sinon qu’à l’intérieur
de nos murs, les autorités ont la liberté d’humilier et de torturer les indigènes.
Un plaisir qu’elles savourent avec emphase.
Nous sommes des spectateurs désabusés
d’une situation liberticide entretenue par un pouvoir inique conféré à
certaines personnes, malveillantes et inconscientes de leur charge à l’occasion,
de jouer avec la liberté des gens…
Les affreuses conditions de vie dans
le milieu carcéral ne sont que les conséquences de la mauvaise application des
lois, du laxisme dans les enquêtes , de l’inattention dans le traitement des
dossiers de la part de toute la chaine d’hommes et de femmes qui compose les
maillons de la justice.
Et si ce n’était qu'une facette d'un système. Un systeme
Domeram… n’est ce pas Assane Diouf ?
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